Ce sera surement mon article le plus court sur ce blog :
La musique n'influence personne au point de l'amener a commetre une meurtre ou de voler. Les parents sont responsables de leurs enfants et doivent les surveiller si jamais ils commencent a avoir un comportement dangereux ou suspect. Utiliser la musique comme une excuse pour des actions criminels ne fait que montrer a quel point le delis est pathétique, tout comme la personne qui la commis. Oh, et le bouquet final : Aucune preuve scientifique ! Aucune. Oui, vous serez surement plus agressif en ecoutant une musique agressive, des pensées violentes vous viendront a l'esprit, mais elles n'apparaissent surement pas par magie. Blamer la musique et les textes violents qu'elle peut contenir reviens a jeter le discredit sur ceux qui témoignent justement de ce qui constitue notre société, et de ce fait il devrait etre observer avec interet plutot que d'etre rejetté comme des oeuvres de mauvais gouts. Mais bien sur, encore faut il comprendre la part d'ironie et d'humour stupide et la part de serieux dans des oeuvres à l'apparence violente. Je ne fais que lancer des phrases les unes à la suite des autres, donc si jamais vous sentez que je devrais eclaircir un point, jettez moi une pierre (ou un commentaire) mais à la suite de la lecture d'un article sur un énième meurtre commis par un adolescent qui ecoutait du " Black Metal" (Slipknot et Marylin Manson ... bon, qui est ce qu'il faut que je tue cette fois ?) je me suis dit qu'une enonciation de toutes ces évidences ne pouvaient pas m'être néfaste, rien que pour clarifier ce que je pense.
Sunday, December 18, 2005
Thriller ... thriller tin tin tintintin
Quand une entreprise vend un produit, elle attend des bénéfices. L'argent qu'elle investit dans la production d'un produit, ancien ou neuf, dois d'abord permettre de rembourser les couts de production pour ensuite lui faire gagner un bénéfice conséquent. Logique, simple et basique. Oui, j'aime les accumulations dans les textes, pas vous ? Alors voila, un produit se vend bien. On decide de faire plus de pub, on touche un public plus large, des tranches d'ages différentes et des couches de populations encore plus variés qu'avant, quand le produit n'etait connus que de quelques individus plus "connaisseurs" que les autres. Logiquement, le profit devra être supérieur. Dans le monde de la musique, ce n'est pas obligatoirement ce qui se passe. Un single, c'est une chanson construite comme tout autre chanson. Le visage change mais la production est la même. Quel est l'appel que peut réaliser une blondasse par rapport a une rouquine ? Est ce que l'on peut calculer ce genre de choses ? Oui, maintenant on peut Et un type avec des gros biscotaux ? Ouais, c'est possible aussi.
Mais maintenant, si votre blondasse ou votre veau aux hormones ne fait rien de ce qui est prévus, ne suis pas le script et surprend les gens par son attitude, ce qu'il propose ou ce que les gens attendent de lui. Alors vous pouvez avoir droit a un jackpot enorme et gonflés aux Dollars (ou aux Euros, ça depend de votre demande, de toute manière à partir de là : le monde est a vous, jeune producteur). Des cas comme ça il en arrive un une fois tout les dix ans et chacun tente le coup. Et par "chacun" j'entend les maisons de disques et autres producteurs denicheurs de talents et de visage susceptible d'accrocher la masse. Aucune prevision ne vous permettra de savoir si tel ou telle nouvel album obtiendra les faveurs du public pendant les années à venir. Ils ne vous reste donc plus qu'a croire dans la capacité de la publicité et dans les miracles que le Dieu MTV a déja réalisé, en sachant que chacun de ces deux facteurs est aussi stable qu'une plaque tectonique. En gros, chaque année c'est au petit bonheur la chance, et vous pouvez tout recommencer depuis le début.
Une sauce peut prendre pendant un certain temps mais il vous fait un contexte specifique pour que cela marche. Exemple que je sors de ma petite tête : In bed with Madonna. Ouh provocation, sexe, fantasmes Hmm, sympa. Est ce que ça a eu du succès ? Bof ... pas que je sache. Et Madonna pourtant c'est un synonyme pour tout ces mots, c'est son gagne de pain de vendre du fantasme et de montrer tout sans ne rien montrer. Par contre elle a eu du succès avec un truc totalement inattendus, le role de Eva Perrone. Don't cry for me Argentina ... ouais ouais, c'etait Madonna si je ne dis pas de connerie. Et pourtant est ce que ça ressemble a Madonna ? A celle de "Vogue", a celle de "Like a virgin". Que dalle ouais. Alors ensuite elle s'est refaite une virginité et a bouffé du spirituel (elle a même influencé pendant un temps le guitariste de Stratovarius, mais ça c'est une autre histoire) et en avant la musique ! Je ne sais pas pourquoi, elle ne sais surement pas comment, et ses publicitaires se grattent surement encore la tête pour comprendre le mecanisme qui a fait que Madonna, malgrès tout, traverse les modes.
On jette tout et on recommence, chaque mode est une nouvelle vie, une nouvelle generation de visage. A vous de décider ce que vous voulez voir pendant les années a venir quand on vous montrera ce qui a fait votre jeunesse et ce qui a marqué votre époque. Il n'y a pas de places pour les grands découvreurs et les architectes quand le glamour est à l'ecran. Qu'est ce que l'on demande a une chanson pop. Elle est vide, elle propose, elle invite, elle squatte votre tête et vous n'avez pas d'autre choix de vivre avec. La chanson pop, c'est le parasyte d'une année, la bestiole que l'on n'oublie pas. Elle ne sers qu'a ça, ne pas être oublié. Symbole d'une epoque et d'un instant de votre vie. Quand je vous dit que la musique que l'on vend par le biais des radios et des chaines de télévision est vide ! Mais c'est le but. Vous devez bouffer cette chanson, elle vous rappelera de faire votre lit et de parler a votre mère ou de regarder cette fameuse série ou on entend justement la fameuse chanson. La chanson pop c'est la capsule temporelle remplis de machins inutiles. S'en emparer, c'est prendre le controle d'une parcelle de vie de toute une génération, pour que sans le vouloir chacun se retrouvent In bed with Madonna.
Mais maintenant, si votre blondasse ou votre veau aux hormones ne fait rien de ce qui est prévus, ne suis pas le script et surprend les gens par son attitude, ce qu'il propose ou ce que les gens attendent de lui. Alors vous pouvez avoir droit a un jackpot enorme et gonflés aux Dollars (ou aux Euros, ça depend de votre demande, de toute manière à partir de là : le monde est a vous, jeune producteur). Des cas comme ça il en arrive un une fois tout les dix ans et chacun tente le coup. Et par "chacun" j'entend les maisons de disques et autres producteurs denicheurs de talents et de visage susceptible d'accrocher la masse. Aucune prevision ne vous permettra de savoir si tel ou telle nouvel album obtiendra les faveurs du public pendant les années à venir. Ils ne vous reste donc plus qu'a croire dans la capacité de la publicité et dans les miracles que le Dieu MTV a déja réalisé, en sachant que chacun de ces deux facteurs est aussi stable qu'une plaque tectonique. En gros, chaque année c'est au petit bonheur la chance, et vous pouvez tout recommencer depuis le début.
Une sauce peut prendre pendant un certain temps mais il vous fait un contexte specifique pour que cela marche. Exemple que je sors de ma petite tête : In bed with Madonna. Ouh provocation, sexe, fantasmes Hmm, sympa. Est ce que ça a eu du succès ? Bof ... pas que je sache. Et Madonna pourtant c'est un synonyme pour tout ces mots, c'est son gagne de pain de vendre du fantasme et de montrer tout sans ne rien montrer. Par contre elle a eu du succès avec un truc totalement inattendus, le role de Eva Perrone. Don't cry for me Argentina ... ouais ouais, c'etait Madonna si je ne dis pas de connerie. Et pourtant est ce que ça ressemble a Madonna ? A celle de "Vogue", a celle de "Like a virgin". Que dalle ouais. Alors ensuite elle s'est refaite une virginité et a bouffé du spirituel (elle a même influencé pendant un temps le guitariste de Stratovarius, mais ça c'est une autre histoire) et en avant la musique ! Je ne sais pas pourquoi, elle ne sais surement pas comment, et ses publicitaires se grattent surement encore la tête pour comprendre le mecanisme qui a fait que Madonna, malgrès tout, traverse les modes.
On jette tout et on recommence, chaque mode est une nouvelle vie, une nouvelle generation de visage. A vous de décider ce que vous voulez voir pendant les années a venir quand on vous montrera ce qui a fait votre jeunesse et ce qui a marqué votre époque. Il n'y a pas de places pour les grands découvreurs et les architectes quand le glamour est à l'ecran. Qu'est ce que l'on demande a une chanson pop. Elle est vide, elle propose, elle invite, elle squatte votre tête et vous n'avez pas d'autre choix de vivre avec. La chanson pop, c'est le parasyte d'une année, la bestiole que l'on n'oublie pas. Elle ne sers qu'a ça, ne pas être oublié. Symbole d'une epoque et d'un instant de votre vie. Quand je vous dit que la musique que l'on vend par le biais des radios et des chaines de télévision est vide ! Mais c'est le but. Vous devez bouffer cette chanson, elle vous rappelera de faire votre lit et de parler a votre mère ou de regarder cette fameuse série ou on entend justement la fameuse chanson. La chanson pop c'est la capsule temporelle remplis de machins inutiles. S'en emparer, c'est prendre le controle d'une parcelle de vie de toute une génération, pour que sans le vouloir chacun se retrouvent In bed with Madonna.
Tuesday, December 13, 2005
Replenish the empty
Je suis très mauvais pour raconter des blagues. La plupart des instants ou j'ouvre la bouche et que je me dirige vers mon auditoire pour raconter quelque chose, les gens finissent par me regarder bizarrement et je suis obligé de me foutre de ma propre gueule pour rattraper le coup. Mais ça ne se passe, heuresement, pas comme ça tout le temps. Parfois les gens rient pour me faire plaisir. Un petit rire forcé déposé comme une offrande a un SDF. On rigole un coup et on part très vite avant que l'on ait put nous dire quoi que ce sois d'autre. Certaines personnes rigolent quand même, allez il ne faut quand meme pas que je me force a mettre la tête au fond de l'eau. Oui parfois, les gens rient a gorge déployé et je me sens bien. Ca fait toujours plaisir de reussir a provoquer une emotion chez quelqu'un, c'est gratifiant. Mais voila, comment savoir si les gens rient de vous ou avec vous ? Un bon exemple de blague qui a était mal pris ou mal interprété est la mort de Superman. Superman, ça vous dit quelque chose ? Oui ? Et bien, il etait mort, pendant un temps. Et puis il est revenus, naturellement.
Mais comme dans une blague a double tranchant, il y avait bien sur quelque chose derrière cette mort, et ça le public ne l'a pas compris. Ce n'est pourtant pas compliqué, vous prenez un héros populaire, vous le faites crever dans des circonstances dramatique et vous le faites revenir la semaine prochaine. Tout le monde connait ce vieux tour de magie, le monde du comics dois sa survie a ce tour de magie ! Et le reste du monde, lui, il l'ignore un peu. Il sais qu'il y a des bandes dessinés avec des super héros mais il ignore la différence entre Marvel et DC Comics. Il s'en fous un peu faut dire. Et les comics "adulte" ? Ben, c'est du porno, non ? Comment un adulte pourrait trouver un interet a lire une Bande Dessiné ? Absurde. Bon, c'etait très americain comme raisonnement, mais en fait je pense que ça reste encore un peu dans les mentalitées française, surtout en ce qui concerne les super héros. Spandex, sourire de vainqueur, tout de suite ça ne fait pas serieux. Est ce que ça se risquerait a ouvrir V pour Vendetta ? Non ! Enfin, ça arrivera peut etre "grâce" aux frères Watchwosky et leur prochaine adaptation, au sens large, de ce classique de Alan Moore.
Donc, au début des années 90, dans un climat de boom economique pour le comic book, Superman décéde des mains d'une terreur biologique nommé Doomsday. L'apocalypse ! Tremblez petits enfants car le grand méchant va ... ah non, en fait il meurt en même temps que Superman. Coup de bol. La nation pleure son héros, le grand et l'inestimable type en colan bleu que l'on aimait tant. Faut dire aussi que ce deguisement n'est jamais devenus viellot. Peut etre parce qu'il l'etait déja au moment de sa creation. J'ai du mal a comprendre l'interet que peut avoir un collan bleu. Et ou est ce que la maman de Superman a t'elle put trouvé des collans pareille ? C'est une histoire a raconté ça. Mais pour le moment Superman est mort, alors un peu de retenus et faites même une minute de silence s'il vous plait. Ca a dut se passer comme ça dans le comics, mais ça s'est aussi passé comme ça en vrai. Pensez donc ? Ils ont tués l'icone americaine numéro un, avec Spiderman ! Si vous parlez de comics avec quelqu'un vous evoquerez obligatoirement en lui l'image du boy scout orné des couleurs de la bannière étoilé. Alors quand Superman meurt la presse en parle. C'est toujours quand on est mort que l'on deviens célèbre.
A l'epoque je me souviens même avoir vu un reportage sur la question dans le journal de 13H de France 2. C'est dire l'importance de la nouvelle aux yeux du monde. Du sensationnel ! De l'inedit! De l'inédit ? Ben, pour le cas de Superman, oui. Après tout, qui etait censé arriver a tuer notre héros ? Personne, a part peur etre Lex Luthor, un jour, pour lui faire plaisir un petit peu, mais jamais, jamais du sang, non jamais le sang pure du fils de Kripton ne devait se retrouver dans un cerceuil ! Et bien sur, c'est ce qu'il arriva au bout d'un certain temps. Sauf que personne ne s'interesse a la resurrection d'un personnage de papier. Souvenez vous qu'il n''etait que quatre ou cinq le jour de la resurrection de Jésus, un de ces plus grand tour quand même. Et bien, non ! Juste une poigné de type. Trois pelé et un tondus. Alors que quand il etait mort, je me souviens, quel chambardement. Et ils ont parlés partout. Mais la resurrection ? Bof, c'est nul, on se sens trahis, ou sont les éclairs et la décheance ? Quand on meurt, on fait peur, alors on se souviens de vous. Mais quand vous revenez, vous avez perdus votre prestance cadaverique et vous n'êtes même plus alors que vous venez justement de revivre. Le monde entier n'a donc pas "ris" à la blague de DC Comics.
Superman mort ? Allez tu deconnes. Bon je lis un peu et je te prends un numéro, mais c'est bien parce que c'est toi. Et puis aussi parce que j'aimerais bien savoir ce qui se passe après. Voila la logique du consommateur de comics ! Celle que DC attendait de la part de ses clients. Mais se ne fut pas. Car la blague fut accepté comme tel, sans élement sous jacent, sans l'impression que tout ceci n'etait qu'une mascarade de plus. La mort de Superman etait une fin en sois, pas une ouverture vers un renouveau. Et les magazins se frottèrent les mains en voyant les gens rentrer dans leurs magazins pour se souvenir de leur héros. Et ils se frottèrent les yeux quand ils ne virent pas revenir plus tard pour le retour de Superman. Oh allez ! Vous la connaissez tous cet blague là ? Non ? Et voila comment l'industrie du comics a perdus de nombreux magazins, trop attiré par l'appat du gain facile, et voila comment une blague vaseuse peut vous faire perdre en crédiblité. Ceci merite un conseil d'amis, alors la prochaine fois que vous racontez une blague a un collègue, n'oubliez pas que celle ci peut se retourner contre vous.
Mais comme dans une blague a double tranchant, il y avait bien sur quelque chose derrière cette mort, et ça le public ne l'a pas compris. Ce n'est pourtant pas compliqué, vous prenez un héros populaire, vous le faites crever dans des circonstances dramatique et vous le faites revenir la semaine prochaine. Tout le monde connait ce vieux tour de magie, le monde du comics dois sa survie a ce tour de magie ! Et le reste du monde, lui, il l'ignore un peu. Il sais qu'il y a des bandes dessinés avec des super héros mais il ignore la différence entre Marvel et DC Comics. Il s'en fous un peu faut dire. Et les comics "adulte" ? Ben, c'est du porno, non ? Comment un adulte pourrait trouver un interet a lire une Bande Dessiné ? Absurde. Bon, c'etait très americain comme raisonnement, mais en fait je pense que ça reste encore un peu dans les mentalitées française, surtout en ce qui concerne les super héros. Spandex, sourire de vainqueur, tout de suite ça ne fait pas serieux. Est ce que ça se risquerait a ouvrir V pour Vendetta ? Non ! Enfin, ça arrivera peut etre "grâce" aux frères Watchwosky et leur prochaine adaptation, au sens large, de ce classique de Alan Moore.
Donc, au début des années 90, dans un climat de boom economique pour le comic book, Superman décéde des mains d'une terreur biologique nommé Doomsday. L'apocalypse ! Tremblez petits enfants car le grand méchant va ... ah non, en fait il meurt en même temps que Superman. Coup de bol. La nation pleure son héros, le grand et l'inestimable type en colan bleu que l'on aimait tant. Faut dire aussi que ce deguisement n'est jamais devenus viellot. Peut etre parce qu'il l'etait déja au moment de sa creation. J'ai du mal a comprendre l'interet que peut avoir un collan bleu. Et ou est ce que la maman de Superman a t'elle put trouvé des collans pareille ? C'est une histoire a raconté ça. Mais pour le moment Superman est mort, alors un peu de retenus et faites même une minute de silence s'il vous plait. Ca a dut se passer comme ça dans le comics, mais ça s'est aussi passé comme ça en vrai. Pensez donc ? Ils ont tués l'icone americaine numéro un, avec Spiderman ! Si vous parlez de comics avec quelqu'un vous evoquerez obligatoirement en lui l'image du boy scout orné des couleurs de la bannière étoilé. Alors quand Superman meurt la presse en parle. C'est toujours quand on est mort que l'on deviens célèbre.
A l'epoque je me souviens même avoir vu un reportage sur la question dans le journal de 13H de France 2. C'est dire l'importance de la nouvelle aux yeux du monde. Du sensationnel ! De l'inedit! De l'inédit ? Ben, pour le cas de Superman, oui. Après tout, qui etait censé arriver a tuer notre héros ? Personne, a part peur etre Lex Luthor, un jour, pour lui faire plaisir un petit peu, mais jamais, jamais du sang, non jamais le sang pure du fils de Kripton ne devait se retrouver dans un cerceuil ! Et bien sur, c'est ce qu'il arriva au bout d'un certain temps. Sauf que personne ne s'interesse a la resurrection d'un personnage de papier. Souvenez vous qu'il n''etait que quatre ou cinq le jour de la resurrection de Jésus, un de ces plus grand tour quand même. Et bien, non ! Juste une poigné de type. Trois pelé et un tondus. Alors que quand il etait mort, je me souviens, quel chambardement. Et ils ont parlés partout. Mais la resurrection ? Bof, c'est nul, on se sens trahis, ou sont les éclairs et la décheance ? Quand on meurt, on fait peur, alors on se souviens de vous. Mais quand vous revenez, vous avez perdus votre prestance cadaverique et vous n'êtes même plus alors que vous venez justement de revivre. Le monde entier n'a donc pas "ris" à la blague de DC Comics.
Superman mort ? Allez tu deconnes. Bon je lis un peu et je te prends un numéro, mais c'est bien parce que c'est toi. Et puis aussi parce que j'aimerais bien savoir ce qui se passe après. Voila la logique du consommateur de comics ! Celle que DC attendait de la part de ses clients. Mais se ne fut pas. Car la blague fut accepté comme tel, sans élement sous jacent, sans l'impression que tout ceci n'etait qu'une mascarade de plus. La mort de Superman etait une fin en sois, pas une ouverture vers un renouveau. Et les magazins se frottèrent les mains en voyant les gens rentrer dans leurs magazins pour se souvenir de leur héros. Et ils se frottèrent les yeux quand ils ne virent pas revenir plus tard pour le retour de Superman. Oh allez ! Vous la connaissez tous cet blague là ? Non ? Et voila comment l'industrie du comics a perdus de nombreux magazins, trop attiré par l'appat du gain facile, et voila comment une blague vaseuse peut vous faire perdre en crédiblité. Ceci merite un conseil d'amis, alors la prochaine fois que vous racontez une blague a un collègue, n'oubliez pas que celle ci peut se retourner contre vous.
Tuesday, December 06, 2005
Une soirée comme une autre
Ceci est une histoire courte que j'ai eu envie d'ecrire. Comme mes autres posts, elle est ecrit comme elle me viens, mai avec une idée bien plus claire du déroulement que dans mes articles précedents. Je precise que cette histoire s'inspire largement de mon travail aux editions du Seuil mais que le contenus est une complète fiction. J'attends vos avis.
- Donc raconte ...
- Raconte quoi ?
- Les livres !
- Ah ouais, c'est vrai. Je t'avais même promis de te raconter le tout en détails.
- Exact. Alors j'attends.
- Bon, si tu veut, alors c'est partis.
Comme tu le sais je travaille dans une maison d'edition, a l'usine, là ou ils envoient les livres a travers la France. Je me souviens même avoir vu des commandes en partance pour la Chine, ou la Belgique. Surement des ambassades ou des magazins pour les touristes. Rien de bien exitant, des allées de bouquins et des commandes a remplir. Et des livres, y'en a plein, a plus savoir qu'en foutre. Tu cherches un titre, tu en trouves cinq avec le même titre. Tu veut desesperement finir ta commande et tu ne dégottes pas le livre en question. Raison ? Y'en a pas. Ils ne savent pas ou sont les livres. Ils en perdent des tas, c'est inimaginable ! Alors a force d'en mettre dans des cartons, et même dans les poubelles, j'ai finis par en mettre dans mon sac ...
- Enfoiré ..., dit il avec un petit souris narquois.
- Ouais, j'en suis pas fier, mais c'etait facile. Et marrant aussi. Qu'est ce que tu veut l'on me dise ?
- Range ce livre petit con ?
- Tout as fait, et ça aurait été approprié. Mais ou est la sécurité ? Ou sont les chiens de chasses, les alarmes, même les controles des sacs ? Je n'ai pas une tête de voleur mais quand même ... Donc j'en ai pris. Et ça a duré ... ben, de quoi me remplir ma bibliothèque.
- Je comprends pas qu'il fasse rien ... c'est con de perdre de l'argent. Enfin, c'est cool pour toi. Mais c'est quand même du pognon qui sors de la peur poche !
- Ouais, mais ils font rien. Ils bougent pas le petit doigt. Je pense qu'ils ont confiance ...
- Les cons !
Ignorant la replique de son camarade.
- Ou alors ils ne perdent pas autant d'argent qu'on ne le pense !
- Ouais, ouais ... mais aucun boulanger te laisserait sortir avec un bout de pain non payé ! A moins d'avoir en dessous de 5 ans ! Alors pourquoi pas eux ?
- Peut etre parce qu'ils ont autre chose a foutre ... franchement, je ne sais pas, je ne comprends pas et je n'ai pas vraiment cherché a piger.
- T'a profité.
- Encore une fois, je peut pas le nier. Donc je prenais ce qui passait, des livres que je cherchais ou des résumés qui me bottait. Un peu de tout. Histoire, roman ... roman noir, roman noir, roman noir ...
- Elle est belle ta bibliothèque maintenant !
- Ma fierté ouais ! Mais ça me reste un peu sur le coeur tout ça ...
- Ah, le remord de l'assassin ! Ou est le probleme ? Tu me disais qu'ils en avaient rien a foutre ?
- Ouais, je le disais ouais. Mais voila le point final de l'affaire.
Je passais dans les rayons et je ne disais rien a personne sur ce que je faisais. Mais a force de lire au lieu de bosser, on attire souvent l'attention. Prend bien en compte que mes collègues, ils se foutent un peu de tout ce qui est lecture. Donc le matouillage de quatrième de couverture, ce n'est pas un sport nationale là bas. Je lis, je remets en place, je note, je vais chercher ensuite et puis je me débrouille pour être discret. Et puis finalement, on a dut me voir.
- Ou alors ils se sont doutés tous seul que ton sac n'avait pas des crises d'aerophagies.
- Deconne pas, ça m'a bien fait chier ce jour là. Je prend un ou deux trucs, je ferme le sac et je part de ma zone. Je descends les escaliers et j'ai toujours mon petit coeur qui tambourinne en rythme avec mon stress. Tu me connais, je me fais de la bile pour un rien. Mais voila que ce soir là c'etait raisonné, et que toutes mes belles precautions ne vallaient rien. "Ouvre ton sac" qu'elle me dit. Je prend un air etonné et déboussollé, ce qui n'etait pas faux. Abus de confiance en moi peut etre ? Ou l'habitude de mentir ? Bref, je m'execute et elle decouvre le pot au rose.
- Ah, c'est dommage pour toi !
- Ouais, dommage pour ce soir. Alors je regarde, je fais l'etonné et je dis que ce n'est pas a moi. Que l'on a dut surement le mettre dans mon sac pour me faire une sale plaisanterie. Que je ne ferais pas ça ...
- T'es vraiment un enfoiré des fois !
- Tu m'etonnes. L'ange sors ses cornes par moment. Et ils m'ont crut. Ils on rien vu depasser de mes cheveux faut croire. Donc j'ai déposé le tout, un peu tremblant quand même par le fait d'etre pris en flag, et puis je suis rentré chez moi.
- Et le lendemain ?
- Je suis partis.
- Mais tu aurais put revenir et continuer ?
- Ouais, j'aurais put. Mais a la fin de la journée il y avait un truc en moins.
- Les bouquins dans ton sac ?
- Non, non. C'est pas une question de bouquin. Mais dans leur regard, un truc qu'il y avait avant. Une petite complicité gentille. C'est con a dire mais la confiance entre collègue, c'est ça qui te fait revenir au turbin le lendemain, bien plus que la paye que tu touches. Et là c'etait mort.
- Donc raconte ...
- Raconte quoi ?
- Les livres !
- Ah ouais, c'est vrai. Je t'avais même promis de te raconter le tout en détails.
- Exact. Alors j'attends.
- Bon, si tu veut, alors c'est partis.
Comme tu le sais je travaille dans une maison d'edition, a l'usine, là ou ils envoient les livres a travers la France. Je me souviens même avoir vu des commandes en partance pour la Chine, ou la Belgique. Surement des ambassades ou des magazins pour les touristes. Rien de bien exitant, des allées de bouquins et des commandes a remplir. Et des livres, y'en a plein, a plus savoir qu'en foutre. Tu cherches un titre, tu en trouves cinq avec le même titre. Tu veut desesperement finir ta commande et tu ne dégottes pas le livre en question. Raison ? Y'en a pas. Ils ne savent pas ou sont les livres. Ils en perdent des tas, c'est inimaginable ! Alors a force d'en mettre dans des cartons, et même dans les poubelles, j'ai finis par en mettre dans mon sac ...
- Enfoiré ..., dit il avec un petit souris narquois.
- Ouais, j'en suis pas fier, mais c'etait facile. Et marrant aussi. Qu'est ce que tu veut l'on me dise ?
- Range ce livre petit con ?
- Tout as fait, et ça aurait été approprié. Mais ou est la sécurité ? Ou sont les chiens de chasses, les alarmes, même les controles des sacs ? Je n'ai pas une tête de voleur mais quand même ... Donc j'en ai pris. Et ça a duré ... ben, de quoi me remplir ma bibliothèque.
- Je comprends pas qu'il fasse rien ... c'est con de perdre de l'argent. Enfin, c'est cool pour toi. Mais c'est quand même du pognon qui sors de la peur poche !
- Ouais, mais ils font rien. Ils bougent pas le petit doigt. Je pense qu'ils ont confiance ...
- Les cons !
Ignorant la replique de son camarade.
- Ou alors ils ne perdent pas autant d'argent qu'on ne le pense !
- Ouais, ouais ... mais aucun boulanger te laisserait sortir avec un bout de pain non payé ! A moins d'avoir en dessous de 5 ans ! Alors pourquoi pas eux ?
- Peut etre parce qu'ils ont autre chose a foutre ... franchement, je ne sais pas, je ne comprends pas et je n'ai pas vraiment cherché a piger.
- T'a profité.
- Encore une fois, je peut pas le nier. Donc je prenais ce qui passait, des livres que je cherchais ou des résumés qui me bottait. Un peu de tout. Histoire, roman ... roman noir, roman noir, roman noir ...
- Elle est belle ta bibliothèque maintenant !
- Ma fierté ouais ! Mais ça me reste un peu sur le coeur tout ça ...
- Ah, le remord de l'assassin ! Ou est le probleme ? Tu me disais qu'ils en avaient rien a foutre ?
- Ouais, je le disais ouais. Mais voila le point final de l'affaire.
Je passais dans les rayons et je ne disais rien a personne sur ce que je faisais. Mais a force de lire au lieu de bosser, on attire souvent l'attention. Prend bien en compte que mes collègues, ils se foutent un peu de tout ce qui est lecture. Donc le matouillage de quatrième de couverture, ce n'est pas un sport nationale là bas. Je lis, je remets en place, je note, je vais chercher ensuite et puis je me débrouille pour être discret. Et puis finalement, on a dut me voir.
- Ou alors ils se sont doutés tous seul que ton sac n'avait pas des crises d'aerophagies.
- Deconne pas, ça m'a bien fait chier ce jour là. Je prend un ou deux trucs, je ferme le sac et je part de ma zone. Je descends les escaliers et j'ai toujours mon petit coeur qui tambourinne en rythme avec mon stress. Tu me connais, je me fais de la bile pour un rien. Mais voila que ce soir là c'etait raisonné, et que toutes mes belles precautions ne vallaient rien. "Ouvre ton sac" qu'elle me dit. Je prend un air etonné et déboussollé, ce qui n'etait pas faux. Abus de confiance en moi peut etre ? Ou l'habitude de mentir ? Bref, je m'execute et elle decouvre le pot au rose.
- Ah, c'est dommage pour toi !
- Ouais, dommage pour ce soir. Alors je regarde, je fais l'etonné et je dis que ce n'est pas a moi. Que l'on a dut surement le mettre dans mon sac pour me faire une sale plaisanterie. Que je ne ferais pas ça ...
- T'es vraiment un enfoiré des fois !
- Tu m'etonnes. L'ange sors ses cornes par moment. Et ils m'ont crut. Ils on rien vu depasser de mes cheveux faut croire. Donc j'ai déposé le tout, un peu tremblant quand même par le fait d'etre pris en flag, et puis je suis rentré chez moi.
- Et le lendemain ?
- Je suis partis.
- Mais tu aurais put revenir et continuer ?
- Ouais, j'aurais put. Mais a la fin de la journée il y avait un truc en moins.
- Les bouquins dans ton sac ?
- Non, non. C'est pas une question de bouquin. Mais dans leur regard, un truc qu'il y avait avant. Une petite complicité gentille. C'est con a dire mais la confiance entre collègue, c'est ça qui te fait revenir au turbin le lendemain, bien plus que la paye que tu touches. Et là c'etait mort.
Monday, December 05, 2005
Therefore, God honours the sword ...
Tout a un lien avec la culture. Vos decisions, votre vision des évenements, vos choix vestimentaires, votre petite amie, tout est lié a votre culture. Le terme est vaste et il faudrait un livre de la taille d'un dictionnaire pour en explorer toutes les facettes. Quoi que non, le dictionnaire serait le tome 1, le reste prendrait encore quelques editions. Et vu que ça n'interesseraient surement pas grand monde, une version Black chromé sortirait surement dix ans plus tard sur Southern Lord, avec trois pages de plus en bonus. La culture, elle est pour tous, mais elle est reservée a ceux qui la veule vraiment. Contradiction ? Malheuresement non. Comme je le disais, le terme de culture sous entends de nombreuses facettes. Or, de culture je voudrais aborder le point de vue de ce que nous acquerrons au fur et a mesure des ans. Ce qui fait que nous devenons nous et pas un autre. Les régles, la morale, mettez les un peu de coté. Juste un peu. Et concentrez vous sur ce que vous aimez, ce que vous lisez, ce que l'on vous a appris a l'école. Et dans la classe, pas dans la cours de récré ou dans la cantine ou on vous demandez de ne pas mettre les coudes sur la table. Non, oubliez tout ça. Revenez dans votre salle de classe.
Qu'apprenons nous aux enfants dans les salles de classes, des maternelles aux lycéees de France. Des régles, des auteurs, des noms, des poèmes. Tout un contenus diver et complexe qui s'assemble comme un puzzle dans la tête de l'enfant pour constituer, entre autre, le reservoir dans lequel il va puiser au fur et a mesure de sa vie. Quand on parle avec quelqu'un, ce que l'on échange avec les autres, les connaissances de bases dont nous nous servons pour résoudre les interrogations de notre vie quotidienne. Par exemple, est ce que la lumière du frigo reste allumée une fois la porte fermée ? Faites vous appels a votre logique ou a ce que l'on vous a dit ? La réponse importe peu, pour moi, car vous faites appels a votre culture. C'est de cela dont je veut parler. Je commence donc. Je passerais sur les détails de mon travail, vous le connaissez surement déja assez bien. Trop même. Je vous eliminerais peut etre un jour, je ne sais pas. Des livres j'en vois donc défiler tout les jours. Et des livres pour tous, a tout age et pour toutes les raisons possibles. Et des livres pour enfants, il y en as des tonnes.
Qu'importe ce que vous voulez faire apprendre a votre cherubin, la solution se trouve dans mes armoires. Je vous le jurre. Et dans mes armoires se trouve aussi la contre solution a tout cela. La contre mesure a la culture. L'arme absolut pour faire gagner l'ignorance. J'ai nommé : le Classique Abrégé. Je parie que vous avez regardé les grands classiques avec respect mais mefiance en ouvrant delicatement les ouvrages pour regarder combien de feuillet vous devriez vous enfillez si vous souhaitiez venir a bout de ce roman tant conseillé. Et bien le classique abréfé vous octroit la possible de lire l'histoire, de la comprendre sans problême, mais sans vous taper toutes les pages qui rendaient vos nuits sombres et sans sommeils de crainte de devoir tomber sur une lecture qui mangeraient votre temps passé devant la télévision. Ou sont les pages ? Quels sont elles ? Dieu seul le sais. Dieu, ou la maison d'edition responsable de ce carnage.
Pourquoi les auteurs ecrivent ils des pavets ? Pour satisfaire leur ego. Certes. Mais pour créer l'ambiance qui ameneras le lecteur dans le livre, avec les personnages, dans leurs pas. Si j'affectionne tant la lecture des romans de Georges Pelecanos c'est parce que celui ci a le don de vous faire sortir de votre wagon de train pour vous faire vous poser delicatement dans la meme voiture que Derek Strange, vous faire ressentir les basses et l'emotion du morçeau qu'il ecoute et humer le fumet du sandwich qu'il deguste. Voila ce que j'appelle de la grande litterature. Pas du roman de quai de gare. Et voila ce que l'on offre aux enfants maintenant, une oeuvre denué de toute sa subtance. Les auteurs classiques sont de toute manière des Dieux, des personnages illustres dont on ignore la vie. Pourquoi avoir ecrit ce livre ? Qui s'en préoccupe, il est au programme alors lisez le ! Ce n'est que recemment que j'ai commencé a mettre des vies derrières les noms d'auteurs dont j'entendais parler depuis longtemps. Et ce n'est que depuis ce jour que j'ai commencé a comprendre la fascination que l'on pouvait avoir pour un auter et son oeuvre. Je fait pourtant la même chose pour la musique mais je n'avais pas fait le lien avec les livres. Mon cerveau atrophié devait etre passé au vingt cinq heure de travail par semaine.
Le classique abrégé ampute donc de sa moelle les classiques. Et des classiques sans leur contenu totale sont ils encore des classiques. Non. Des oeuvres privé de ce qui fait leur attrait, même d'une part, ne sont plus les mêmes oeuvres. Elle ne devrait même pas avoir le droit de porter le même nom. En fait, en privant de ce qui fait l'oeuvre, en la rend même surement moins attirante. La grandeur du classique fait peur, mais elle attire aussi. En donnant une histoire trop courte, donne t'on vraiment envie aux enfant de lire la version normale ? Je ne le pense pas. Vraiment, mais alors vraiment pas du tout. Le môme est donc privé d'un peu de culture, d'un peu plus de vocabulaire, d'exemple, de petit passage qui serait revenus a son esprit plus tard, quand il aurait grandit. L'education et la maturation sont synonyme, et pas uniquement d'un point de vue syllabique. En vendant des livres allégés, les editeurs perdent de futurs clients. Ca devrait etre une evidence. Comment attirez des enfants vers la lecture si on ne leur donne pas l'occasion de lire quelque chose qui leur fasse vraiment comprendre le pouvoir de l'ecriture ? Comment faire croire a des gamins qu'on les prends au sérieux si on les regarde droit dans les yeux en leur disant "ne lis pas ça, c'est beaucoup trop long, tiens prend un truc plus simple". Les enfants d'aujourd'hui sont ils devenus des cons ? Ah ouais, pardon, je ne savais pas. Patron, un '38, sans faux col, c'est pour utiliser tout de suite.
Qu'apprenons nous aux enfants dans les salles de classes, des maternelles aux lycéees de France. Des régles, des auteurs, des noms, des poèmes. Tout un contenus diver et complexe qui s'assemble comme un puzzle dans la tête de l'enfant pour constituer, entre autre, le reservoir dans lequel il va puiser au fur et a mesure de sa vie. Quand on parle avec quelqu'un, ce que l'on échange avec les autres, les connaissances de bases dont nous nous servons pour résoudre les interrogations de notre vie quotidienne. Par exemple, est ce que la lumière du frigo reste allumée une fois la porte fermée ? Faites vous appels a votre logique ou a ce que l'on vous a dit ? La réponse importe peu, pour moi, car vous faites appels a votre culture. C'est de cela dont je veut parler. Je commence donc. Je passerais sur les détails de mon travail, vous le connaissez surement déja assez bien. Trop même. Je vous eliminerais peut etre un jour, je ne sais pas. Des livres j'en vois donc défiler tout les jours. Et des livres pour tous, a tout age et pour toutes les raisons possibles. Et des livres pour enfants, il y en as des tonnes.
Qu'importe ce que vous voulez faire apprendre a votre cherubin, la solution se trouve dans mes armoires. Je vous le jurre. Et dans mes armoires se trouve aussi la contre solution a tout cela. La contre mesure a la culture. L'arme absolut pour faire gagner l'ignorance. J'ai nommé : le Classique Abrégé. Je parie que vous avez regardé les grands classiques avec respect mais mefiance en ouvrant delicatement les ouvrages pour regarder combien de feuillet vous devriez vous enfillez si vous souhaitiez venir a bout de ce roman tant conseillé. Et bien le classique abréfé vous octroit la possible de lire l'histoire, de la comprendre sans problême, mais sans vous taper toutes les pages qui rendaient vos nuits sombres et sans sommeils de crainte de devoir tomber sur une lecture qui mangeraient votre temps passé devant la télévision. Ou sont les pages ? Quels sont elles ? Dieu seul le sais. Dieu, ou la maison d'edition responsable de ce carnage.
Pourquoi les auteurs ecrivent ils des pavets ? Pour satisfaire leur ego. Certes. Mais pour créer l'ambiance qui ameneras le lecteur dans le livre, avec les personnages, dans leurs pas. Si j'affectionne tant la lecture des romans de Georges Pelecanos c'est parce que celui ci a le don de vous faire sortir de votre wagon de train pour vous faire vous poser delicatement dans la meme voiture que Derek Strange, vous faire ressentir les basses et l'emotion du morçeau qu'il ecoute et humer le fumet du sandwich qu'il deguste. Voila ce que j'appelle de la grande litterature. Pas du roman de quai de gare. Et voila ce que l'on offre aux enfants maintenant, une oeuvre denué de toute sa subtance. Les auteurs classiques sont de toute manière des Dieux, des personnages illustres dont on ignore la vie. Pourquoi avoir ecrit ce livre ? Qui s'en préoccupe, il est au programme alors lisez le ! Ce n'est que recemment que j'ai commencé a mettre des vies derrières les noms d'auteurs dont j'entendais parler depuis longtemps. Et ce n'est que depuis ce jour que j'ai commencé a comprendre la fascination que l'on pouvait avoir pour un auter et son oeuvre. Je fait pourtant la même chose pour la musique mais je n'avais pas fait le lien avec les livres. Mon cerveau atrophié devait etre passé au vingt cinq heure de travail par semaine.
Le classique abrégé ampute donc de sa moelle les classiques. Et des classiques sans leur contenu totale sont ils encore des classiques. Non. Des oeuvres privé de ce qui fait leur attrait, même d'une part, ne sont plus les mêmes oeuvres. Elle ne devrait même pas avoir le droit de porter le même nom. En fait, en privant de ce qui fait l'oeuvre, en la rend même surement moins attirante. La grandeur du classique fait peur, mais elle attire aussi. En donnant une histoire trop courte, donne t'on vraiment envie aux enfant de lire la version normale ? Je ne le pense pas. Vraiment, mais alors vraiment pas du tout. Le môme est donc privé d'un peu de culture, d'un peu plus de vocabulaire, d'exemple, de petit passage qui serait revenus a son esprit plus tard, quand il aurait grandit. L'education et la maturation sont synonyme, et pas uniquement d'un point de vue syllabique. En vendant des livres allégés, les editeurs perdent de futurs clients. Ca devrait etre une evidence. Comment attirez des enfants vers la lecture si on ne leur donne pas l'occasion de lire quelque chose qui leur fasse vraiment comprendre le pouvoir de l'ecriture ? Comment faire croire a des gamins qu'on les prends au sérieux si on les regarde droit dans les yeux en leur disant "ne lis pas ça, c'est beaucoup trop long, tiens prend un truc plus simple". Les enfants d'aujourd'hui sont ils devenus des cons ? Ah ouais, pardon, je ne savais pas. Patron, un '38, sans faux col, c'est pour utiliser tout de suite.
Thursday, December 01, 2005
Boston Tea Bag party
Même si le Thrash est à l'origine de mouvements musicaux plus extrême, et un genre qui ne fait pas dans la dentelle non plus, il reste toujours dans mon coeur comme une musique procurant du bon temps. Slayer avec leur obsession sur le coté sombre de la vie n'est il pas un des divertissements les plus prisés par les Metalleux de tout bord ? Sinon d'ou viendrait cette longevité qui permet au groupe de continuer a remuer leurs têtes au rythme de classiques et de nouvelles chansons. Slayer, Anthrax, Megadeth, des gens que l'on va voir en concert pour le plaisir, et pas pour se payer un mal de crâne carabiné ou pour experimenter une nouvelle drogue hallucinogène. Du bonheur dans des riffs plombés, des coups qui s'explosent sur un rythme de double surhumain et surtout, surtout, des chansons mémorable. Je ne vais pas m'amuser a resumer ce qu'est le thrash mais voila en gros ce qui me viens à l'esprit en premier lieu quand je pense a ce genre. Or, Mardi soir, c'etait soirée Thrash au Trabendo, avec deux membres de la nouvelle generation. Donc on ne se prive pas et on viens s'en payer une tranche.
Suite a quelques petits ralentissements culinaire et une occasion de plus de se foutre de ma gueule (je fais très bien l'oiseau, vous ne trouvez pas ?), voila que moi et mes trois compagnons nous retrouvons dans le Nouveau Casino, salle que j'avais pas visité depuis le concert mémorable de A Life Once Lost et de Everytime I Die. D'ailleurs ALOL devrait repasser en Janvier, normalement, dixit le chanteur. Attendons. En tout cas la soirée commence bien avec un petit groupe d'ouverture classique mais agreable. God Dethroned. En voila un nom pas difficile a trouver. Ok les gars, vous etes des metalleux, donc vous aimez pas Dieu ! Non, nous on est des hommes fort ! Peut etre même des Dieux ?! Donc on va detroner Dieu ! Ouais ! Alors voila, il s'appelle God Dethroned. Et pourquoi pas Mad at Dog ? Ah non, pardon, c'est déja une chanson de Deïcide. Ok, donc God Dethroned, un nom a retenir quand on apprecie le Thrash Death et les pas mauvais solos. Bien exècutés, avec ce qu'il faut comme punch, mais rien de plus. Ca ne bouge pas beaucoup sur scène, ça ne communique pas trop ... Peut etre qu'ils ont peur ? Oh allez ! Des Metalleux trouillards, avec un nom pareille ? Non, pas possible. Donc voila, ils sont jeunes, ils ont des chansons sympa et ils continueront pour le moment a faire des premières parties si ils ne font pas mieux sur leurs albums suivants.
Passage a la première salve de héros de la soirée, God Forbid. Oui, ils sont noirs ! Bon ok, on passe. Oui, les deux guitaristes sont frères ! Voila, on viens de passer le stade du deuxième gimmick. Donc maintenant parlons de la performance. God Forbid, c'est du bonheur en barre. Ils ne posent pas comme les groupes de Metalcore, ils communiquent bien avec le public, lancent des plaisanteries, enchainent les riffs et les refrains mémorable. Ou est le defaut ? Trop court ? Non, ça allait. Un peu trop de mosh part peut être. Ouais, peut être. J'aime ça, je ne le nie pas. Mais est ce que l'on a besoin de gros riffs rythmés quand on balance d'en dehors de ses amplis des sons qui vous hurlent aux oreilles, tel le capitaine Ahab, Classique en vue ! Non, pas vraiment. Et je pense que ce ne sera pas un mal que le groupe dépasse ce stade a un moment ou un autre. Ce petit détail qui les rends un peu trop contemporain et pas assez intemporelle. Mais chaque dizaine d'année a son gimmick. Alors on laisse jouer, on lève le bras bien haut et on reprend les refrains en coeur. Y'a de la violence dans l'air mais tout est bon enfant. La vue de la fosse en ebulition me fait sourire plusieurs fois et je vois des visages heureux d'etre là. Le groupe aussi, et c'est la fête. Merci d'etre passé et à bientôt.
Alors the Haunted, c'est encore autre chose. Ouais, un des guitaristes et le bassistes sont frères ! Et jumeaux ! Ouah, encore un gimmick a la con. Et puis, en prime, voila que ces deux messieurs sortent de At the Gates. At the fucking Gates. At the Gates comme dans Slaughter of the soul. L'album influent par excellence dans ses années peuplés de clones americains bouffant de la sauce suedoise dans leurs mélodies les moins fines et les plus aguicheuses. Ah ouais, effectivement, voila de quoi rebuter ou de quoi attirer l'oeil. Mais est ce que the Haunted est un groupe de Metalcore ? Non, et vingt fois non. Pas d'inquietude, voila un des fervants defenseurs du son Thrash Metal revigoré par des experimentations louables avec plus de mélodies vocales et de quoi rendre un album de treize titre (avec deux titres bonus reservé au dgipack) agréable et destructeur, sans même sentir le poids de la durée. Cependant, il y a un petit problême. Enfin, un problême pour ma petite personne. En effet, les messieurs qui redigent le magazine Terrorizer ont parlaient d'un passage recent de the Haunted ou leur energie n'etait pas au plus haut. Les musiciens ne semblaient pas en phase, peut être même ennuyé d'etre sur scène. Horreur et damnation, exactement ce qu'il ne faut pas retrouver devant sois. Alors apprehension et regard inquiet vers la scène.
Et puis, la chanson de Tool se finis, la rythmique de No compromise debarque, chacun se met en place et ne restez surtout pas dans le chemin si vous ne voulez pas vous faire eclater. Le public est content, le groupe joue bien, même très bien et je ne me sens pas mal. Non pas mal du tout. Mais je ne me sens pas surpris non plus. C'est etrange en fait. Je m'attendais quand même a ce que la performance sois bonne. J'avais un peu peur, mais je me disais que ça devait déchirer. Et j'imaginais dans ma tête de quel manière cela allait dechiré. Et bien c'est exactement ce qui s'est passé. Ce que je voyais dans mon esprit s'est mis en place sur scène. Un Peter Dolving charismatique et pourtant pret de ses fans. Serrant des mains, sautant dans le public trois fois (malgrès les interdictions placés devant la scène, mais il n'etait pas censé les voir, lui), tirant sur un joint offert par un fan. Cet homme possède surement ce que Phil Anselmo representait à son époque. Un mélange de force et d'energie sans commune mesure. Le chanteur que je voudrais être, en tout honneteté, et cela du premier mouvement de bras a la dernière corde vocale.
Que dire de plus a partir de là ? Les musiciens jouent bien, très bien même. L'energie est là, autant dans le public que sur scène. Ca ne bourrine pas de la tête mais ça contribue a créer l'atmosphère convivivale et bonne enfant, malgrès les types qui se font descendre de scène (pas de slam ! enfin, en théorie) et même un gars qui semble faire un plat sur le parquet. Mais très vite il se relève et sers un type dans ses bras. Ca va, pas de problême. Les fans chantent en coeur les premières paroles d'introduction de Abysmal. Je les accompagne avec joie. La foule se presse pour hurler en masse sur "99". Dolving descend un peu dans la fosse, se fait soutenir par le public. La figure messianique par excellence ! Et les riffs s'enchainent, et les chansons 'enchainent. Même les chansons que je ne connais pas sont acceuillis comme de vieux amis. Et puis, fin du spectacle sur un My Shadow qui n'atteint pas la comparaison avec sa version gravé sur plastique mais merite d'etre entendu et vu du fait des mimiques de Dolving tout au long. Un homme possdé ou un comedien de talents. Un peu des deux surement. Mais un grand artiste, un cador, et encore un exemple parfait de ce que j'ai toujours fantasmé de faire sur scène. L'exorcisme musicale et physique devant le public. Merci de m'avoir montré la voir monsieur. On peut etre completement sois devant un public et resté le maitre de cerémonie. Je vous passe les détails des achats merchandising pour conclure sur ceci : Si cette soirée etait à refaire demain soir, je foncerais tête baissé.
Suite a quelques petits ralentissements culinaire et une occasion de plus de se foutre de ma gueule (je fais très bien l'oiseau, vous ne trouvez pas ?), voila que moi et mes trois compagnons nous retrouvons dans le Nouveau Casino, salle que j'avais pas visité depuis le concert mémorable de A Life Once Lost et de Everytime I Die. D'ailleurs ALOL devrait repasser en Janvier, normalement, dixit le chanteur. Attendons. En tout cas la soirée commence bien avec un petit groupe d'ouverture classique mais agreable. God Dethroned. En voila un nom pas difficile a trouver. Ok les gars, vous etes des metalleux, donc vous aimez pas Dieu ! Non, nous on est des hommes fort ! Peut etre même des Dieux ?! Donc on va detroner Dieu ! Ouais ! Alors voila, il s'appelle God Dethroned. Et pourquoi pas Mad at Dog ? Ah non, pardon, c'est déja une chanson de Deïcide. Ok, donc God Dethroned, un nom a retenir quand on apprecie le Thrash Death et les pas mauvais solos. Bien exècutés, avec ce qu'il faut comme punch, mais rien de plus. Ca ne bouge pas beaucoup sur scène, ça ne communique pas trop ... Peut etre qu'ils ont peur ? Oh allez ! Des Metalleux trouillards, avec un nom pareille ? Non, pas possible. Donc voila, ils sont jeunes, ils ont des chansons sympa et ils continueront pour le moment a faire des premières parties si ils ne font pas mieux sur leurs albums suivants.
Passage a la première salve de héros de la soirée, God Forbid. Oui, ils sont noirs ! Bon ok, on passe. Oui, les deux guitaristes sont frères ! Voila, on viens de passer le stade du deuxième gimmick. Donc maintenant parlons de la performance. God Forbid, c'est du bonheur en barre. Ils ne posent pas comme les groupes de Metalcore, ils communiquent bien avec le public, lancent des plaisanteries, enchainent les riffs et les refrains mémorable. Ou est le defaut ? Trop court ? Non, ça allait. Un peu trop de mosh part peut être. Ouais, peut être. J'aime ça, je ne le nie pas. Mais est ce que l'on a besoin de gros riffs rythmés quand on balance d'en dehors de ses amplis des sons qui vous hurlent aux oreilles, tel le capitaine Ahab, Classique en vue ! Non, pas vraiment. Et je pense que ce ne sera pas un mal que le groupe dépasse ce stade a un moment ou un autre. Ce petit détail qui les rends un peu trop contemporain et pas assez intemporelle. Mais chaque dizaine d'année a son gimmick. Alors on laisse jouer, on lève le bras bien haut et on reprend les refrains en coeur. Y'a de la violence dans l'air mais tout est bon enfant. La vue de la fosse en ebulition me fait sourire plusieurs fois et je vois des visages heureux d'etre là. Le groupe aussi, et c'est la fête. Merci d'etre passé et à bientôt.
Alors the Haunted, c'est encore autre chose. Ouais, un des guitaristes et le bassistes sont frères ! Et jumeaux ! Ouah, encore un gimmick a la con. Et puis, en prime, voila que ces deux messieurs sortent de At the Gates. At the fucking Gates. At the Gates comme dans Slaughter of the soul. L'album influent par excellence dans ses années peuplés de clones americains bouffant de la sauce suedoise dans leurs mélodies les moins fines et les plus aguicheuses. Ah ouais, effectivement, voila de quoi rebuter ou de quoi attirer l'oeil. Mais est ce que the Haunted est un groupe de Metalcore ? Non, et vingt fois non. Pas d'inquietude, voila un des fervants defenseurs du son Thrash Metal revigoré par des experimentations louables avec plus de mélodies vocales et de quoi rendre un album de treize titre (avec deux titres bonus reservé au dgipack) agréable et destructeur, sans même sentir le poids de la durée. Cependant, il y a un petit problême. Enfin, un problême pour ma petite personne. En effet, les messieurs qui redigent le magazine Terrorizer ont parlaient d'un passage recent de the Haunted ou leur energie n'etait pas au plus haut. Les musiciens ne semblaient pas en phase, peut être même ennuyé d'etre sur scène. Horreur et damnation, exactement ce qu'il ne faut pas retrouver devant sois. Alors apprehension et regard inquiet vers la scène.
Et puis, la chanson de Tool se finis, la rythmique de No compromise debarque, chacun se met en place et ne restez surtout pas dans le chemin si vous ne voulez pas vous faire eclater. Le public est content, le groupe joue bien, même très bien et je ne me sens pas mal. Non pas mal du tout. Mais je ne me sens pas surpris non plus. C'est etrange en fait. Je m'attendais quand même a ce que la performance sois bonne. J'avais un peu peur, mais je me disais que ça devait déchirer. Et j'imaginais dans ma tête de quel manière cela allait dechiré. Et bien c'est exactement ce qui s'est passé. Ce que je voyais dans mon esprit s'est mis en place sur scène. Un Peter Dolving charismatique et pourtant pret de ses fans. Serrant des mains, sautant dans le public trois fois (malgrès les interdictions placés devant la scène, mais il n'etait pas censé les voir, lui), tirant sur un joint offert par un fan. Cet homme possède surement ce que Phil Anselmo representait à son époque. Un mélange de force et d'energie sans commune mesure. Le chanteur que je voudrais être, en tout honneteté, et cela du premier mouvement de bras a la dernière corde vocale.
Que dire de plus a partir de là ? Les musiciens jouent bien, très bien même. L'energie est là, autant dans le public que sur scène. Ca ne bourrine pas de la tête mais ça contribue a créer l'atmosphère convivivale et bonne enfant, malgrès les types qui se font descendre de scène (pas de slam ! enfin, en théorie) et même un gars qui semble faire un plat sur le parquet. Mais très vite il se relève et sers un type dans ses bras. Ca va, pas de problême. Les fans chantent en coeur les premières paroles d'introduction de Abysmal. Je les accompagne avec joie. La foule se presse pour hurler en masse sur "99". Dolving descend un peu dans la fosse, se fait soutenir par le public. La figure messianique par excellence ! Et les riffs s'enchainent, et les chansons 'enchainent. Même les chansons que je ne connais pas sont acceuillis comme de vieux amis. Et puis, fin du spectacle sur un My Shadow qui n'atteint pas la comparaison avec sa version gravé sur plastique mais merite d'etre entendu et vu du fait des mimiques de Dolving tout au long. Un homme possdé ou un comedien de talents. Un peu des deux surement. Mais un grand artiste, un cador, et encore un exemple parfait de ce que j'ai toujours fantasmé de faire sur scène. L'exorcisme musicale et physique devant le public. Merci de m'avoir montré la voir monsieur. On peut etre completement sois devant un public et resté le maitre de cerémonie. Je vous passe les détails des achats merchandising pour conclure sur ceci : Si cette soirée etait à refaire demain soir, je foncerais tête baissé.
Subscribe to:
Posts (Atom)