Les tentativesde mobiliser les internautes sont plethores et leur efficacité m'as toujours semblé discutable. N'avez vous jamais reçut une de ces bon dieu de chain mail qui vous invite a sauver la vie d'une pauvre petite enfin kidnappé par son beau père, lui même atteint d'un cancer du colon en phase terminale, dont les dents la font horriblement souffir et qui vous demande quelques sous, oh, pas beaucoup, pour pouvoir opérer ses dents, son père et la Terre entière ?Inviter la bonne volonté des gens est toujours une opération dangereuse qui peut se reveler fructueuse ou complement oublié. Or, vous avez dans ce lot de problêmes, dont on ce serait bien passé, surtout si l'on remet en cause leur veracité qui ne tiens qu'a un fil, des groupes cherchant a vous mobiliser pour des causes valable. La dernière en date que j'ai rencontré concerne une mesure, non européenne, ou les individus qui téléchargeraient des contenus pornographiques extrêmes seraient susceptible d'être mis en prison.
Et, il faut etre honnête, cela concerne tout le monde. Merde, la totalité de l'internet regorge de photos idiotes mettant en scène des perversions sexuelles scabreuses aussi excitantes qu'un balais. Si vous n'avez jamais reçut un mail vous proposant d'augmenter la taille votre pénis alors vous n'êtes pas connecté ! La pornographie et l'internet sont des mondes indissociables et je serais toujours d'accord avec les mesures vivant à sensibiliser les parents, ou grand parents, aux ordinateurs, afin de vérifier que le môme ne rentre pas en contact avec n'importe quoi. Même si c'est inéluctable de toute manière. Même quand j'avais sept ans je savais déja ce qu'était le fist fucking ! Et je n'avais même pas encore touché un clavier de toute ma vie. Il ne vous reste plus qu'a vous armez de patience en attendant que votre fille ou votre fils vous demande si vous avez déja "fait comme les gens sur la photo ou l'on vois un âne ..." . Je vous laisse imaginer la suite, je ne prefère pas m'aventurer de ce coté là. Cette nouvelle mesure, si elle est appliqué, concerne donc tout le monde, et bien que ses intentions sont "louable" (en théorie) elle n'est pas appliquable et serait digne d'un état totalitaire si elle rentrait en application.
Montrer de la pornographie extrême à de jeunes enfants ? Non, pas vraiment. Mais foutre un prison n'importe qui, sans raison valable, pour un acte aussi anodin que télécharger un contenu pornographique, non, là pas du tout, et même jamais. Et je vous vois arriver de suite avec vos grandes pancartes. Et la pédophilie alors ? Oui, la pédophilie = pas bien. Je vous fait un resumé histoire que l'on y passe pas des plombes. Mais ce genre de contenus s'échange principalement sur des réseaux privés. Des réseaux dont les services de polices sont chargés de démantelés. Donc une affaire qui est déja en cours aux yeux de la justice. Mais augmenter le champ d'action de cette recherche, voila qui me semble empieter sur les libertés individuels d'une manière semblable à un panzer roulant sur un bidonville. Il faudra ensuite tenter de définir ce qu'est un acte sexuel extrême. Car nous avons tous une petite image de ce qu'est une sexualité extrême. Mais aux yeux de chacun c'est une autre histoire. L'homosexualité ou la sodomie sont des perversions extrême pour certain (en tout cas un sondage de Skyrock classsé ainsi la sodomie). Mais pour tout adepte de la pornographie, voir un pénis dans un anus est aussi choquant que de voir un bébé avec un pouce dans la bouche. Quoi que je n'aurais peut-être pas due associer ces deux images. Ne faîtes pas de cauchemard ce soir, hein ?
J'en arrive donc à la reflexion suivante, que certain(e) ont peut-être déja entendu sortis de ma bouche, ou d'une autre. Les hommes politiques ne sont, majoritairement, plus du tout en phase avec les nouvelles technologies. Je vois bien que j'en arrive a la fin de mon quatrième paragraphe. Et ne voulant pas vous asphyxier sous un déluge de phrase je vais bientôt conclure, laissant ouverte une question necessitant plus de reflexion. Mais le fait est que cette mesure n'est qu'une nouvelle idée lancée, semble t'il, à tout va, sans qu'aucune reflexion sur la réalité du terrain n'est était faite. Pour un sociologue cela reviendrait à aller interroger des jeunes dans une cité déguisé en officier de police. Oh oui, vous obtiendrez des réactions, sans aucun doute, mais ne sortez pas votre questionnaire si vous voulez éviter les jets de pierre. La même reflexion pourrait être faite à l'égard des mesures contre le téléchargement ou sur le contrôle des émails. Ce sont des mesures irréalisables d'un point de vue technologique et dont la validité est purement théorique car elle ne fait que s'attaquer à la liberté de tous en évitant les vrais coupables. Je n'en viens pas à une conclusion type, "nous sommes gouvernés par des vieux cons". Ce serait vraiment trop facile. Mais si ces mesures font vraiment partie d'un shéma plus large, et plus machiavélique, alors Georges Orwell n'avait pas tort. Ou alors ce sont des vieux cons idiot. Oh pardon, excusez moi, mais j'entends 1984 qui frappe à la porte.
Sunday, October 30, 2005
Saturday, October 29, 2005
Decimating the moshers
Avant hier je parlais avec une collègue de Amélie Nothombes. Il se trouve qu'elle en est fan et que je suis un inculte qui vois cette auteur comme un autre phénomène inutile à ranger dans les bacs à solde pendant que le monde entier devrait lire, et pleurer, se rouler par terre et hurler à la mort, en lisant Hubert Selby Jr. Auteur sur lequel Nostombes et ses cohortes empruntent beaucoup trop. Lui demandant de me conseiller un de ses ouvrages, pour que je puisse me faire une idée moi même, elle m'explique alors que les livres de Nothombes ont une certaine importance pour elle. A chaque fois qu'elle en a lut un, celui ci convenait parfaitement à son état lors de la lecture. Il est donc normal que, se retrouvant dans cet auteur elle en soit fan. Un artiste ça peut etre un type de passage, un ami fidèle, ou alors votre âme soeur. La personne en laquelle vous trouvez un reconfort et une comprehension de vos problêmes sans jamais avoir besoin de lui expliquer d'ou vous venait et sans même l'avoir rencontré.
Chimaira n'est pas vraiment mon âme soeur mais il se produit un phénomène sensiblement identique dans ma vie. A chaque nouvel album, ces messieurs evoluent de telle manière qu'ils suivent mon évolution du moment. Ma découverte de Chimaira se fit à leur signature sur Roadrunner. Je cherchais alors des groupes un peu plus underground et surtout plus Metal. Mélangeant des influences Death a des élements electronique, le tout bordé d'une sensibilité "moderne" (pour ne pas dire néo); moi, petit être fragile qui sortait de Korn et continuait de tenir la porte pour laisser passez les Deftones et quelques autres, je me suis pleinement retrouvé dans leur son. Viens alors le tant attendu premier album. L'achat se produit quand je trouvais le dit CD dans un bac à solde de Gilbert, le même jour ou je me suis d'ailleurs décidé a prendre "Human 2.0" de Nasum. Je débutais donc dans le millieu extrême et je n'etais pas encore totalement prét a partir de mon petit néo douillet.
Retrouvailles avec les petits élements Death et les grosses phases plus néo, il y avait quand même quelque chose de plus sombre et d'agressif qui me convint de rester à bord dans cette période troublé ou je ne savais plus a quel saint me voué. Saint "Viens que je me démonte la tête avec des blast beats" ou Saint "Houal, mais je vais rester avec mon petit refrain mélodique quand même". Chimaira proposant une alternative, un compromis a cette indecision, j'etais très heureux de les trouver sur mon chemin. Et puis "Jade" bon dieu ! "Jade" ! Enfin bref, le temps passe, j'écoute attentivement et apprend par coeur "Pass out of existence" quand arrive enfin son successeur, "the Impossibility of reason". Le Metal, ça me connait, enfin c'est ce que je devais me dire à l'époque. Donc un album plus Metal, plus Thrash et plus Extrême. Mais, mais ... mais c'est le bonheur. Au lit les ronflement néo metal, bienvenue les hommages a Slayer, les growl confirmés et les accélerations à la double. N'étant plus aussi proche de l'adolescence, pleine d'energie et de rage à depensé, je suis tout de même assez touché par l'hymne "Pure hatred" et son gros refrain qui feras sans doute decroché les machoires de tout une génération de fan lors des concerts.
Encore une fois, Chimaira s'accroche, évolue, experimente et propose un repas garnis de tout ce qui conviens à mes gouts du moment. Viens alors le troisième et dernier opus en date. Annoncé comme le nouveau "Reign in blood" (l'album de THrash que beaucoup s'accorde à considérer comme étant parfait), encore une fois, Chimaira surprend et passe par la porte de derrière pour asséner son coup de marteau. Non, cet album éponyme n'est pas un album de Thrash pure comme le fantasmait les "directeurs artistique" de Rozdrunner. Plus d'experimentations, encore plus de violence, et des chansons longue et plus complexe. On ne rentre pas dans un registre progressif tout de même, mais quand on proposait avant des gros refrains fait pour que les gamins s'amusent bien dans la fosse, il est normale que la transition, vers plus de riffs et des chansons plus lente, se fasse lentement. Attendons le prochain album pour voir si Mark Hunter et ses amis avaient embarqués des albums de Opeth pendant leur tournée. Mais encore une fois, oui encore une fois, Chimaira me suis dans mon évolution et deviens une bête toujours aussi interessante. Par contre, leurs albums précedents ont un air beaucoup moins savoureux. Finis les refrains néo et les gros riffs pour faire bouger la tététe en ryrythme. Je ne dis pas que je ne réecouterais jamais "the Impossibility of reason" avec plaisir. Mais de loin vu d'ici, la perspective de revenir ne serait ce que temporairement au son des années précédente. Et bien cette idée ne me séduit pas trop. Mais la horde se rapproche de plus en plus d'un album ultime et exceptionnel. Les idées sont là, les riffs, les musiciens. Reste plus qu'as trouver le bon temps de cuisson.
Chimaira n'est pas vraiment mon âme soeur mais il se produit un phénomène sensiblement identique dans ma vie. A chaque nouvel album, ces messieurs evoluent de telle manière qu'ils suivent mon évolution du moment. Ma découverte de Chimaira se fit à leur signature sur Roadrunner. Je cherchais alors des groupes un peu plus underground et surtout plus Metal. Mélangeant des influences Death a des élements electronique, le tout bordé d'une sensibilité "moderne" (pour ne pas dire néo); moi, petit être fragile qui sortait de Korn et continuait de tenir la porte pour laisser passez les Deftones et quelques autres, je me suis pleinement retrouvé dans leur son. Viens alors le tant attendu premier album. L'achat se produit quand je trouvais le dit CD dans un bac à solde de Gilbert, le même jour ou je me suis d'ailleurs décidé a prendre "Human 2.0" de Nasum. Je débutais donc dans le millieu extrême et je n'etais pas encore totalement prét a partir de mon petit néo douillet.
Retrouvailles avec les petits élements Death et les grosses phases plus néo, il y avait quand même quelque chose de plus sombre et d'agressif qui me convint de rester à bord dans cette période troublé ou je ne savais plus a quel saint me voué. Saint "Viens que je me démonte la tête avec des blast beats" ou Saint "Houal, mais je vais rester avec mon petit refrain mélodique quand même". Chimaira proposant une alternative, un compromis a cette indecision, j'etais très heureux de les trouver sur mon chemin. Et puis "Jade" bon dieu ! "Jade" ! Enfin bref, le temps passe, j'écoute attentivement et apprend par coeur "Pass out of existence" quand arrive enfin son successeur, "the Impossibility of reason". Le Metal, ça me connait, enfin c'est ce que je devais me dire à l'époque. Donc un album plus Metal, plus Thrash et plus Extrême. Mais, mais ... mais c'est le bonheur. Au lit les ronflement néo metal, bienvenue les hommages a Slayer, les growl confirmés et les accélerations à la double. N'étant plus aussi proche de l'adolescence, pleine d'energie et de rage à depensé, je suis tout de même assez touché par l'hymne "Pure hatred" et son gros refrain qui feras sans doute decroché les machoires de tout une génération de fan lors des concerts.
Encore une fois, Chimaira s'accroche, évolue, experimente et propose un repas garnis de tout ce qui conviens à mes gouts du moment. Viens alors le troisième et dernier opus en date. Annoncé comme le nouveau "Reign in blood" (l'album de THrash que beaucoup s'accorde à considérer comme étant parfait), encore une fois, Chimaira surprend et passe par la porte de derrière pour asséner son coup de marteau. Non, cet album éponyme n'est pas un album de Thrash pure comme le fantasmait les "directeurs artistique" de Rozdrunner. Plus d'experimentations, encore plus de violence, et des chansons longue et plus complexe. On ne rentre pas dans un registre progressif tout de même, mais quand on proposait avant des gros refrains fait pour que les gamins s'amusent bien dans la fosse, il est normale que la transition, vers plus de riffs et des chansons plus lente, se fasse lentement. Attendons le prochain album pour voir si Mark Hunter et ses amis avaient embarqués des albums de Opeth pendant leur tournée. Mais encore une fois, oui encore une fois, Chimaira me suis dans mon évolution et deviens une bête toujours aussi interessante. Par contre, leurs albums précedents ont un air beaucoup moins savoureux. Finis les refrains néo et les gros riffs pour faire bouger la tététe en ryrythme. Je ne dis pas que je ne réecouterais jamais "the Impossibility of reason" avec plaisir. Mais de loin vu d'ici, la perspective de revenir ne serait ce que temporairement au son des années précédente. Et bien cette idée ne me séduit pas trop. Mais la horde se rapproche de plus en plus d'un album ultime et exceptionnel. Les idées sont là, les riffs, les musiciens. Reste plus qu'as trouver le bon temps de cuisson.
Wednesday, October 26, 2005
Insane digital grindcore ?
Si vous arrivez au 32 rue du Breuil en empruntant les differentes routes qui partent de la gare de Epinay sur Orge et que, arrivez devant la porte, vous escaladiez les quelques marches pour ensuite emprunter l'escalier face à vous, le vieux truc en bois qui part en spirale, vous pourriez alors regarder sur votre gauche et jetter un coup d'oeil à la petite bibliothèque. Les bibelots et les decorations d'interieurs sont des indicateurs essentiel pour tout bon detective de la criminel, ou pour tout les decorateurs et reporters tout terrains des magazines Art & Decoration, mais le passioné se pencheras toujours vers la bibliothèque, la discothèque ou la DVDthèque du propriétaire pour se faire une idée plus precise de ce dernier. Vos petits radars en état de marche vous pourrez alors decouvrir une masse consequente de romans noir en provenance de quelques auteurs principaux, David Peace, Donald Westlake, James Ellroy, puis quelques egarés; laissés encore sans cousin, et uniquement lié par une collection avec leur frères, membre d'une famille nombreuse sans cesse en expansion.
Il n'y a pas que du Noir dans ce que je lis, mais pas beaucoup de comédie et encore moins de Prix Goncourt. Le Noir c'est mon dada, et je ne cesse de jeter des oeils indiscrets sur les étagères des zones de l'entrepôt ou je travaille chaque jour pour reperer d'autres auteurs, ou de nouveaux chapitres à collecter afin de completer ma connaissance des auteurs que je suis. De même qu'avec la musique, je cherche d'une part des classiques responsable des fondations du genre que j'apprecie, mais aussi des auteurs plus recents qui me feront passer quelques heures agreable en leur compagnie ou m'absorberont pour me raccracher dans les ruelles sombres d'une grande ville americaine. Des immeubles en ribambellle et un privé à chaque coin de ruelle sombre, surveyant les agissements du prochain tueur en série ou d'un innocent cambrioleur qui ne cherchait qu'as faire son beurre sur le dos des gens assez idiot pour laisser leur maison avec des objets de valeur à l'interieur. Non, mais quelle idée aussi ?
Le Noir ce n'est pas seulement la couleur de la violence, mais c'est surtout la couleur des criminels, des gangsters, des repris de justice, de tout ceux qui aigssent en dehors des conventions de la loi ou qui se chargent de la faire respecter. Le Noir c'est à la fois le polar, le thriller, la comedie satirique ... Je ne citerais rien de plus car je risquerais de montrer mon manque crucial de vocabulaire. Mais vous comprenez ce que je veut dire ? Le Noir, ce n'est pas uniquement les films de Boggart ou les privés sauvent les demoiselles en detresse. C'est un ensemble massif. Tel l'immeuble de bureau qui contiens une vingtaine de sociétés aux activitées diverses, le Noir abrite tout ce que les auteurs veulent bien dire au sujet des hommes (principalement) dont le rapport avec la Loi à toujours été une difficile relation de haine et de haine. Si cet litterature me passione ce n'est pas car j'aimerais moi aussi être a la place de ces gens. J'ai assez passé de temps dans des cours de psychologie pour savoir qu'une analyse ne se faisait pas aussi simplement. Les rapports de cause à effet sont d'une evidence discutable quand on entre dans le domaine de ce cher Sigmund, et je n'ai pas non plus envie de faire progresser la suite de mon article dans ce sens.
La mafia et ses ramifications m'ont, par exemple, toujours interessé. Mais pas parce que je suis un fanatique de Tony Montana. Mais parce que j'aime conna^tre ce qui se passe derrière les rideaux une fois que le spectacle est finis. Le soir, on rentre chez soi et on s'endort dans son lit douillé. Mais que fait le reste du monde ? Comment vit il ? Et pendant que je respire un petit air pur sur le bord d'une route, qui manipule mon avenir ? Suis je ausi libre que l'on veut me le faire croire ? Qu'est ce la violence dans notre société ? Tout cela, le Noir le traite, d'une manière romancé, mais il le traite. Les personnages sont confrontés à la realité et doivent agir envers et contre tout pour ne pas sombrer plus. Chacun reagit de la manière qu'il veut. Le héros du Couperet, de Donald Westlake, tente d'obtenir une place de Cadre en eliminant la concurrence, litteralement, tandis qu'un cadavre est retrouvé dans une rolls, dans un roman de Michael Connely. Une autre façon d'éliminer la concurrence ? Ou y'as t'il plus que cela ? Le héros de Noir se doit de faire attention à tout ce qui l'entoure. Il tire de la moindre phrase et du bout de rideau mal mise en place une information essentielle.
Le detective privé est le psychanalyste du monde. Il tire des détails et des revelations les conclusions qui feront avouer les coupables. A l'inverse, le criminel envisage toutes les possibilités pour se défaire des liens de la justice et se plongent dans l'obscurité en ne laissant rien derrière lui. Et ce n'est pas le bout de rideau qui dira grand chose à la police. le Noir est donc la vision ombragé mais eclairé de notre monde, qu'importe l'epoque, et qu'importe le lieu. Le Noir n'est pas un mode d'emploi pour devenir criminel ou pour dejouer les manipulations mais c'est une manière de voir le monde et de l'apprehender. Ce que l'on retiens d'un bon polar et d'un bon thriller c'est l'attention au détail. Ce que l'on retiens d'une bonne satire c'est sa manière de decortiquer, par exemple, la nature humaine. Ce que l'on retiens de tout ces livres c'est une meilleur acuité visuel de notre vie. Conan Doyle n'as pas fait que partcipé au lancement d'un genre de litterature, il a crée une philosophie nouvelle. Tout se cache derrière le bout de rideau, mais seulement si vous le soulevez correctement.
Il n'y a pas que du Noir dans ce que je lis, mais pas beaucoup de comédie et encore moins de Prix Goncourt. Le Noir c'est mon dada, et je ne cesse de jeter des oeils indiscrets sur les étagères des zones de l'entrepôt ou je travaille chaque jour pour reperer d'autres auteurs, ou de nouveaux chapitres à collecter afin de completer ma connaissance des auteurs que je suis. De même qu'avec la musique, je cherche d'une part des classiques responsable des fondations du genre que j'apprecie, mais aussi des auteurs plus recents qui me feront passer quelques heures agreable en leur compagnie ou m'absorberont pour me raccracher dans les ruelles sombres d'une grande ville americaine. Des immeubles en ribambellle et un privé à chaque coin de ruelle sombre, surveyant les agissements du prochain tueur en série ou d'un innocent cambrioleur qui ne cherchait qu'as faire son beurre sur le dos des gens assez idiot pour laisser leur maison avec des objets de valeur à l'interieur. Non, mais quelle idée aussi ?
Le Noir ce n'est pas seulement la couleur de la violence, mais c'est surtout la couleur des criminels, des gangsters, des repris de justice, de tout ceux qui aigssent en dehors des conventions de la loi ou qui se chargent de la faire respecter. Le Noir c'est à la fois le polar, le thriller, la comedie satirique ... Je ne citerais rien de plus car je risquerais de montrer mon manque crucial de vocabulaire. Mais vous comprenez ce que je veut dire ? Le Noir, ce n'est pas uniquement les films de Boggart ou les privés sauvent les demoiselles en detresse. C'est un ensemble massif. Tel l'immeuble de bureau qui contiens une vingtaine de sociétés aux activitées diverses, le Noir abrite tout ce que les auteurs veulent bien dire au sujet des hommes (principalement) dont le rapport avec la Loi à toujours été une difficile relation de haine et de haine. Si cet litterature me passione ce n'est pas car j'aimerais moi aussi être a la place de ces gens. J'ai assez passé de temps dans des cours de psychologie pour savoir qu'une analyse ne se faisait pas aussi simplement. Les rapports de cause à effet sont d'une evidence discutable quand on entre dans le domaine de ce cher Sigmund, et je n'ai pas non plus envie de faire progresser la suite de mon article dans ce sens.
La mafia et ses ramifications m'ont, par exemple, toujours interessé. Mais pas parce que je suis un fanatique de Tony Montana. Mais parce que j'aime conna^tre ce qui se passe derrière les rideaux une fois que le spectacle est finis. Le soir, on rentre chez soi et on s'endort dans son lit douillé. Mais que fait le reste du monde ? Comment vit il ? Et pendant que je respire un petit air pur sur le bord d'une route, qui manipule mon avenir ? Suis je ausi libre que l'on veut me le faire croire ? Qu'est ce la violence dans notre société ? Tout cela, le Noir le traite, d'une manière romancé, mais il le traite. Les personnages sont confrontés à la realité et doivent agir envers et contre tout pour ne pas sombrer plus. Chacun reagit de la manière qu'il veut. Le héros du Couperet, de Donald Westlake, tente d'obtenir une place de Cadre en eliminant la concurrence, litteralement, tandis qu'un cadavre est retrouvé dans une rolls, dans un roman de Michael Connely. Une autre façon d'éliminer la concurrence ? Ou y'as t'il plus que cela ? Le héros de Noir se doit de faire attention à tout ce qui l'entoure. Il tire de la moindre phrase et du bout de rideau mal mise en place une information essentielle.
Le detective privé est le psychanalyste du monde. Il tire des détails et des revelations les conclusions qui feront avouer les coupables. A l'inverse, le criminel envisage toutes les possibilités pour se défaire des liens de la justice et se plongent dans l'obscurité en ne laissant rien derrière lui. Et ce n'est pas le bout de rideau qui dira grand chose à la police. le Noir est donc la vision ombragé mais eclairé de notre monde, qu'importe l'epoque, et qu'importe le lieu. Le Noir n'est pas un mode d'emploi pour devenir criminel ou pour dejouer les manipulations mais c'est une manière de voir le monde et de l'apprehender. Ce que l'on retiens d'un bon polar et d'un bon thriller c'est l'attention au détail. Ce que l'on retiens d'une bonne satire c'est sa manière de decortiquer, par exemple, la nature humaine. Ce que l'on retiens de tout ces livres c'est une meilleur acuité visuel de notre vie. Conan Doyle n'as pas fait que partcipé au lancement d'un genre de litterature, il a crée une philosophie nouvelle. Tout se cache derrière le bout de rideau, mais seulement si vous le soulevez correctement.
Monday, October 24, 2005
Axis of Evil ?
Deux posts dans la même soirée, mais deux thêmes totalement différent. En lisant un blog totalemement différent je suis tombé sur un article concernant la fermeture d'un blog d'un soldat se trouvant actuellement en Irak. Je vous mets un lien vers l'article en question et vous encourage à lire l'extrait de son blog, la citation titré SOS. Si le reste de son blog était du même tonneau nous venons de passer à coté d'une source d'information inestimable :
Another military blogged silenced
Another military blogged silenced
Hell Blood Fire !
Aujourd'hui fut un jour difficile pour mes oreilles. Suite a un problême, encore non resolut, de panne sur mon balladeur Mp3, je ne put les gratifier de la musique qu'elle demandait avec insistance. De retour dans mon foyer après une longue journée de travail je me devais donc de leur faire plaisir. Je pris donc deux albums de ma pile de nouveautés et je commença à les ecouter, m'impregnant de chaque notes et de chaque frappes de double grosse caisse. Voila donc un excellent moyen de passer une soirée pour en arriver au nirvana, a l'exthase, le repos de l'esprit et le corps detendus tandis que l'on continue d'ingérer des informations. Je vous passe les détails scabreux et j'en viens au sujet de l'article de ce ce soir. Le deuxième album que je pris fut le dernier EP de Blut Aus Nord, un excellent groupe dont l'evolution sans barrière ne cesse de prouver leur besoin de s'exprimer musicalement et non de se faire quelques sous en vendant du plastique.
Or, derrière l'emplacement de l'album, "Thematic emanations of archetypal multiplicity (soundtrack for scientists of occult synchretism" (et je ne plaisante pas, vous ne pensez tout de même pas que j'irais inventé quelque chose d'aussi complexe), se trouve une petite phrase très interessante : Art has no limits. Simple et evident, mais pas souvent mis en applications, quels que sois l'epoque. Les modes et les conventions font tourner le petit monde de l'art, quel que sois le millieu d'expression, et ce qui est novateur deviens ensuite la norme pour ne plus être l'eclair de génie que l'on reconnaissait mais un ensemble de clone bien empilé. Ca se repête, ça copule et ça nous fait chier à longueur de journée quand ça pense avoir trouvé la solution à tout les problêmes de la société. Il faut donc alors s'en remettre aux petits jeunes ou à ceux qui étaient restés en retrait. Les moins pretentieux et les plus difficiles d'accès. Ceux que l'elite regarde de haut en leur predisant un avenir tout droit tracé vers le bac a solde ou dans une décharge public. C'est tellement drôle et simple de se moquer du talent des autres quand on en a pas.
L'art n'as donc pas de limite préconçut car elles sont toujours repoussés. Mais l'art reste l'art, et l'art ne peut être n'importe quoi. Par exemple, la publicité n'est pas de l'art, les traces de doigts de votre petit cousin sur la feuille de papier ne sont pas les premices d'une grande carrière artistique et votre voisin carossier n'est pas le nouveau Cesar jusqu'as preuve du contraire. L'art n'as pas de limite tant qu'elle reste de l'art. Mais la definition de l'art est tel que vous pouvez être un artiste sans même le revendiquer. Attention, je ne vais pas commencer a vous faire mon modeste en pretendant etre un artiste qui s'ignore. Vous pouvez me dire tout ce que vous voulez, mais ecrire de temps en temps ses propres pensées, ce n'est pas de la litterature, c'est de la masturbation. C'est marrant à faire, ça passe le temps, les lignes s'enchainent bien et vous faites rires vos pôtes. Mais c'est tout ! Ne cherchez pas plus loin. Rien de ce qui est dit ici ne seras jamais compilé dans un receuil de mes oeuvres oubliés. Mais si c'etait le cas alors n'hesitait pas à demander des royalties pour les commentaires que vous aurez laissés. L'ecriture n'est pas de l'art en soi. Jouer avec le mot et le faire devenir semblable à une note de musique sur une partition, voila ce qui est de l'art.
La seule limite que j'imposerais personnellement est la propre santé de l'artiste. Mourir pour son art, c'est à dire en realisant une toile, et en s'ecroulant d'epuisement, ne rends pas moins le tableau une oeuvre d'art, mais ça reste regrettable. C'est le choix de l'homme, bien sur, et je ne vais pas revenir la dessus. Mais dois t'ont mourir pour son art ? Eteindre sa propre creativité afin de s'exploser dans les cieux comme une décoration de Noel rebelle qui attirerait l'attention de tous en s'elevant au dessus du sapin. Et ne me ramenez pas Hunter S Thompson dans la tronche, merci, il ne s'est pas donné la mort pour son art, mais parce qu'il en avait marre. D'ailleurs ça rime, hey, c'est peut-être le début d'une grande carrière. Mais bref, l'art ne dois pas aller a l'encontre de la creativité de l'artiste. La raison d'être de l'art est de faire ressentir l'artiste, lui permettre de s'exprimer et de faire ressortir ce qu'il cache dans son être. Mais cela ne dois pas etre une fin en soi, mais un moyen pour atteindre encore un autre domaine. C'est en cela que la musique de Blut Aus Nord est fascinante. Elle progresse sans cesse, échappe aux conventions d'un genre pour en recréer un autre et partir encore dans une autre direction ensuite. Elle vibre et respire autant que ses créateurs qui transmettent leurs propres battement de coeur par le biais de leurs albums. L'art est crée pour faire ressentir ce que votre propre experience n'avait pas encore atteint. Elle n'est pas une fin, elle est la progression. Et sur ce je conclu ce nouvel article en esperant ne pas etre devenus trop pompeux en developpant des thêmes qui me dépassent.
Or, derrière l'emplacement de l'album, "Thematic emanations of archetypal multiplicity (soundtrack for scientists of occult synchretism" (et je ne plaisante pas, vous ne pensez tout de même pas que j'irais inventé quelque chose d'aussi complexe), se trouve une petite phrase très interessante : Art has no limits. Simple et evident, mais pas souvent mis en applications, quels que sois l'epoque. Les modes et les conventions font tourner le petit monde de l'art, quel que sois le millieu d'expression, et ce qui est novateur deviens ensuite la norme pour ne plus être l'eclair de génie que l'on reconnaissait mais un ensemble de clone bien empilé. Ca se repête, ça copule et ça nous fait chier à longueur de journée quand ça pense avoir trouvé la solution à tout les problêmes de la société. Il faut donc alors s'en remettre aux petits jeunes ou à ceux qui étaient restés en retrait. Les moins pretentieux et les plus difficiles d'accès. Ceux que l'elite regarde de haut en leur predisant un avenir tout droit tracé vers le bac a solde ou dans une décharge public. C'est tellement drôle et simple de se moquer du talent des autres quand on en a pas.
L'art n'as donc pas de limite préconçut car elles sont toujours repoussés. Mais l'art reste l'art, et l'art ne peut être n'importe quoi. Par exemple, la publicité n'est pas de l'art, les traces de doigts de votre petit cousin sur la feuille de papier ne sont pas les premices d'une grande carrière artistique et votre voisin carossier n'est pas le nouveau Cesar jusqu'as preuve du contraire. L'art n'as pas de limite tant qu'elle reste de l'art. Mais la definition de l'art est tel que vous pouvez être un artiste sans même le revendiquer. Attention, je ne vais pas commencer a vous faire mon modeste en pretendant etre un artiste qui s'ignore. Vous pouvez me dire tout ce que vous voulez, mais ecrire de temps en temps ses propres pensées, ce n'est pas de la litterature, c'est de la masturbation. C'est marrant à faire, ça passe le temps, les lignes s'enchainent bien et vous faites rires vos pôtes. Mais c'est tout ! Ne cherchez pas plus loin. Rien de ce qui est dit ici ne seras jamais compilé dans un receuil de mes oeuvres oubliés. Mais si c'etait le cas alors n'hesitait pas à demander des royalties pour les commentaires que vous aurez laissés. L'ecriture n'est pas de l'art en soi. Jouer avec le mot et le faire devenir semblable à une note de musique sur une partition, voila ce qui est de l'art.
La seule limite que j'imposerais personnellement est la propre santé de l'artiste. Mourir pour son art, c'est à dire en realisant une toile, et en s'ecroulant d'epuisement, ne rends pas moins le tableau une oeuvre d'art, mais ça reste regrettable. C'est le choix de l'homme, bien sur, et je ne vais pas revenir la dessus. Mais dois t'ont mourir pour son art ? Eteindre sa propre creativité afin de s'exploser dans les cieux comme une décoration de Noel rebelle qui attirerait l'attention de tous en s'elevant au dessus du sapin. Et ne me ramenez pas Hunter S Thompson dans la tronche, merci, il ne s'est pas donné la mort pour son art, mais parce qu'il en avait marre. D'ailleurs ça rime, hey, c'est peut-être le début d'une grande carrière. Mais bref, l'art ne dois pas aller a l'encontre de la creativité de l'artiste. La raison d'être de l'art est de faire ressentir l'artiste, lui permettre de s'exprimer et de faire ressortir ce qu'il cache dans son être. Mais cela ne dois pas etre une fin en soi, mais un moyen pour atteindre encore un autre domaine. C'est en cela que la musique de Blut Aus Nord est fascinante. Elle progresse sans cesse, échappe aux conventions d'un genre pour en recréer un autre et partir encore dans une autre direction ensuite. Elle vibre et respire autant que ses créateurs qui transmettent leurs propres battement de coeur par le biais de leurs albums. L'art est crée pour faire ressentir ce que votre propre experience n'avait pas encore atteint. Elle n'est pas une fin, elle est la progression. Et sur ce je conclu ce nouvel article en esperant ne pas etre devenus trop pompeux en developpant des thêmes qui me dépassent.
Saturday, October 22, 2005
the Chaos path
Comme à tous les concerts ou je me rends, l'achat du tee shirt est une phase obligatoire, surtout quand je suis fan d'un des groupes present lors de la soirée. C'est une manière de me faire un peu plus plaisir en gardant un souvenir du passage du groupe, mais aussi d'apporté une nouvelle contribution financière à un groupe d'artiste qui ont bien besoin de payer les factures en rentrant à la maison. Au concert d'Arcturus se fut chose faite et je repartis avec un design issus de l'album "" agrémenté au dos d'une inscription :
Watch out for the devil and his deep blue sea
Ce qui donne en français
Méfiez-vous du diable et de sa mer bleue et profonde
Histoire de passer pour le litteraire que je ne suis pas, je vous propose aujourd'hui une explication de cette phrase. Ma propre interpretation de ce qu'elle sous entends, si jamais j'avais à l'expliciter devant une commission de censure, un tribunal ou une simple personne rencontré dans la rue.
Alors pourquoi avoir associé le diable et la mer ? Il est géneralement accepté que Dieu réside dans les nuages. Il est celui qui nous observe mais qui nous toise aussi du regard, avec autant de bienveillance que l'on voudras lui accorder, soit. Sa position dans le ciel est un mur qui empêche aux hommes d'allez plus loin. Les hommes sont "condamnés" a rester sur Terre, et Dieu veille a ce que cela ne se produise pas. Il est donc l'ensemble des régles et des lois. Ce qui crée la limite. Mais il est aussi la possibilité de l'infinis. Que vois t'on dans les nuages sinon un horizon infinis offrant des millards de possibilités. Le ciel est sois embrumé par des nuages, sois constellé d'étoiles. Dans ses deux options ont peut voir un rapprochement avec le rêve et l'imagination. Dieu n'est pas un frein a l'imaginaire, ni aux possiblités multiples qui s'offrent a nous derrière la paroi de nuage mais il nous observe toujours afin de surveiller nos moindres actions.
En opposition au ciel, on retrouve donc le centre de la Terre, les Enfers et ses flots de lave bouillonant. Mais le Diable pourrait tout aussi bien resider dans la Mer. Contrairement au ciel, la Mer est l'illusion de l'infinis. En plongeant dans ses profondeurs nous sommes sur d'arriver à un moment donné au fond. La chute peut donner l'impression d'etre infinis mais la conclusion s'acheveras souvent de manière tragique. La mer est aussi le territoire des créatures tentatrices comme les Sirenes. Elles aussi sont des representations de l'illusion du rêve. Prenant l'apparence de belles jeunes femmes qui correspondent aux fantasmes des hommes (et des femmes, si jamais l'equipage d'Ulysse avait compris une lesbienne), elles ne sont en fait que des monstres se nourissant de leurs proies. Comme je le disais dans le paragraphe precedent, le ciel offre l'opportunité du rêve de l'imagination. La mer, par contre, ne nous renvoie que notre reflet déformé. Voila, en gros, ce que je pouvais vous dire sur ma vision de la mer et son rapport avec le diable. Maintenant, à vous de decider si vous voulez craindre la mer ou l'embrasser.
Watch out for the devil and his deep blue sea
Ce qui donne en français
Méfiez-vous du diable et de sa mer bleue et profonde
Histoire de passer pour le litteraire que je ne suis pas, je vous propose aujourd'hui une explication de cette phrase. Ma propre interpretation de ce qu'elle sous entends, si jamais j'avais à l'expliciter devant une commission de censure, un tribunal ou une simple personne rencontré dans la rue.
Alors pourquoi avoir associé le diable et la mer ? Il est géneralement accepté que Dieu réside dans les nuages. Il est celui qui nous observe mais qui nous toise aussi du regard, avec autant de bienveillance que l'on voudras lui accorder, soit. Sa position dans le ciel est un mur qui empêche aux hommes d'allez plus loin. Les hommes sont "condamnés" a rester sur Terre, et Dieu veille a ce que cela ne se produise pas. Il est donc l'ensemble des régles et des lois. Ce qui crée la limite. Mais il est aussi la possibilité de l'infinis. Que vois t'on dans les nuages sinon un horizon infinis offrant des millards de possibilités. Le ciel est sois embrumé par des nuages, sois constellé d'étoiles. Dans ses deux options ont peut voir un rapprochement avec le rêve et l'imagination. Dieu n'est pas un frein a l'imaginaire, ni aux possiblités multiples qui s'offrent a nous derrière la paroi de nuage mais il nous observe toujours afin de surveiller nos moindres actions.
En opposition au ciel, on retrouve donc le centre de la Terre, les Enfers et ses flots de lave bouillonant. Mais le Diable pourrait tout aussi bien resider dans la Mer. Contrairement au ciel, la Mer est l'illusion de l'infinis. En plongeant dans ses profondeurs nous sommes sur d'arriver à un moment donné au fond. La chute peut donner l'impression d'etre infinis mais la conclusion s'acheveras souvent de manière tragique. La mer est aussi le territoire des créatures tentatrices comme les Sirenes. Elles aussi sont des representations de l'illusion du rêve. Prenant l'apparence de belles jeunes femmes qui correspondent aux fantasmes des hommes (et des femmes, si jamais l'equipage d'Ulysse avait compris une lesbienne), elles ne sont en fait que des monstres se nourissant de leurs proies. Comme je le disais dans le paragraphe precedent, le ciel offre l'opportunité du rêve de l'imagination. La mer, par contre, ne nous renvoie que notre reflet déformé. Voila, en gros, ce que je pouvais vous dire sur ma vision de la mer et son rapport avec le diable. Maintenant, à vous de decider si vous voulez craindre la mer ou l'embrasser.
Friday, October 21, 2005
Ce titre est provisoire
Je n'ai encore jamais été et ne serait surement jamais un voleur. J'ai, bien sur, subtilisé des objets dans des magazins, et mes parents se souviennent peut-être de ce fameux playmobile que je cachais derrière mon dos. Mais il y a une différence dans mon vocabulaire entre l'action de voler et le voleur. Le vol est un acte que l'on commet de temps à autre. Le voleur vie du vol lui. Ses actions sont rythmés par le vol. Et lorsque vous partez en vacance, le voleur continue de venir voler chez vous. Ca ne s'arrete jamais. Pas de trêves et surtout pas de compromis. Prenez John Dortmunder. Voleur patenté depuis des lustres, il a même rencontré sa femme par le biais d'un vol dans un supermarché. Qu'y a t'il de plus romantique, vous pouvez me le dire ? Non bien sur, vous ne le pouvez pas, vous êtes le lecteur et je tiens les râmes. Donc je continue. Mr Dortmunder est donc un véritable voleur. Et ses amis le sont aussi tous, des voleurs et des escros. Mais pas fonciérement mauvais, n'allez pas croire les portraits shématique et gribouillé que l'on peut faire d'eux. Etre voleur n'equivaut pas a violer les femmes et les enfants d'abord. Etre voleur, plus qu'un métier, c'est une vocation.
Or, un soir ou John se mettait au travail avec un de ses camarades, il se retrouve nez à nez avec le propriétaire de la maison. Un milliardaire qui n'avait rien à faire là, et a plusieurs titres d'ailleurs. D'une part la maison etait placé sous contrôle d'un juge étant donné le statut financier du milliardaire. Et en plus il s'y trouve avec sa maîtresse, une innocente jeune fille qui a posé dans le, tout aussi, innocent magazine qu'est Playboy. Les deux hommes qui n'etait censé jamais se rencontrer se retrouve alors face à face. L'un a bout du canon et l'autre tenant la crosse de l'arme. Et bien entendu, celui qui tiens le flingue, ce n'est pas John Dortmunder. Vous voyez comme je vous disais que l'on se fait une fausse idée sur les voleurs. D'ailleurs le matin même, il avait reçut une bague de la part de son épouse. Une bague hérité d'un viel oncle et doté, normalement, du pouvoir de procurer de la chance à quiconque la possederait. On vous fait parfois des cadeaux totalement inutile quand on est en couple, mais celui ci vallait tout de même vraiment le coup. Or, a l'arrivé de la police, suite a l'appel de l'innoportun milliardaire, celui ci déclare a l'agent de police que la bague que porte John Dortmunder est en fait à lui !
Le voleur deviens volé et quand l'ordre des choses est bousculé, rien ne va plus. Une expedition est alors mis en marche, une assemblée de voleurs, de conducteurs de taxis, de crocheteurs de serrures et autres expert en filouterie se mets en marche derrière John Dortmunder. Car voila, volé un voleur, ça fait rire tout le monde, mais volé un milliardaire c'est tout autre chose. Et puis , au pire, qu'est ce qu'on risque ? Voila donc ce que pourrait etre le quatrième de couverture de ce livre si il avait été redigé par mes soins. Ce ne serait pas rentré sur toute la page et on aurait surement dut rajouter un cinquième de couverture, une première ! Mais afin de faire plus court, j'emprunterais au journaliste et au gens du marketing leur "talent" pour resumer en une ligne le contenus de ce livre : C'est comme Ocean Eleven mais avec une bande de bras cassés. Autant Andy Kelp et John Dortmunder sont des voleurs aguerris, autant leurs exploits tiennent tout de même plus du coup de chance gigantesque et de l'experience que d'une véritable technique efficace à 100% Et de toute manière, si ils etaient si bons que ça, ils ne se trouveraient pas avec John Dortmunder.
Au pire qu'est ce qu'on risque est le premier livre de Donald Westlake qui a eu le bonheur de se touver entre mes mains, et au bout de quelques pages j'avais comprit pourquoi certain l'insultait en le traitant de "genie". Il y a dans le style de Westlake et dans son humour quelque chose de frais et d'intemporelle. On ne fais pas dans la grosse blague, dans la tarte a la crême ou dans la blague de cul. Westlake se moque du monde, de leurs manières, de leurs croyances, de leurs caracthère. Tout ce qui fait des individus ce qu'ils sont et toute l'absurdité de leur vie est tourné en dérision dans ses livres. Et plus precisement dans ce livre. Dortmunder est un personnage attachant mais très souvent idiot, impulsif, colérique et totalement inculte. On se demande même comment a t'il put emprunter une carrière qui demande tout l'inverse de ce qu'il est, et comment reussit il a subvenir à ses besoins et à ceux de sa femme. Quoi que celle ci travaille toujours. Il faut bien contrebalancer un peu avec la malhonneteté de son mari. Dortmunder et ses compagnons ne sont, de toute manière, pas de mauvaises personnes. Pas des violeurs, des bourreaux d'enfants ou des milliardaire. Juste des hommes sympathique et bourrés de défaut. Vous devriez donc vous retrouvez dans eux et apprecier ce livre à sa juste valeur. De toute manière, au pire, qu'est ce que vous risquez ?
Or, un soir ou John se mettait au travail avec un de ses camarades, il se retrouve nez à nez avec le propriétaire de la maison. Un milliardaire qui n'avait rien à faire là, et a plusieurs titres d'ailleurs. D'une part la maison etait placé sous contrôle d'un juge étant donné le statut financier du milliardaire. Et en plus il s'y trouve avec sa maîtresse, une innocente jeune fille qui a posé dans le, tout aussi, innocent magazine qu'est Playboy. Les deux hommes qui n'etait censé jamais se rencontrer se retrouve alors face à face. L'un a bout du canon et l'autre tenant la crosse de l'arme. Et bien entendu, celui qui tiens le flingue, ce n'est pas John Dortmunder. Vous voyez comme je vous disais que l'on se fait une fausse idée sur les voleurs. D'ailleurs le matin même, il avait reçut une bague de la part de son épouse. Une bague hérité d'un viel oncle et doté, normalement, du pouvoir de procurer de la chance à quiconque la possederait. On vous fait parfois des cadeaux totalement inutile quand on est en couple, mais celui ci vallait tout de même vraiment le coup. Or, a l'arrivé de la police, suite a l'appel de l'innoportun milliardaire, celui ci déclare a l'agent de police que la bague que porte John Dortmunder est en fait à lui !
Le voleur deviens volé et quand l'ordre des choses est bousculé, rien ne va plus. Une expedition est alors mis en marche, une assemblée de voleurs, de conducteurs de taxis, de crocheteurs de serrures et autres expert en filouterie se mets en marche derrière John Dortmunder. Car voila, volé un voleur, ça fait rire tout le monde, mais volé un milliardaire c'est tout autre chose. Et puis , au pire, qu'est ce qu'on risque ? Voila donc ce que pourrait etre le quatrième de couverture de ce livre si il avait été redigé par mes soins. Ce ne serait pas rentré sur toute la page et on aurait surement dut rajouter un cinquième de couverture, une première ! Mais afin de faire plus court, j'emprunterais au journaliste et au gens du marketing leur "talent" pour resumer en une ligne le contenus de ce livre : C'est comme Ocean Eleven mais avec une bande de bras cassés. Autant Andy Kelp et John Dortmunder sont des voleurs aguerris, autant leurs exploits tiennent tout de même plus du coup de chance gigantesque et de l'experience que d'une véritable technique efficace à 100% Et de toute manière, si ils etaient si bons que ça, ils ne se trouveraient pas avec John Dortmunder.
Au pire qu'est ce qu'on risque est le premier livre de Donald Westlake qui a eu le bonheur de se touver entre mes mains, et au bout de quelques pages j'avais comprit pourquoi certain l'insultait en le traitant de "genie". Il y a dans le style de Westlake et dans son humour quelque chose de frais et d'intemporelle. On ne fais pas dans la grosse blague, dans la tarte a la crême ou dans la blague de cul. Westlake se moque du monde, de leurs manières, de leurs croyances, de leurs caracthère. Tout ce qui fait des individus ce qu'ils sont et toute l'absurdité de leur vie est tourné en dérision dans ses livres. Et plus precisement dans ce livre. Dortmunder est un personnage attachant mais très souvent idiot, impulsif, colérique et totalement inculte. On se demande même comment a t'il put emprunter une carrière qui demande tout l'inverse de ce qu'il est, et comment reussit il a subvenir à ses besoins et à ceux de sa femme. Quoi que celle ci travaille toujours. Il faut bien contrebalancer un peu avec la malhonneteté de son mari. Dortmunder et ses compagnons ne sont, de toute manière, pas de mauvaises personnes. Pas des violeurs, des bourreaux d'enfants ou des milliardaire. Juste des hommes sympathique et bourrés de défaut. Vous devriez donc vous retrouvez dans eux et apprecier ce livre à sa juste valeur. De toute manière, au pire, qu'est ce que vous risquez ?
Wednesday, October 19, 2005
Le temps passe trop vite
Je parlais de Metablogging il y a quelques jours, ajoutant ainsi ma touche personnel a un dictionnaire bien surchargé avec un néologisme de ma composition, comme etant l'art de parler des blogs sur un blog. On ne se lasse jamais de regarder son propre nombrile et de ce fait, il est temps de recommencer en parlant du manque de commentaires sur mon blog. J'en parle déja bien assez au personne qui ont le malheur de me cotoyer pour que cela ne les etonne pas. Des commentaires, je veut des commentaires. "Lachez vos coms quoi", comme dirait un jeune, prisonnier de sa solitude, sur son petit skyblog, perdus au millieu des autres Robinson Crusoé adolescent que Skyrock a lancé perfidement sur la mer des sites internet. Le commentaire, cette denrée rare qui fait vivre chaque blog et donne a son créateur un peu plus l'envie de continuer, même si tout ce que l'on lui demande est qu'il s'arrete d'ecrire sans regarder son écran et commence à corriger ses fautes d'orthographe avant de continuer a poster sur son foutus blog.
Je ne vous le ferais pas dire, mais sachez bien, cher lecteur qui s'appretent à partir et à ne plus jamais revenir, que même si un blog est souvent tourné vers soi même, si on le met sur le net, c'est bien pour se tourner un peu vers les autres. Recolter quelques avis, même défavorable, ce n'est pas inutile et c'est même vital, si on ne veut pas finir comme un navet dans un champ de betteraves quand on vous annonce que vous êtes le seul à ne pas etre accepté dans votre école de journalisme parce que vous ecrivez vraiment comme un pied. Mais pourtant tout mes amis disez que ... Et voila, vous êtes foutus. Heuresement que je ne compte pas seulement sur vous, bande de faux jetons ! Je dresse là un portrait vraiment trop extrême de ma situation, mais c'est un peu ce que je ressend, sauf pour la partie sur les faux jetons, partez pas comme ça. Je vous aime tous. Et puis le site avec les conjugaisons va m'etre bien utile pour repasser ces versbes que j'avais trop vite oublié en sortant du lycée. Quoi que déja au collège. Et puis en sortant de la maternelle. Je ferais peut-être mieux de revenir en classe de CP pour apprendre a dessiner des majuscules. Je ne suis méme plus sur de savoir comment on le fait.
En voila d'ailleurs un bon sujet auquel je n'avais pas pensé. Vos restes de connaissances du lycée et du collège, vous tous, pour la plupart, qui sortez de ce millieu clos et confus , que reste il de vos années de cours avec des profs effrayant. Grattant pendant une petite heure (déja bien longue) chaques noms des presidents de la Republique et recitant vos fables de la Fontaine. De toutes ces heures, à part la lumière aveuglante au petit matin, et les rayons de soleill qui percait a travers les fenetres, je me souviens uniquement des voix de mes professeurs et non du contenus de leur enseignement. Les cahiers et les classeurs sont maintenant enfouis à la cave tandis que les leçons de biologie sont partis rejoindre les petits noms que je donnais à chacune de mes poupées Barbies Oui, ça fait déja si longtemps pour moi. Si longtemps dans mon esprit, mais pas si loin dans l'espace temps. Mais qu'est ce qui comptes le plus au final ? Encore une preuve que la notion de temps est bien arbitraire. Et encore une preuve de mon manque d'inspiration si je continue a revenir sur mes anciens articles. Promis je tacherais d'ameliorer cela pour la prochaine fois ou je me mettrais a tapoter devant mon ecran pour vous apporter les dernières nouvelles de mon petit monde. J'en profite quand même pour lancer un grand merci aux quelques personnes qui continuent à me lire. A ceux qui m'encouragent, ils se reconnaitront, je leurs envoie quelques chèques cadeaux de la Redoute. Et a ceux qui lisent sans rien dire je les remercie aussi de prendre le temps de le faire.
Je ne vous le ferais pas dire, mais sachez bien, cher lecteur qui s'appretent à partir et à ne plus jamais revenir, que même si un blog est souvent tourné vers soi même, si on le met sur le net, c'est bien pour se tourner un peu vers les autres. Recolter quelques avis, même défavorable, ce n'est pas inutile et c'est même vital, si on ne veut pas finir comme un navet dans un champ de betteraves quand on vous annonce que vous êtes le seul à ne pas etre accepté dans votre école de journalisme parce que vous ecrivez vraiment comme un pied. Mais pourtant tout mes amis disez que ... Et voila, vous êtes foutus. Heuresement que je ne compte pas seulement sur vous, bande de faux jetons ! Je dresse là un portrait vraiment trop extrême de ma situation, mais c'est un peu ce que je ressend, sauf pour la partie sur les faux jetons, partez pas comme ça. Je vous aime tous. Et puis le site avec les conjugaisons va m'etre bien utile pour repasser ces versbes que j'avais trop vite oublié en sortant du lycée. Quoi que déja au collège. Et puis en sortant de la maternelle. Je ferais peut-être mieux de revenir en classe de CP pour apprendre a dessiner des majuscules. Je ne suis méme plus sur de savoir comment on le fait.
En voila d'ailleurs un bon sujet auquel je n'avais pas pensé. Vos restes de connaissances du lycée et du collège, vous tous, pour la plupart, qui sortez de ce millieu clos et confus , que reste il de vos années de cours avec des profs effrayant. Grattant pendant une petite heure (déja bien longue) chaques noms des presidents de la Republique et recitant vos fables de la Fontaine. De toutes ces heures, à part la lumière aveuglante au petit matin, et les rayons de soleill qui percait a travers les fenetres, je me souviens uniquement des voix de mes professeurs et non du contenus de leur enseignement. Les cahiers et les classeurs sont maintenant enfouis à la cave tandis que les leçons de biologie sont partis rejoindre les petits noms que je donnais à chacune de mes poupées Barbies Oui, ça fait déja si longtemps pour moi. Si longtemps dans mon esprit, mais pas si loin dans l'espace temps. Mais qu'est ce qui comptes le plus au final ? Encore une preuve que la notion de temps est bien arbitraire. Et encore une preuve de mon manque d'inspiration si je continue a revenir sur mes anciens articles. Promis je tacherais d'ameliorer cela pour la prochaine fois ou je me mettrais a tapoter devant mon ecran pour vous apporter les dernières nouvelles de mon petit monde. J'en profite quand même pour lancer un grand merci aux quelques personnes qui continuent à me lire. A ceux qui m'encouragent, ils se reconnaitront, je leurs envoie quelques chèques cadeaux de la Redoute. Et a ceux qui lisent sans rien dire je les remercie aussi de prendre le temps de le faire.
Stop ! In the name of Love !
Comme je le disait dans un precedent article, nous sommes dependant des ordinateurs. Le probleme est que eux ne le savent pas, s'en foutent, ou on un malin plaisir a jouer avec nos nerfs en connaissance de cause. L'exemple le plus frequent etant le plantage d'ordinateur. Comment pouvez vous demarrer votre journée efficacement et dans une plenitude d'esprit semblable au Bouddha si vos téléchargement sur Emule se sont arretés quand "Mr" l'ordinateur a décidé qu'il était temps de faire un somme. Tel le grand patron omnipotent que nous sommes, nous ne concevons pas que notre employé favoris se repose un quart d'heure quand il risque de mettre en retard toute la chaine de production. Alors nous l'insultons et nous le frappons en le menaçant mais rien ne change et la bete de fer continue de rester immobile, quitte même a griller un fusible afin de vous faire ressentir l'ironie de vos excès envers sa personne.
Mais soyons honnête quelques instants, si les plantages mineurs sont frequents, les plantages majeurs le sont moins. et à moins que vous n'ayez decidé de recopier les plans de construction de l'ordinateur de bord de 2001, l'Odyssée de l'espace, votre machine ne devrait pas être doué de la parole, et encore moins d'une conscience. On a pas encore vu une machine prendre la decision d'elle même de supprimer des fichiers qu'elle n'aimerait pas, ça c'est le rôle du bon vieux virus des familles. Mais curieusement, c'est toujours l'ordinateur le responsable quand vous relatez l'histoire à vos amis. Pas le virus. C'est l'ordinateur qui aurait dut prendre la decision de mettre en marche son pare feu. Pas vous. De ce fait, l'ordinateur a bon dos et tel Jésus quand il traversa sa ville natale en portant sa croix, on aime a lui jetter le plus de pierre possible. Ca en deviens même un concours entre amis et une excuse parfaite pour justifier votre propres erreurs.
Je lisais ce matin un interview de Greg Pucciato, le chanteur de the Dillinger Escape Plan, et celui ci justifiait son retard concernant un projet parallèle en expliquant qu'un récent plantage de son ordinateur lui avait fait perdre toutes les donnés qu'il avait put accumulés sur le projet en question. Foutaise et excuse bidon. Autant l'avouer tout simplement Greg, tu avais autre chose a faire en ce moment, ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde. Regarde moi avec mon blog ou je me promettais d'ecrire tout les jours. Est ce que je n'ai pas faillis à la tache ? Et a plusieurs reprises en prime. Mais non, on jette encore du sucre sur le dos de l'ordinateur. De même, l'ordinateur peut aussi être un excellent fournisseur d'excuse. Mettons que vous soyez un eminent membre d'une communauté sur un forum de discussion. Votre popularité n'est plus à son plus haut niveau et vous ne savez plus quoi faire pour redorer votre blason. Et bien c'est là qu'interviens votre cher ordinateur !
Après un ou deux jours d'absence, vous revenez sur votre bien aimé forum et declarer, dans un topic specialement crée a cet effet, que votre ordinateur vous pose des problêmes et que vous ne pourrez pas revenir avant un temps indéfinis. Les membres de votre communauté se jetteront alors sur l'occasion pour vous souhaiter bonne chance et partager ensemble toutes leurs "excellentes" anecdotes sur des plantages personnels. Il ne vous suffit plus que d'attendre pour revenir faire votre triomphe au bout de deux semaines en annoncant que "vous avez tous réparé et que plus rien ne nous sépareras plus jamais". Ce que l'on oublie de noter c'est que vous avez prevenus tout le forum que votre ordinateur plantait, à partir d'un ordinateur Ordinateur qui était censé ne plus être en état de marche. Suspect ? Pas qu'un peu. L'excuse eculé de la plantade prolongé ne prends plus et vous feriez mieux de vous exiler sur une autre île pendant quelques mois si vous ne voulez pas entendre votre MSN sonner de toute part quand vous mettrez le bout de votre nez de nouveau sur la toile.
Aussi pratique que peut-être l'excuse de l'inefficacité de l'ordinateur, elle peut donc vous porter préjudice. Il existe d'ailleurs des cas extrême ou cette excuse est employé sans même le savoir. Prenons le cas de Mr Axel Rose. Ancien chanteur de Guns and Roses, il souhaite depuis 8 ans sortir son nouvel album que l'on annonce comme "incroyable, fantastique, inimaginable". Seulement voila, perdus dans ses petites pensées centré sur lui même, Axel ne s'est pas tenus au courant de la technologie et n'ose avouer à personne qu'il ne sais pas se servir de son ordinateur. Ainsi, tout comme vous et vos telechargements sur la mule, celui ci ne se prive pas de faire tourner son ordinateur pendant des jours et des jours, pensant surement que comme les Tamagoshi, si on éteinds la bestiole, elle s'eteint emportant dans son ventre les precieuses données. Ainsi donc, une a deux fois par moins, la femme de ménage passe dans son studio et n'oublie pas d'éteindre l'ordinateur quand elle le vois fumant et pret a recevoir des oeufs a faire cuir. Axel reviens donc à son studio le lendemain pour decouvir la bête inactive. Et meurtris dans son âme, il recommence a composer en partant de zéro tandis qu'aucun des executifs au label n'ose lui avouer que les données ne sont pas perdus. Ou alors peut-etre ne sont ils pas non plus au fait des questions techniques et cela expliquerait alors pourquoi certains albums se retrouvent retarder de mois en mois alors que la sortie se faisait imminente. La morale de l'histoire ? Si vous voulez entendre de nouvelles chansons de Guns and Roses, allez faire un tour dans la décharge du studio ou loge le blondinet.
Mais soyons honnête quelques instants, si les plantages mineurs sont frequents, les plantages majeurs le sont moins. et à moins que vous n'ayez decidé de recopier les plans de construction de l'ordinateur de bord de 2001, l'Odyssée de l'espace, votre machine ne devrait pas être doué de la parole, et encore moins d'une conscience. On a pas encore vu une machine prendre la decision d'elle même de supprimer des fichiers qu'elle n'aimerait pas, ça c'est le rôle du bon vieux virus des familles. Mais curieusement, c'est toujours l'ordinateur le responsable quand vous relatez l'histoire à vos amis. Pas le virus. C'est l'ordinateur qui aurait dut prendre la decision de mettre en marche son pare feu. Pas vous. De ce fait, l'ordinateur a bon dos et tel Jésus quand il traversa sa ville natale en portant sa croix, on aime a lui jetter le plus de pierre possible. Ca en deviens même un concours entre amis et une excuse parfaite pour justifier votre propres erreurs.
Je lisais ce matin un interview de Greg Pucciato, le chanteur de the Dillinger Escape Plan, et celui ci justifiait son retard concernant un projet parallèle en expliquant qu'un récent plantage de son ordinateur lui avait fait perdre toutes les donnés qu'il avait put accumulés sur le projet en question. Foutaise et excuse bidon. Autant l'avouer tout simplement Greg, tu avais autre chose a faire en ce moment, ce n'est pas grave, ça arrive à tout le monde. Regarde moi avec mon blog ou je me promettais d'ecrire tout les jours. Est ce que je n'ai pas faillis à la tache ? Et a plusieurs reprises en prime. Mais non, on jette encore du sucre sur le dos de l'ordinateur. De même, l'ordinateur peut aussi être un excellent fournisseur d'excuse. Mettons que vous soyez un eminent membre d'une communauté sur un forum de discussion. Votre popularité n'est plus à son plus haut niveau et vous ne savez plus quoi faire pour redorer votre blason. Et bien c'est là qu'interviens votre cher ordinateur !
Après un ou deux jours d'absence, vous revenez sur votre bien aimé forum et declarer, dans un topic specialement crée a cet effet, que votre ordinateur vous pose des problêmes et que vous ne pourrez pas revenir avant un temps indéfinis. Les membres de votre communauté se jetteront alors sur l'occasion pour vous souhaiter bonne chance et partager ensemble toutes leurs "excellentes" anecdotes sur des plantages personnels. Il ne vous suffit plus que d'attendre pour revenir faire votre triomphe au bout de deux semaines en annoncant que "vous avez tous réparé et que plus rien ne nous sépareras plus jamais". Ce que l'on oublie de noter c'est que vous avez prevenus tout le forum que votre ordinateur plantait, à partir d'un ordinateur Ordinateur qui était censé ne plus être en état de marche. Suspect ? Pas qu'un peu. L'excuse eculé de la plantade prolongé ne prends plus et vous feriez mieux de vous exiler sur une autre île pendant quelques mois si vous ne voulez pas entendre votre MSN sonner de toute part quand vous mettrez le bout de votre nez de nouveau sur la toile.
Aussi pratique que peut-être l'excuse de l'inefficacité de l'ordinateur, elle peut donc vous porter préjudice. Il existe d'ailleurs des cas extrême ou cette excuse est employé sans même le savoir. Prenons le cas de Mr Axel Rose. Ancien chanteur de Guns and Roses, il souhaite depuis 8 ans sortir son nouvel album que l'on annonce comme "incroyable, fantastique, inimaginable". Seulement voila, perdus dans ses petites pensées centré sur lui même, Axel ne s'est pas tenus au courant de la technologie et n'ose avouer à personne qu'il ne sais pas se servir de son ordinateur. Ainsi, tout comme vous et vos telechargements sur la mule, celui ci ne se prive pas de faire tourner son ordinateur pendant des jours et des jours, pensant surement que comme les Tamagoshi, si on éteinds la bestiole, elle s'eteint emportant dans son ventre les precieuses données. Ainsi donc, une a deux fois par moins, la femme de ménage passe dans son studio et n'oublie pas d'éteindre l'ordinateur quand elle le vois fumant et pret a recevoir des oeufs a faire cuir. Axel reviens donc à son studio le lendemain pour decouvir la bête inactive. Et meurtris dans son âme, il recommence a composer en partant de zéro tandis qu'aucun des executifs au label n'ose lui avouer que les données ne sont pas perdus. Ou alors peut-etre ne sont ils pas non plus au fait des questions techniques et cela expliquerait alors pourquoi certains albums se retrouvent retarder de mois en mois alors que la sortie se faisait imminente. La morale de l'histoire ? Si vous voulez entendre de nouvelles chansons de Guns and Roses, allez faire un tour dans la décharge du studio ou loge le blondinet.
Sunday, October 16, 2005
Vers l'infinis et au delà !
Le futur n'est plus ce qu'il était. Des pays s'effondrant peu à peu dans les oceans et des conflits de territoire s'intensifiant tandis que les catastrophes naturelles se déchainent contre nous, pauvres humains à la chair si tendre, a tel point que nous pourrions passer pour la nouvelle espèce en voie de disparition. C'est dans le contexte qui continue a se dessiner depuis une bonne vingtaine d'années, sinon plus, que les enfants que nous sommes continuons de regretter un peu le temps ou nos grands parents fantasmaient sur des robots et des voyages jusqu'as Mars dès l'an 2005. Et comme vous pouvez le remarquer autour de vous, nous sommes en retard sur le planning. Les voyages vers d'autres planètes ne sont pas encore a l'ordre du jour alors que nos pauvres avions souffrent toujours de problêmes techniques, peut-être, irrémediable. Si la technologie devait etre notre nouvelle planche de salut, elle est devenus notre virus. Aggripé à chacun d'entre nous. Nous ne pouvons nous en défaire mais nous ne pouvons pas non plus vivre sans elle.
Peut etre bien que Masamune Shirow avait prévus cela depuis longtemps, mais ses séries, Ghost in the Shell et Appleseed en première ligne, prennent de plus en plus des allures prophetiques. Caché derrière une identité secrète, minus les pantalons en spandex, chacun des tomes de ses séries sont acceuillient à bras ouvert par des fans fidèles tandis que la critique s'empourpre de rage à ne pas comprendre ce que l'on peut trouver a des scénarios dont le degré de complexité dépasse le ridicule. Shirow n'est pas homme a être avard de reference, et la dernière adaptation de Ghost in the Shell, "Innocense", le prouve très bien, malgrès qu'elle ne sois pas réalisé par lui. Constellé de citations, chaque personnage est un dictionnaire à lui tout seul, ne parlant que rarement en leurs noms propres mais en referecant des dizaines d'auteurs. Chacun apportant sa vision des évenements afin de reconstituer le puzzle des hypothèses que les auteurs, Masamune Shirow (puisque le film est tout de même une adaptation d'une histoire originale tiré du manga) et Mamuro Oshi, exposent a leurs spectateurs.
Le choix, voila ce que tente de redonner les personnages de Ghost in the Shell a l'humanité. Celui de pouvoir se saisir un peu plus de leur vie pour mieux apprehender un lendemain de plus en plus noir. Constitué de membres d'une unité anti terroristes, les baroudeurs de chocs de la section 9 ne sont pas de simples detectives mais des professionels de la traque contre les terroristes issus d'une nouvelle generation ou les reprogrammation d'être humains ne sont plus un cauchemard mais une réalité. Emporté par les miracles de l'informatique, chacun est maintenant relié a differents reseaux par le biais d'implants cyborg. Une merveille qui facilite la vie de tout les jours mais offre aussi le champ libre pour voir sa propre personalité piraté du jour au lendemain. Voila en gros le concept que developpe Shirow dans cette série. Au lieu de faire dans de l'action pure, il ancre son histoire dans un contexte politico diplomatique développés au fur et a mesure des années.
Son rapport à la technologie est lui aussi extremement minutieux et a de quoi rebuter tout lecteurs normalement constitués quand, entre deux pirouettes matrixienne, l'heroïne principale, Motoko Kusanagi, fait echapper de son esprit des ordres a ses assistants virtuels afin de brouiller des capteurs. Et quand je parle "d'ordre" je ne dis pas juste "detruit moi ce machin", mais plutot quelque chose de l'ordre de "brouille le capteur X14 et passe en mode .... pour lui lancer le firewall anti ...". Et le pire c'est que tout cela ne semble pas etre inventé par l'auteur en fonction de son inspiration mais s'inspire de veritables programmes. De même pour les armes a feu et autres vehicules. Avec ça vous avez de quoi remplir une encyclopedie d'agent anti terroriste pour vous proteger pendant les centaines d'années à venir. Moule détails et anotions surgissent des bulles et d'en dessus ou dessous les planches afin d'amener encore plus de profondeur a l'univers et aux actions. Et c'est là ou les avis sont divisés.
Sois les disgressions de l'auteurs sont trop pointus et perdent le lecteur, sois elles sont une merveilles indispensables facilitant l'immersion dans l'intrigue. J'appartiens au second camp et je défends fierement ma position de fan boy. Mon dernier achat d'une jolie petite statuette du major Motoko Kusanagi en est une preuve assez eloquante etant donné qu'il n'y a que les pervers ou les fanatiques d'une série pour passer et repasser devant une statuette avec un petit sourire d'appreciation. Alors oeuvre reservé à un public avertis ou histoire visionnaire predisant la nature des conflits de demain. Ghost in the Shell n'est surement ni l'un, ni l'autre, mais puise un peu dans chaque camps pour former une mixture plus ou moins digeste de scènes d'actions ou voltigent les balles (beaucoup) et les petites culottes (un peu) tandis qu'une nouvelle technologie a moitié fantasmé decolle des pages grace à une colorisation informatique visionnaire ainsi qu'un sens du détail que Jack Kirby aurait surement apprecié. Le parallèle entre les deux auteurs et d'ailleurs finalement plus profond que ça. Car si Kirby a crée des récits épiques et complexe se fondant sur une logique totalement nouvelle, Shirow se base par contre sur une logique beaucoup plus contemporaine mais en la réactualisant avec les valeurs morales d'un monde qui n'as pas sut arriver à maturité alors qu'on lui offrait les armes qui ont fait d'eux des dieux. Je devrais peut-être arreter, moi aussi, de manger un dictionnaire à chaque repas.
Peut etre bien que Masamune Shirow avait prévus cela depuis longtemps, mais ses séries, Ghost in the Shell et Appleseed en première ligne, prennent de plus en plus des allures prophetiques. Caché derrière une identité secrète, minus les pantalons en spandex, chacun des tomes de ses séries sont acceuillient à bras ouvert par des fans fidèles tandis que la critique s'empourpre de rage à ne pas comprendre ce que l'on peut trouver a des scénarios dont le degré de complexité dépasse le ridicule. Shirow n'est pas homme a être avard de reference, et la dernière adaptation de Ghost in the Shell, "Innocense", le prouve très bien, malgrès qu'elle ne sois pas réalisé par lui. Constellé de citations, chaque personnage est un dictionnaire à lui tout seul, ne parlant que rarement en leurs noms propres mais en referecant des dizaines d'auteurs. Chacun apportant sa vision des évenements afin de reconstituer le puzzle des hypothèses que les auteurs, Masamune Shirow (puisque le film est tout de même une adaptation d'une histoire originale tiré du manga) et Mamuro Oshi, exposent a leurs spectateurs.
Le choix, voila ce que tente de redonner les personnages de Ghost in the Shell a l'humanité. Celui de pouvoir se saisir un peu plus de leur vie pour mieux apprehender un lendemain de plus en plus noir. Constitué de membres d'une unité anti terroristes, les baroudeurs de chocs de la section 9 ne sont pas de simples detectives mais des professionels de la traque contre les terroristes issus d'une nouvelle generation ou les reprogrammation d'être humains ne sont plus un cauchemard mais une réalité. Emporté par les miracles de l'informatique, chacun est maintenant relié a differents reseaux par le biais d'implants cyborg. Une merveille qui facilite la vie de tout les jours mais offre aussi le champ libre pour voir sa propre personalité piraté du jour au lendemain. Voila en gros le concept que developpe Shirow dans cette série. Au lieu de faire dans de l'action pure, il ancre son histoire dans un contexte politico diplomatique développés au fur et a mesure des années.
Son rapport à la technologie est lui aussi extremement minutieux et a de quoi rebuter tout lecteurs normalement constitués quand, entre deux pirouettes matrixienne, l'heroïne principale, Motoko Kusanagi, fait echapper de son esprit des ordres a ses assistants virtuels afin de brouiller des capteurs. Et quand je parle "d'ordre" je ne dis pas juste "detruit moi ce machin", mais plutot quelque chose de l'ordre de "brouille le capteur X14 et passe en mode .... pour lui lancer le firewall anti ...". Et le pire c'est que tout cela ne semble pas etre inventé par l'auteur en fonction de son inspiration mais s'inspire de veritables programmes. De même pour les armes a feu et autres vehicules. Avec ça vous avez de quoi remplir une encyclopedie d'agent anti terroriste pour vous proteger pendant les centaines d'années à venir. Moule détails et anotions surgissent des bulles et d'en dessus ou dessous les planches afin d'amener encore plus de profondeur a l'univers et aux actions. Et c'est là ou les avis sont divisés.
Sois les disgressions de l'auteurs sont trop pointus et perdent le lecteur, sois elles sont une merveilles indispensables facilitant l'immersion dans l'intrigue. J'appartiens au second camp et je défends fierement ma position de fan boy. Mon dernier achat d'une jolie petite statuette du major Motoko Kusanagi en est une preuve assez eloquante etant donné qu'il n'y a que les pervers ou les fanatiques d'une série pour passer et repasser devant une statuette avec un petit sourire d'appreciation. Alors oeuvre reservé à un public avertis ou histoire visionnaire predisant la nature des conflits de demain. Ghost in the Shell n'est surement ni l'un, ni l'autre, mais puise un peu dans chaque camps pour former une mixture plus ou moins digeste de scènes d'actions ou voltigent les balles (beaucoup) et les petites culottes (un peu) tandis qu'une nouvelle technologie a moitié fantasmé decolle des pages grace à une colorisation informatique visionnaire ainsi qu'un sens du détail que Jack Kirby aurait surement apprecié. Le parallèle entre les deux auteurs et d'ailleurs finalement plus profond que ça. Car si Kirby a crée des récits épiques et complexe se fondant sur une logique totalement nouvelle, Shirow se base par contre sur une logique beaucoup plus contemporaine mais en la réactualisant avec les valeurs morales d'un monde qui n'as pas sut arriver à maturité alors qu'on lui offrait les armes qui ont fait d'eux des dieux. Je devrais peut-être arreter, moi aussi, de manger un dictionnaire à chaque repas.
Saturday, October 15, 2005
I am giving you a choice
Comme chacun sais, du moins si par "chacun" on entend les passionnés de musiques extrêmes, le Canade est la patrie de bon nombre de terroristes sonores comme Strapping Young Lad, Axis of Advance ou Neuraxis (tiens, deux axis, etrange). Ion Dissonance, dont le precedent opus etait l'equivalent d'un match de boxe dans une allé sombre avec Mike Tyson, viens asseoir sa position de chef de classe avec "Solace", leur deuxième album pour Abacus Recording (filiale de Century Media, donc pas un petit label de rien du tout). Alors que la tendance du metal moderne tant vers une mise en valeur du refrain melodique et une accroche presque immediate a un produit bien marketé, Ion Dissonance prends le revers de tout cela pour s'afficher encore plus dans des tendances extremes et meutrières. Autant vous le dire tout de suite, ce n'est pas le Petit Chaperon Rouge et vous n'aurez pas droit a une happy end. L'histoire que "raconte" Solace (precision : ce n'est pas un concept album, c'est uniquement une tournure de phrase) se situerait plutot dans le meme registre que ... non, personne, je ne peut pas continuer plus loin ma metaphores avec le domaine litteraire, je manque vraiment trop de reference en la matière.
Donc dehors les métaphores litteraire et revenons en au bonne vielle comparaisons à l'ancienne. Ion Dissonance, tout comme Meshuggah, est la bande sonore d'un monde méchanisé ou toute émotion est annihilé pour faire place à une machinerie bien huilé ou violence et precision sont les maïtres mots. Precision de la note et des frappes des batteries mais chaos continus et complexe quand on ne s'arrete qu'un instant sur une partie d'une chanson. L'ecoute de "Solace" ne peut que s'apprecier totalement qu'en etant focalisé sur la totalité de la chanson afin de saisir l'enchainement des riffs. Par moment on a l'impression que les guitaristes sont en train de tordre leurs guitares pour obtenirs les sont qui sortent de vos enceintes. Des montés et des descentes d'adrenalynes s'enchainent et pourrait vous faire croire qu'il n'y a absolument aucune cohérence dans ce que ce groupe appele des chansons. Aucun temps mort et uniquement des hurlements torturés en guise d'accroches. La vitesse est phenomenale en regard du nombre de changements de tempos. Mais ne vous y trompez pas, la rapidité d'execution n'est pas ce qui fait la violence de ce groupe.
La preuve en est qu'au bout de 8 plages de pure rage, la neuvième ralentit le rythme pour la conclusion. Mais vous n'aurez toujours pas le temps de souffler. Surement pas. Des riffs saccadés vous ensevelissent sous une marée etouffante. Puis enfin c'est le silence. Une belle epreuve de force. Ion Dissonance n'est cependant pas un groupe dont vous pourrez vous vanter auprès de vos amis. La "tough guy attitude" proclamé comme nouvelle manière de vivre par une frange de la scène Metalcore n'est absolument pas en phase avec les hymnes barrés ecorchés et raturés par ces cinq musiciens. En fait, pour etre plus clair. Ion Dissonance n'est pas un groupe pour ceux qui veulet prouver qu'ils sont plus violents que les autres, c'est un groupe pour les malades fanatiques de bruits et de guitares brulés vives sur l'autel de l'extremisme sonore. Ion Dissonance ne vous prennent pas par la main pour vous rendre plus fort et vous energiser, il vous assenent de coups de pieds dans une ruelle sombre pour vous montrer à quel point vous etes faible.
Donc dehors les métaphores litteraire et revenons en au bonne vielle comparaisons à l'ancienne. Ion Dissonance, tout comme Meshuggah, est la bande sonore d'un monde méchanisé ou toute émotion est annihilé pour faire place à une machinerie bien huilé ou violence et precision sont les maïtres mots. Precision de la note et des frappes des batteries mais chaos continus et complexe quand on ne s'arrete qu'un instant sur une partie d'une chanson. L'ecoute de "Solace" ne peut que s'apprecier totalement qu'en etant focalisé sur la totalité de la chanson afin de saisir l'enchainement des riffs. Par moment on a l'impression que les guitaristes sont en train de tordre leurs guitares pour obtenirs les sont qui sortent de vos enceintes. Des montés et des descentes d'adrenalynes s'enchainent et pourrait vous faire croire qu'il n'y a absolument aucune cohérence dans ce que ce groupe appele des chansons. Aucun temps mort et uniquement des hurlements torturés en guise d'accroches. La vitesse est phenomenale en regard du nombre de changements de tempos. Mais ne vous y trompez pas, la rapidité d'execution n'est pas ce qui fait la violence de ce groupe.
La preuve en est qu'au bout de 8 plages de pure rage, la neuvième ralentit le rythme pour la conclusion. Mais vous n'aurez toujours pas le temps de souffler. Surement pas. Des riffs saccadés vous ensevelissent sous une marée etouffante. Puis enfin c'est le silence. Une belle epreuve de force. Ion Dissonance n'est cependant pas un groupe dont vous pourrez vous vanter auprès de vos amis. La "tough guy attitude" proclamé comme nouvelle manière de vivre par une frange de la scène Metalcore n'est absolument pas en phase avec les hymnes barrés ecorchés et raturés par ces cinq musiciens. En fait, pour etre plus clair. Ion Dissonance n'est pas un groupe pour ceux qui veulet prouver qu'ils sont plus violents que les autres, c'est un groupe pour les malades fanatiques de bruits et de guitares brulés vives sur l'autel de l'extremisme sonore. Ion Dissonance ne vous prennent pas par la main pour vous rendre plus fort et vous energiser, il vous assenent de coups de pieds dans une ruelle sombre pour vous montrer à quel point vous etes faible.
Thursday, October 13, 2005
I swear I was in that movie !
La metacognition est le terme que l'on utilise en psychologie pour definir les relfexions et autres pensées obscures que l'on peut fonder sur nos pensées et celles des autres. Penser sur les pensées, ou comment tourner en rond et se finir par fondre en larme au bout de quelques minutes passées a patoger dans la semoule. Et je parle d'une semoule comme celle que l'on trouve dans les couscous. Celle qui est imbibés de sauce et vous regarde avec mepris quand vous la delaissez pour vous goinfrez de tout ce qu'il y a autour, oubliant volontairement de la manger car elle bloqueras irremediablement votre estomac jusqu'au lendemain. Une semoule assez peu ragoutante donc. Et c'est pourtant dans ce genre de semoule que je veut m'aventurer ce soir en ne vous parlant pas de ce que je pense de ce que vous pensez, mais de ce que je pense des blogs. Le metablogging. Parler sur un blog d'autres blogs et des blogs en géneral. Cela peut se reveler tout aussi interessant que chiant comme la mort. Allons y.
Les blogs font l'objet d'une mode en ce moment. Votre petit frère, votre grande soeur et le maire de votre ville ont tous choisit de faire un blog. Cette tendance se retrouve en echos en Europe, en Amerique mais aussi dans des coins reculés ou des reporters amateurs montent meme des blogs de guerre. Un concept dont j'ignorais jusqu'as l'existence il y a encore quelques jours mais qui m'as été expliqué dans un petit article ou j'appris qu'un reporter avit documenté l'amputation de sa jambe, suite a une rencontre malencontreuse avec une mine, lors d'un voyage dans un pays actuellement en guerre. Chroniquer l'amputation de sa propre jambe ? Voila un savant mélange de blog classique avec une sevère dose de realisme guerrier. En parlant de votre propre experience sur le terrain vous en venez a denoncer la barbarie du conflit grace a votre avis partial sur votre question, et nottament votre avis sur cette jambe qui va bientot vous manquer. Si ce n'est pas du journalisme Gonzo je ne sais pas ce que c'est. Et si vous ne voyez pas de quoi je parle, ce n'est pas grave, lisez Hunter S Thompson et on y reviendras.
Le blog n'est plus donc que l'outil du premier pequenot venus mais aussi celui des createurs, des reporters, des hommes politiques, des mélomanes. Tout ceux qui ont envie ou besoin de se faire entendre mais n'entrave rien a la creation d'un site qui serait, de toute manière, embarassé par une presentation superflue. Le blog viens directement a l'essentiel en mettant le texte en avant. Un site signifie une grosse part de contenant et et autant de contenus, alors que le blog a un rapport "contenus / contenant" largement plus avantageux si l'on a quelque chose a dire et pas de belles images a montrer. C'est pourtant l'utilisation que de nombreux jeunes gens en font au vu des multiples blogs que je retrouve en liens dans la section Pub du forum que je frequente. Ouah, un nouveau gof il est trop lol ! Et oui, il est tellemenet lol qu'il feras loller tout tes amis et toutes les personnes qui passeront par là et pointeront du doigt ton avatar en poussant ce petit ricanement sarcastique propre au malaxeur de nouveau dans les Simpsons.
Le blog arrange tout le monde mais il est aussi très horripilant. Son utilisation simplissime en rends la consultation difficile car ne permettant pas une exploration rapide pour retrouver l'information essentiel que l'on aurait entre nos mains dans la minute qui suis si on se trouvait sur un site conventionnel. Car qui dit contenant dit bar de navigation. Et de bar vous n'en trouvez point sur un petit blog comme celui ci. D'ou mon regard amusé sur ces sites empilant des images et non des tranches de vie a la durée perissable. Si vous voulez retrouver quelque chose dont vous avez besoin très vite alors abstenez vous de le chercher sur un blog. Par contre pour une dose de realité quotidienne d'un quelconque individu residant a cent pas ou cent mille kilomètre de chez vous, un blog est l'endroit revé pour denicher ce dont vous avez besoin. Chaque articles trouvé, meme au hasard, conviendras parfaitement a votre desir d'evasion et vous deviendrez peut etre meme un client regulier de chaque nouveau service.
Face au multiples procès et atteintes à la liberté d'expression, les blogs sont en passe de devenir l'arme ultime contre toute censure car proposant des informations difficile a combattre car rapidement modifiable et effaçable. Trouver vos blogs preférés et consulté les avec le plus de regularité possible afin de vous abreuver d'une source inestimable de connaissance, et cela quelque sois votre domaine de predilection. En fait, comme les meta cognition, le blog est aussi un excellent outil de reflection sur sois même. Main posés sur le clavier, vous confié au net vos pensés pour ensuite entendre celle des autres. Même plus besoin de vous prendre la tete et de rouler sur le canapé en position foetale. une vrai revolution pour la psychologie que cette petite bête la. Alors bloggons et lisons, et ne nous abstenons pas de poser des commentaires, s'il vous plait.
Les blogs font l'objet d'une mode en ce moment. Votre petit frère, votre grande soeur et le maire de votre ville ont tous choisit de faire un blog. Cette tendance se retrouve en echos en Europe, en Amerique mais aussi dans des coins reculés ou des reporters amateurs montent meme des blogs de guerre. Un concept dont j'ignorais jusqu'as l'existence il y a encore quelques jours mais qui m'as été expliqué dans un petit article ou j'appris qu'un reporter avit documenté l'amputation de sa jambe, suite a une rencontre malencontreuse avec une mine, lors d'un voyage dans un pays actuellement en guerre. Chroniquer l'amputation de sa propre jambe ? Voila un savant mélange de blog classique avec une sevère dose de realisme guerrier. En parlant de votre propre experience sur le terrain vous en venez a denoncer la barbarie du conflit grace a votre avis partial sur votre question, et nottament votre avis sur cette jambe qui va bientot vous manquer. Si ce n'est pas du journalisme Gonzo je ne sais pas ce que c'est. Et si vous ne voyez pas de quoi je parle, ce n'est pas grave, lisez Hunter S Thompson et on y reviendras.
Le blog n'est plus donc que l'outil du premier pequenot venus mais aussi celui des createurs, des reporters, des hommes politiques, des mélomanes. Tout ceux qui ont envie ou besoin de se faire entendre mais n'entrave rien a la creation d'un site qui serait, de toute manière, embarassé par une presentation superflue. Le blog viens directement a l'essentiel en mettant le texte en avant. Un site signifie une grosse part de contenant et et autant de contenus, alors que le blog a un rapport "contenus / contenant" largement plus avantageux si l'on a quelque chose a dire et pas de belles images a montrer. C'est pourtant l'utilisation que de nombreux jeunes gens en font au vu des multiples blogs que je retrouve en liens dans la section Pub du forum que je frequente. Ouah, un nouveau gof il est trop lol ! Et oui, il est tellemenet lol qu'il feras loller tout tes amis et toutes les personnes qui passeront par là et pointeront du doigt ton avatar en poussant ce petit ricanement sarcastique propre au malaxeur de nouveau dans les Simpsons.
Le blog arrange tout le monde mais il est aussi très horripilant. Son utilisation simplissime en rends la consultation difficile car ne permettant pas une exploration rapide pour retrouver l'information essentiel que l'on aurait entre nos mains dans la minute qui suis si on se trouvait sur un site conventionnel. Car qui dit contenant dit bar de navigation. Et de bar vous n'en trouvez point sur un petit blog comme celui ci. D'ou mon regard amusé sur ces sites empilant des images et non des tranches de vie a la durée perissable. Si vous voulez retrouver quelque chose dont vous avez besoin très vite alors abstenez vous de le chercher sur un blog. Par contre pour une dose de realité quotidienne d'un quelconque individu residant a cent pas ou cent mille kilomètre de chez vous, un blog est l'endroit revé pour denicher ce dont vous avez besoin. Chaque articles trouvé, meme au hasard, conviendras parfaitement a votre desir d'evasion et vous deviendrez peut etre meme un client regulier de chaque nouveau service.
Face au multiples procès et atteintes à la liberté d'expression, les blogs sont en passe de devenir l'arme ultime contre toute censure car proposant des informations difficile a combattre car rapidement modifiable et effaçable. Trouver vos blogs preférés et consulté les avec le plus de regularité possible afin de vous abreuver d'une source inestimable de connaissance, et cela quelque sois votre domaine de predilection. En fait, comme les meta cognition, le blog est aussi un excellent outil de reflection sur sois même. Main posés sur le clavier, vous confié au net vos pensés pour ensuite entendre celle des autres. Même plus besoin de vous prendre la tete et de rouler sur le canapé en position foetale. une vrai revolution pour la psychologie que cette petite bête la. Alors bloggons et lisons, et ne nous abstenons pas de poser des commentaires, s'il vous plait.
Note de service
Ce message seras surement le plus court de ce blog et pourtant un des plus important :
Vous n'avez plus besoin de vous inscrire pour laisser des commentaires !
La modification etait simplissime mais je n'avais pas fait l'effort de modifier cette petite option car je ne savais pas ou elle se trouvait. C'est maintenant chose faite donc ne vous abstenez plus de me dire a quel point j'ecris mal. Merci d'avance.
Vous n'avez plus besoin de vous inscrire pour laisser des commentaires !
La modification etait simplissime mais je n'avais pas fait l'effort de modifier cette petite option car je ne savais pas ou elle se trouvait. C'est maintenant chose faite donc ne vous abstenez plus de me dire a quel point j'ecris mal. Merci d'avance.
De la part d'un client satisfait
Demo : Trade Paperback
Si vous suivez mes aventures d'internaute alors vous etes au courant que je redigais des chroniques, fut un temps, pour un site français appelé City Comics. Rendons a Cesar ce qui reviens a Cesar, ce site n'avait pas été crée par moi mais par un garçon sympathique et passioné de comics (enfin un !) du nom de Toma. Il a d'ailleurs un forum maintenant et je vous engage a y faire un tour, jusqu'au cas ou vous ne seriez pas déja au courant :
Auberge du Lapin Blanc
Ceci etant dit je peut passer au vif du sujet, la publiciation en receuil d'une excellente série dont je n'arretais pas de vanter les merites sur le site en question. Demo est un parfait exemple de ce que l'excellence dans l'art du scénario peut donner comme concept original et rondement mené. Se deroulant dans le cadre d'un comics de 24 pages, chaque histoire débute à la première case et se conclut a la dernière. Les personnages et les situations ne sont jamais identiques sur les 12 numéros qui constituent la série. Le seul trait qui relie ces instants de vies sont des capacités "surnaturelles". Un pouvoir, une situation peu commune, quelque chose d'hors du commun. Que ce sois fantastique ou non ne rentre pas en ligne de compte. La seule chose qui importe est que ces élements surprenants sont le moteur d'une histoire ou humanité et emotions sont les maitres mots. Vous ne trouverez que peu de duo aussi talentueux que Brian Wood et Becky Cloonan pour conter en si peu de pages une histoire aussi riche. La réedition de l'ensemble des 12 numéros venant d'etre annoncé pour le mois de Decembre, je vous engage, qui que vous soyez, et quelque sois vos gouts en matière de litterature, d'aller harceler votre revendeur de comics le plus proche ou de commander directement ce tome par le biais du site presenté en début d'article. Il y a vraiment très peu de chance que vous soyez déçut par votre investissement, vous pouvez me croire.
Si vous suivez mes aventures d'internaute alors vous etes au courant que je redigais des chroniques, fut un temps, pour un site français appelé City Comics. Rendons a Cesar ce qui reviens a Cesar, ce site n'avait pas été crée par moi mais par un garçon sympathique et passioné de comics (enfin un !) du nom de Toma. Il a d'ailleurs un forum maintenant et je vous engage a y faire un tour, jusqu'au cas ou vous ne seriez pas déja au courant :
Auberge du Lapin Blanc
Ceci etant dit je peut passer au vif du sujet, la publiciation en receuil d'une excellente série dont je n'arretais pas de vanter les merites sur le site en question. Demo est un parfait exemple de ce que l'excellence dans l'art du scénario peut donner comme concept original et rondement mené. Se deroulant dans le cadre d'un comics de 24 pages, chaque histoire débute à la première case et se conclut a la dernière. Les personnages et les situations ne sont jamais identiques sur les 12 numéros qui constituent la série. Le seul trait qui relie ces instants de vies sont des capacités "surnaturelles". Un pouvoir, une situation peu commune, quelque chose d'hors du commun. Que ce sois fantastique ou non ne rentre pas en ligne de compte. La seule chose qui importe est que ces élements surprenants sont le moteur d'une histoire ou humanité et emotions sont les maitres mots. Vous ne trouverez que peu de duo aussi talentueux que Brian Wood et Becky Cloonan pour conter en si peu de pages une histoire aussi riche. La réedition de l'ensemble des 12 numéros venant d'etre annoncé pour le mois de Decembre, je vous engage, qui que vous soyez, et quelque sois vos gouts en matière de litterature, d'aller harceler votre revendeur de comics le plus proche ou de commander directement ce tome par le biais du site presenté en début d'article. Il y a vraiment très peu de chance que vous soyez déçut par votre investissement, vous pouvez me croire.
Wednesday, October 12, 2005
Time as commodity
Il se fait tard, et chaque jour ou je me mets a me pencher sur ce clavier pour ecrire le resultat de mes pensées du jour je dois me concentrer de plus en plus, a chaque ligne et a chaque nouveau paragraphe, pour ne pas perdre le fil de mon histoire. Pendant la journée, alors que j'ouvre et que je ferme les centaines de caisses qui me passent et me passeront encore demain entre les mains, je reflechis quelques instants a ce que dont je pourrais bien parler ce soir. Or aujourd'hui, en me preparant a passer a cette scèance d'ecriture, je pensais ecrire sur un sujet bien trivial et ne servant qu'as agiter mes index, mes anulaires et oriculaires (en laissent bien evidemment les pouces en suspension), les bacs a soldes de magazins d'albums d'occasions. Chaque jour ou je me penche encore et encore sur ces petits bacs pour explorer les nouveautés et me precipiter vers le distributeur de billet le plus proche afin de depenser mes quelques deniers dans le gouffre sans fond qu'est mon appetit pour de nouvelles sonorités et de nouvelles chansons.
Mais les choses ne se passent jamais comme on les imagine. La preuve, j'ai beau envisager des tas de scénarios dans mon esprit de perpetuels calculateurs, je finis toujours par etre surpris, deception ou enthousiasme, peu importe, par les reactions de mon environnement. et ce soir, en portant mon devolus vers un nouvel album a ecouter, "Chronoclast" de Buried Inside, je pris le livret l'ouvrit afin de lire une citation qui m'arreta net dans la recherche de nourriture que me demandait ma mère afin de savoir de quoi j'allais me nourir durant mes pauses d'une demi heure. Cette citation la voici :
"the Only justification for our concepts and systems of concepts is that they serve to represent the complex of our experiences; beyond this they have no legitimacy".
Albert Einstein
Pour les non anglophiles voila un petite traduction rapide et approximative : "La seule justification que nous pouvons fournir pour tout nos concepts et systemes de concepts est qu'ils servent a representer la complexité de nos experiences: au delà de cela ils n'ont aucune legitimité.
Après l'avoir lut une première fois, j'avoue que j'ai eu un peu de mal a comprendre le fond de la pensée de notre cher Albert. Et très honnetement je ne pense pas etre apte a saisir completement le tenant et les aboutissants de ce que voulait dire Einstein par cette phrase. Mais voici mon interpretation personel et j'espère qu'elle vous apporteras matière a reflexion.
Tout d'abord il s'agit de connaitre un peu le contexte de l'utilisation de cette citation. "Chronoclast" est un album qui as pour concept de s'interesser au temps a la manipulation que l'on peut en faire. Autant en tant que concept qu'en tant qu"outils physique". Le temps est une dimension arbitraire qui gère et agit sur notre quotidien. Nous sommes tous soumis au temps alors que nous l'avons nous même créer. Le temps divise nos jours, nos vies et nos epoques. Il nous sers de repère et nous nargue. C'est le concept le plus fondamental de notre existence et celui sur lequel nous basons notre vie quotidienne, de notre naissance à notre decès. Il est donc justifier par son emploi et nous ne pourrions continuer a agir dans notre société sans sa presence. Comme je le disais donc, nous sommes à la fois les maitres et les esclaves du temps. Mais la phrase de Einstein va bien plus loin que ce domaine, aussi vaste sois t'il.
La philosophie est une source de discussion infinis pour toutes les classes de Terminale et, maintenant même, de CP. Un domaine regroupant des concepts et des reflexions sur la morale ou les actions de nos contemporains et de nos ancêtres. On sens bien le poids de la fatigue dans cette phrase qui ne mène pas a grand chose, n'est ce pas ? Le terme de philosphie regroupe donc tout un tas de disgression diverses et variés dont l'utilité est discustable mais dont on ne saurais se defaire sous peine de perdre cet os a ronger a l'infinis afin de faire durer moins longtemps les longues soirées hivernales. Mais est ce que l'utilité de ses concepts est bien justifié ? Voila encore un sujet de discussion assez inutile mais qui se recoupe avec mon interpretation de la citation d'Albert Einstein. Parler et reflechir pour ne rien dire est une perte de temps dont nous n'avons aucune utilité.
Ma vision de la pensé d'Einstein par cette simple phrase est qu'il cherche a mettre les points sur les I sur l'utilité que dois avoir la science. Servir a comprendre le monde et analyser ce qui nous entoure, autant l'infiniment petit que le gigantesque, aussi haut que les nuages, et bien plus loin encore, ou dans les profondeurs de l'ocean. Le voila notre environnement, et nous ne le maitrisons pas encore. Tel le temps, il nous maitrise et nous ne saurions nous placer au dessus de Mère Nature dans le domaine de la creation de la vie. Conceptualiser la realité afin de mieux la saisir, c'est là le debut de la science et de la reflexion. Tout autre disgression hypothetique ne serait qu'une perte de temps. Je ne tiens pas a critiquer abusivement la philosophie par ce petit texte car j'en suis tout aussi friand que le premier etudiant litteraire venus. Mais on ne peut saisir que ce qui nous entoure, ou du moins tenter de saisir, comme des enfants agrippés a la comode, cherchant a attraper le paquet de gateau tant convoité, et pas ce qui nous echappe totalement. Voila une reflexion assez offensive par rapport a la religion. Alors est ce que je cherche a faire dire au defunt Albert plus de choses qu'il ne le pensait ? Peut etre bien. Et j'en resterais de toute manière là afin de ne pas tourner en rond a outrance. Mais il y a quand meme matière a quelques commentaires avec ce petit texte, alors laissez en quelques uns, s'il vous plait.
Mais les choses ne se passent jamais comme on les imagine. La preuve, j'ai beau envisager des tas de scénarios dans mon esprit de perpetuels calculateurs, je finis toujours par etre surpris, deception ou enthousiasme, peu importe, par les reactions de mon environnement. et ce soir, en portant mon devolus vers un nouvel album a ecouter, "Chronoclast" de Buried Inside, je pris le livret l'ouvrit afin de lire une citation qui m'arreta net dans la recherche de nourriture que me demandait ma mère afin de savoir de quoi j'allais me nourir durant mes pauses d'une demi heure. Cette citation la voici :
"the Only justification for our concepts and systems of concepts is that they serve to represent the complex of our experiences; beyond this they have no legitimacy".
Albert Einstein
Pour les non anglophiles voila un petite traduction rapide et approximative : "La seule justification que nous pouvons fournir pour tout nos concepts et systemes de concepts est qu'ils servent a representer la complexité de nos experiences: au delà de cela ils n'ont aucune legitimité.
Après l'avoir lut une première fois, j'avoue que j'ai eu un peu de mal a comprendre le fond de la pensée de notre cher Albert. Et très honnetement je ne pense pas etre apte a saisir completement le tenant et les aboutissants de ce que voulait dire Einstein par cette phrase. Mais voici mon interpretation personel et j'espère qu'elle vous apporteras matière a reflexion.
Tout d'abord il s'agit de connaitre un peu le contexte de l'utilisation de cette citation. "Chronoclast" est un album qui as pour concept de s'interesser au temps a la manipulation que l'on peut en faire. Autant en tant que concept qu'en tant qu"outils physique". Le temps est une dimension arbitraire qui gère et agit sur notre quotidien. Nous sommes tous soumis au temps alors que nous l'avons nous même créer. Le temps divise nos jours, nos vies et nos epoques. Il nous sers de repère et nous nargue. C'est le concept le plus fondamental de notre existence et celui sur lequel nous basons notre vie quotidienne, de notre naissance à notre decès. Il est donc justifier par son emploi et nous ne pourrions continuer a agir dans notre société sans sa presence. Comme je le disais donc, nous sommes à la fois les maitres et les esclaves du temps. Mais la phrase de Einstein va bien plus loin que ce domaine, aussi vaste sois t'il.
La philosophie est une source de discussion infinis pour toutes les classes de Terminale et, maintenant même, de CP. Un domaine regroupant des concepts et des reflexions sur la morale ou les actions de nos contemporains et de nos ancêtres. On sens bien le poids de la fatigue dans cette phrase qui ne mène pas a grand chose, n'est ce pas ? Le terme de philosphie regroupe donc tout un tas de disgression diverses et variés dont l'utilité est discustable mais dont on ne saurais se defaire sous peine de perdre cet os a ronger a l'infinis afin de faire durer moins longtemps les longues soirées hivernales. Mais est ce que l'utilité de ses concepts est bien justifié ? Voila encore un sujet de discussion assez inutile mais qui se recoupe avec mon interpretation de la citation d'Albert Einstein. Parler et reflechir pour ne rien dire est une perte de temps dont nous n'avons aucune utilité.
Ma vision de la pensé d'Einstein par cette simple phrase est qu'il cherche a mettre les points sur les I sur l'utilité que dois avoir la science. Servir a comprendre le monde et analyser ce qui nous entoure, autant l'infiniment petit que le gigantesque, aussi haut que les nuages, et bien plus loin encore, ou dans les profondeurs de l'ocean. Le voila notre environnement, et nous ne le maitrisons pas encore. Tel le temps, il nous maitrise et nous ne saurions nous placer au dessus de Mère Nature dans le domaine de la creation de la vie. Conceptualiser la realité afin de mieux la saisir, c'est là le debut de la science et de la reflexion. Tout autre disgression hypothetique ne serait qu'une perte de temps. Je ne tiens pas a critiquer abusivement la philosophie par ce petit texte car j'en suis tout aussi friand que le premier etudiant litteraire venus. Mais on ne peut saisir que ce qui nous entoure, ou du moins tenter de saisir, comme des enfants agrippés a la comode, cherchant a attraper le paquet de gateau tant convoité, et pas ce qui nous echappe totalement. Voila une reflexion assez offensive par rapport a la religion. Alors est ce que je cherche a faire dire au defunt Albert plus de choses qu'il ne le pensait ? Peut etre bien. Et j'en resterais de toute manière là afin de ne pas tourner en rond a outrance. Mais il y a quand meme matière a quelques commentaires avec ce petit texte, alors laissez en quelques uns, s'il vous plait.
Tuesday, October 11, 2005
Pendant que le hamstere roule ...
Je ne suis pas homme a conserver un rythme identique pendant trop longtemps, et afin de ne pas prendre une voix trop repetitive je m'en vais ce soir vous conter mes observations personels sur une bande dessiné qui a bercer mon enfance, et bien plus encore, j'ai nommé Asterix. Ouah l'autre hey, il prends la voix de la facilité, il choisit un thème tout public, il se foule pas. Allez y, lancez les oeufs pendant que vous y etes. Mais ce n'est pas parce que Asterix est une des grosses references incontournable en matière de bande dessiné qu'elle ne merite pas que l'on en parle. Meme que l'on l'analyse un petit peu. La notoriété de l'oeuvre de Goscinny et de Uderzo a tellement reussis a s'imposer en tant que reference que, recemment, un ami me montrait un article sur "Asterix chez les Belges" ecrit par un chroniqueur americain. Il faut aussi dire que les americains ayant de gros problemes pour asseoir leur travail comme un art universel, s'adressant aux lecteurs de 7 à 77 ans, qu'ils doivent voir la France comme un eldorado impossible à atteindre.
L'impact de Asterix en tant que produit se ressends encore toujours dans le merchandising, le parc, alors même que le seul auteur restant ne publie des histoires qu'a un rythme très lent. La même chose pourrait etre dit a propos de "XII" mais je doute que l'on se souvienne autant des peripeties sans fin de notre agent secret du gouvernement (ou tout autre statut qu'il a put avoir depuis que j'ai finis d'etre attentif a ces scénarios mitonnés sur le pouce). Et puis lui n'as pas droit a un parc que je sache. Enfin, pas encore ... Jordy a bien eu droit a son parc, alors un autre héros de bande dessiné, cela ne serait que convenir a l'air du temps qui veut que tout ce qui sois vendable doit etre contortionné jusqu'au bout pour en tirer les dernières goutes de jus. Mais passons quand meme au but de cet article, l'observation de differents points qui font le succès d'Asterix encore maintenant.
Tout d'abord, il faut se rappeler que la série etait prepublié dans le cadre de la revue Pilote, un magazine qui sortait chaque semaine avec des pages de bandes dessiné, a un rythme de une page par semaine. Les auteurs devaient donc trouver un rebondissement ou une pirouette qui leur permette de ne pas lacher l'attention de leurs lectorat. L'action ne devait pas perdre son souffle, a l'opposé du lecteur qui devait avoir le souffle coupé, par une revelation ou un calembourd efficace. Vous pouvez donc constater dans vos propres tomes de Asterix que chaque dernières cases de chaques pages a droit a une blague ou a un retournement de situation. C'est cette contrainte exigeante auquels Mr Goscinny et Uderzo se sont soumis qui, a mon avis, donne un rythme soutenus a la lecture de chaques tomes. On a envie de savoir quel seras la suite mais aussi de savoir ce qui nous attends a la fin de la page. C'est d'ailleurs cet élement qui manque a la recette des derniers tomes ne beneficiant pas d'une prepublication. Les blagues n'arrivent pas a chaque page, perdant ainsi l'impact que pouvait avoir les premiers tomes.
Toutefois, cet impact n'etait pas garantis d'avance et Asterix n'est pas devenus la reference d'aujourd'hui sans qu'autres choses qu'une bonne manière de gerer les pages n'interviennent. C'est autre facteur etait la connivence que les auteurs exercait avec leurs lecteurs. Je parlais plus haut d'un lectorat de 7 à 77 ans, en ce qui concerne des séries comme Asterix ou Tintin. Mais ce grand ecart de generation ne serait pas possible si les multiples plaisanteries imaginer par les auteurs n'etait pas elles aussi extremement diverses. Et aussi extremement vaseuses, mais c'est sujet a discussion. Prenez par exemple les gags de repetition. Dans de nombreux tomes, les héros vont se voir confronter plusieurs fois a des personnages ou a une reference qui seras reprises a plusieurs moments dans les dialogues. Cet idée va de pair avec le rythme de parution de la série, afin de servir de marqueur temps pour permettre aux auteurs de faire reference a des evenements passés et que les lecteurs se souviennent de ce qui a put se passer auparavant. Un rappel indicé que l'on appelle ça en psychologie.
Heuresement, ce genre de plaisanterie ne sers pas uniquement le recit, mais aussi tout simplement, a faire rire le lecteur. Oui, pour que vous, petits lecteurs penché sur votre tome vous remuiez vos zygomatique avec frenésie. Parce que c'est bien beau d'analyser et de sortir de longues phrases pour faire comprendre les mecanismes d'une histoire, mais cela mets beaucoup de coté l'humour tout ça. Et qu'est ce que ça doit etre chiant a lire en plus ! Bon, j'espère que vous etes encore avec moi sur ce coup car on est repartis. Je disais donc les gags de repetition etait une manière de ne pas faire perdre le fil de l'histoire aux lecteurs, mais aussi tout simplement un gag comme un autre. Et un gag simple en plus. Parce qu'Asterix c'est aussi une quirielle de plaisanteries referencés dont on ne saisis parfois le sens que des années plus tard. Bien après que le lecteur, alors agés de 10 ou 14 ans ait lut son tome pour la première fois, s'y replonge une fois des années d'ecoles ingurgités et comprennent alors le calembours debile qu'il avait loupé pendant des années. De 7 à 77 ans je vous dit. D'abord on vous fait mijoter avec du visuel, et ensuite on vous envoie valdinguer dans les choux avec des references historiques.
L'humour de Asterix n'est pas uniquement fait pour plaire au lecteur, ou a une quelconque maison d'edition, mais aussi pour satisfaire les auteurs et leurs humour idiot de vieux croutons. Et on les remercie ces vieux croutons, bien fort en plus. Asterix le gaulois et son compagnon Obelix sont rentrés depuis bien longtemps au pantheon des personnages de fiction, au meme rang que Tintin et d'autres personnages de roman comme James Bond ou Sherlock Holmes. Bien sur, le style n'est pas du tout le même et je ne vous insulterais pas en melangent les torchons avec les serviettes, mais il faut tout de meme avouer qu'en reunissant des generations autour de deux memes personnages, Mr Uderzo et Goscinny ont reussi un paris magique que peu peuvent se vanter d'avoir reussis. Certains sont tout aussi meritant et n'ont pas droit a autant de succès, mais au moins ces deux là ont suer sang et eau pour leurs personnages, et ils ont bien gagnés chaque echelon de popularité. Relisez donc au moins un des vieux tomes de cette magnifique série, et vous verrez bien qu'elle n'as pas pris une ride. Dessin excellent, humour desopilant, on en fait plus des comme ça, moi je vous le dit !
L'impact de Asterix en tant que produit se ressends encore toujours dans le merchandising, le parc, alors même que le seul auteur restant ne publie des histoires qu'a un rythme très lent. La même chose pourrait etre dit a propos de "XII" mais je doute que l'on se souvienne autant des peripeties sans fin de notre agent secret du gouvernement (ou tout autre statut qu'il a put avoir depuis que j'ai finis d'etre attentif a ces scénarios mitonnés sur le pouce). Et puis lui n'as pas droit a un parc que je sache. Enfin, pas encore ... Jordy a bien eu droit a son parc, alors un autre héros de bande dessiné, cela ne serait que convenir a l'air du temps qui veut que tout ce qui sois vendable doit etre contortionné jusqu'au bout pour en tirer les dernières goutes de jus. Mais passons quand meme au but de cet article, l'observation de differents points qui font le succès d'Asterix encore maintenant.
Tout d'abord, il faut se rappeler que la série etait prepublié dans le cadre de la revue Pilote, un magazine qui sortait chaque semaine avec des pages de bandes dessiné, a un rythme de une page par semaine. Les auteurs devaient donc trouver un rebondissement ou une pirouette qui leur permette de ne pas lacher l'attention de leurs lectorat. L'action ne devait pas perdre son souffle, a l'opposé du lecteur qui devait avoir le souffle coupé, par une revelation ou un calembourd efficace. Vous pouvez donc constater dans vos propres tomes de Asterix que chaque dernières cases de chaques pages a droit a une blague ou a un retournement de situation. C'est cette contrainte exigeante auquels Mr Goscinny et Uderzo se sont soumis qui, a mon avis, donne un rythme soutenus a la lecture de chaques tomes. On a envie de savoir quel seras la suite mais aussi de savoir ce qui nous attends a la fin de la page. C'est d'ailleurs cet élement qui manque a la recette des derniers tomes ne beneficiant pas d'une prepublication. Les blagues n'arrivent pas a chaque page, perdant ainsi l'impact que pouvait avoir les premiers tomes.
Toutefois, cet impact n'etait pas garantis d'avance et Asterix n'est pas devenus la reference d'aujourd'hui sans qu'autres choses qu'une bonne manière de gerer les pages n'interviennent. C'est autre facteur etait la connivence que les auteurs exercait avec leurs lecteurs. Je parlais plus haut d'un lectorat de 7 à 77 ans, en ce qui concerne des séries comme Asterix ou Tintin. Mais ce grand ecart de generation ne serait pas possible si les multiples plaisanteries imaginer par les auteurs n'etait pas elles aussi extremement diverses. Et aussi extremement vaseuses, mais c'est sujet a discussion. Prenez par exemple les gags de repetition. Dans de nombreux tomes, les héros vont se voir confronter plusieurs fois a des personnages ou a une reference qui seras reprises a plusieurs moments dans les dialogues. Cet idée va de pair avec le rythme de parution de la série, afin de servir de marqueur temps pour permettre aux auteurs de faire reference a des evenements passés et que les lecteurs se souviennent de ce qui a put se passer auparavant. Un rappel indicé que l'on appelle ça en psychologie.
Heuresement, ce genre de plaisanterie ne sers pas uniquement le recit, mais aussi tout simplement, a faire rire le lecteur. Oui, pour que vous, petits lecteurs penché sur votre tome vous remuiez vos zygomatique avec frenésie. Parce que c'est bien beau d'analyser et de sortir de longues phrases pour faire comprendre les mecanismes d'une histoire, mais cela mets beaucoup de coté l'humour tout ça. Et qu'est ce que ça doit etre chiant a lire en plus ! Bon, j'espère que vous etes encore avec moi sur ce coup car on est repartis. Je disais donc les gags de repetition etait une manière de ne pas faire perdre le fil de l'histoire aux lecteurs, mais aussi tout simplement un gag comme un autre. Et un gag simple en plus. Parce qu'Asterix c'est aussi une quirielle de plaisanteries referencés dont on ne saisis parfois le sens que des années plus tard. Bien après que le lecteur, alors agés de 10 ou 14 ans ait lut son tome pour la première fois, s'y replonge une fois des années d'ecoles ingurgités et comprennent alors le calembours debile qu'il avait loupé pendant des années. De 7 à 77 ans je vous dit. D'abord on vous fait mijoter avec du visuel, et ensuite on vous envoie valdinguer dans les choux avec des references historiques.
L'humour de Asterix n'est pas uniquement fait pour plaire au lecteur, ou a une quelconque maison d'edition, mais aussi pour satisfaire les auteurs et leurs humour idiot de vieux croutons. Et on les remercie ces vieux croutons, bien fort en plus. Asterix le gaulois et son compagnon Obelix sont rentrés depuis bien longtemps au pantheon des personnages de fiction, au meme rang que Tintin et d'autres personnages de roman comme James Bond ou Sherlock Holmes. Bien sur, le style n'est pas du tout le même et je ne vous insulterais pas en melangent les torchons avec les serviettes, mais il faut tout de meme avouer qu'en reunissant des generations autour de deux memes personnages, Mr Uderzo et Goscinny ont reussi un paris magique que peu peuvent se vanter d'avoir reussis. Certains sont tout aussi meritant et n'ont pas droit a autant de succès, mais au moins ces deux là ont suer sang et eau pour leurs personnages, et ils ont bien gagnés chaque echelon de popularité. Relisez donc au moins un des vieux tomes de cette magnifique série, et vous verrez bien qu'elle n'as pas pris une ride. Dessin excellent, humour desopilant, on en fait plus des comme ça, moi je vous le dit !
Monday, October 10, 2005
the Smell of Black Metal, 1995 !
Cela fait déja plusieurs mois que Mieszko Talarczyk nous a quitté et je ne m'en remets toujours pas vraiment. Pour la majorité des gens ce nom leur est inconnus mais dans ma vie cet homme et sa musique ont eu un impact majeur que je n'oublierais jamais. Chanteur, guitariste et producteur, il etait derrière Nasum un des trois composant unique et determiner a transmettre un message en lequel il, ainsi que le reste du groupe, avait foix. Une conviction indeniable et inegalable quand elle etait mis en musique dans chacune des chansons que Nasum ait ecrite. A moins d'etre afficionados dans la musique extrême, le nom de Nasum et la definition même du Grindcore ne seront rien d'autre que des noms d'une culture adolescente pueril mais pour des groupes comme Napalm Death, Nasum ou Circle of Dead Children, c'est une culture indispensable a leur vie d'artiste et donc, par extension, d'etre humain. Sans même n'avoir jamais rencontré Mieszko je me sentais transporter par l'engagement qu'il insufflait dans sa musique. Le besoin de ne pas se laisser abbatre, malgrès les circonstances, et de vaincre ses peurs, qu'importe l'opression que l'on pouvait nous soumettre.
Ma première rencontre avec Nasum se fit dans un fatidique numéro de Kerrang !, magazine auquel je dois certaines de mes grandes decouvertes musicales durant mes années de formation sonore. Un simple paragraphe presentait une chanson, "A welcome breaze of stinking air" tiré de Human 2.0, et s'en etait finis, mon imagination était piqué au vif. Vint alors la recherche sur Kazaa pour ne trouver que deux maigres mp3 qui eurent tout de meme un effet certain dans mon petit esprit de jeune garçons se confrontant a l'apre realité de la musique extreme. Pas de grosses accroches mélodique, juste de la sueur, des cris et un son capable de briser le mur de Berlin en miette. Un achat a reculon de "Human 2.0" fut donc mis a l'ordre du jour, puis une première ecoute une fois rentré chez soi. Je me souviendrais toujours de la première fois ou j'ai enclenché cet album dans ma chaine Hi Fi et que les chansons se sont enfilés les unes après les autres sans jamais faire de concession. J'ai tout de suite regretté mon achat en me disant que je ne parviendrais jamais a tirer de cette ecoute un interet quelconque. "Human 2.0" resterait donc a jamais dans ma discothèque comme un album interessant et different, mais surement pas un de ceux que j'ecouterais religieusement.
Le grindcore, genre totalement inconnus et effrayant a l'epoque, etait une curiosité bruitiste et rien d'autre. Il n'empeche que j'avais depensé quelque argent dans cet album et que je me devais de l'ecouter un peu plus afin de me faire une idée plus precise. Après un enregistrement cassette sur une chaine hi fi qui me permettait d'avoir une coupure entre chaques plages, je partis de bon matin vers la fac en ecoutant attentivement ce qui sortais de mes oreilettes. Et tel ne fut pas ma surprise de constater que les chansons défilait mais ne se ressemblait pas tant que ça. Et en fait pas du tout. C'etait même plutot bien ce truc. Il y avait un je ne sais quoi d'accrocheur dans les riffs. Une puissance de feu que l'on aurait pas imaginé trouver dans trois types au visage anodins alors que neuf gaillards deguisés arrivait a peine a secouer les planches des salles de concerts. Non, vraiment, c'etait quelque chose que je n'avais encore jamais entendu.
De fil en aiguille je me resolut a en arriver a la verité. Oh oui, j'aimais ça. Et avec passion en prime ! Une page venait donc de se tourner et je ne regarderais plus jamais derrière moi. Et cela n'en vallait de toute manière pas la peine car j'avais maintenant trouvé ce que je desirais. Ce n'etait pas l'appel de la violence, ni meme un desir malsain de me distinguer de la masse, mais la comprehension complète et sans concession de ce que devait etre la musique. Une source d'emerveillement, un univers unique ou on prends plaisir a decouvrir de nouvelles portes, et surtout, un travail de musiciens dont la determination a faire ce qui leur plait est plus forte que l'opposition qu'il rencontreront dans leur chemin. Je n'irais cependant pas m'avancer trop loin en affirmant que chacun des groupes dont je possède un album, voir plus, remplisse ces critères, mais ce serait une perte de temps que de se passioner pour des artistes qui ne remplissent pas au moins un des critères susnommés.
Et tout cela pour en arriver au point ou j'en suis aujourd'ui. Dissimulé derrière un ordinateur, je contemple la vie que j'ai aujourd'hui et tout ce que j'ai put acquerir grace, en partie, mais essentiellement, a ma decouverte d'un groupe unique en son genre et qui remplissait chacune de ces conditions qui me sont maintenant si cher. Nasum est maintenant mort mais il reste dans ma memoire des souvenirs imperissable, des decharges d'adrenalyne memorale et un visage souriant, peut etre car il sais que son reve ne seras pas oublié. Mieszko Talarczyk nous a donc quittés au début de cet année. Emporté par le tsunami alors qu'il etait en vacance avec sa petite amie. De cette tragedie il nous reste tout de meme un autre souvenir dont on peut etre fier. Celui conté par la compagne de Mieszko qui affirme se souvenir que ses dernières actions furent de la proteger. Ainsi, même si il nous a quitté, emportant avec lui les chansons qu'ils auraient put encore ecrire, il ne part pas en trahissant son ideale, celui de prouver qu'avec de la determination on peut changer et sauver une vie. Alors merci, Mr Talarczyk, merci d'avoir fait tant de choses pour la mienne.
Ma première rencontre avec Nasum se fit dans un fatidique numéro de Kerrang !, magazine auquel je dois certaines de mes grandes decouvertes musicales durant mes années de formation sonore. Un simple paragraphe presentait une chanson, "A welcome breaze of stinking air" tiré de Human 2.0, et s'en etait finis, mon imagination était piqué au vif. Vint alors la recherche sur Kazaa pour ne trouver que deux maigres mp3 qui eurent tout de meme un effet certain dans mon petit esprit de jeune garçons se confrontant a l'apre realité de la musique extreme. Pas de grosses accroches mélodique, juste de la sueur, des cris et un son capable de briser le mur de Berlin en miette. Un achat a reculon de "Human 2.0" fut donc mis a l'ordre du jour, puis une première ecoute une fois rentré chez soi. Je me souviendrais toujours de la première fois ou j'ai enclenché cet album dans ma chaine Hi Fi et que les chansons se sont enfilés les unes après les autres sans jamais faire de concession. J'ai tout de suite regretté mon achat en me disant que je ne parviendrais jamais a tirer de cette ecoute un interet quelconque. "Human 2.0" resterait donc a jamais dans ma discothèque comme un album interessant et different, mais surement pas un de ceux que j'ecouterais religieusement.
Le grindcore, genre totalement inconnus et effrayant a l'epoque, etait une curiosité bruitiste et rien d'autre. Il n'empeche que j'avais depensé quelque argent dans cet album et que je me devais de l'ecouter un peu plus afin de me faire une idée plus precise. Après un enregistrement cassette sur une chaine hi fi qui me permettait d'avoir une coupure entre chaques plages, je partis de bon matin vers la fac en ecoutant attentivement ce qui sortais de mes oreilettes. Et tel ne fut pas ma surprise de constater que les chansons défilait mais ne se ressemblait pas tant que ça. Et en fait pas du tout. C'etait même plutot bien ce truc. Il y avait un je ne sais quoi d'accrocheur dans les riffs. Une puissance de feu que l'on aurait pas imaginé trouver dans trois types au visage anodins alors que neuf gaillards deguisés arrivait a peine a secouer les planches des salles de concerts. Non, vraiment, c'etait quelque chose que je n'avais encore jamais entendu.
De fil en aiguille je me resolut a en arriver a la verité. Oh oui, j'aimais ça. Et avec passion en prime ! Une page venait donc de se tourner et je ne regarderais plus jamais derrière moi. Et cela n'en vallait de toute manière pas la peine car j'avais maintenant trouvé ce que je desirais. Ce n'etait pas l'appel de la violence, ni meme un desir malsain de me distinguer de la masse, mais la comprehension complète et sans concession de ce que devait etre la musique. Une source d'emerveillement, un univers unique ou on prends plaisir a decouvrir de nouvelles portes, et surtout, un travail de musiciens dont la determination a faire ce qui leur plait est plus forte que l'opposition qu'il rencontreront dans leur chemin. Je n'irais cependant pas m'avancer trop loin en affirmant que chacun des groupes dont je possède un album, voir plus, remplisse ces critères, mais ce serait une perte de temps que de se passioner pour des artistes qui ne remplissent pas au moins un des critères susnommés.
Et tout cela pour en arriver au point ou j'en suis aujourd'ui. Dissimulé derrière un ordinateur, je contemple la vie que j'ai aujourd'hui et tout ce que j'ai put acquerir grace, en partie, mais essentiellement, a ma decouverte d'un groupe unique en son genre et qui remplissait chacune de ces conditions qui me sont maintenant si cher. Nasum est maintenant mort mais il reste dans ma memoire des souvenirs imperissable, des decharges d'adrenalyne memorale et un visage souriant, peut etre car il sais que son reve ne seras pas oublié. Mieszko Talarczyk nous a donc quittés au début de cet année. Emporté par le tsunami alors qu'il etait en vacance avec sa petite amie. De cette tragedie il nous reste tout de meme un autre souvenir dont on peut etre fier. Celui conté par la compagne de Mieszko qui affirme se souvenir que ses dernières actions furent de la proteger. Ainsi, même si il nous a quitté, emportant avec lui les chansons qu'ils auraient put encore ecrire, il ne part pas en trahissant son ideale, celui de prouver qu'avec de la determination on peut changer et sauver une vie. Alors merci, Mr Talarczyk, merci d'avoir fait tant de choses pour la mienne.
Sunday, October 09, 2005
Enjoy the silence
Quand vous commencez a vous investir dans une "culture alternative", tel que la musique extreme, comme par hasard, il y a toujours ce dangereux facteur du "Est ce que je ne suis pas en train de faire une crise d'adolescence en continu ?". Ma rebellion envers mes parents ne serait elle pas exprimer uniquement par une envie folle de mettre la musique a fond dans toute la maison ? Allez soyons fou, est ce que mes parents n'auraient pas finalement raison et ne serais je pas en train de perdre mon temps avec des types sans talent qui ne ferait que du bruit. Bonjour Marie au fait, si jamais tu lis ce message. Bref, donc est ce que je ne serais pas un autre petit con parmis les petits con. Un fan de Slipknot ou de Marylin Manson qui ne se gargariserait que d'une fierté illusoire de connaitres des "artistes" (les guillements se justifie vu le contexte de remise en question) que personne ne connait. Ouah, je suis trop fort, et plus fort que toi même. Ah ah ah !
Soyons serieux une seconde et revenons sur chaque point. Est ce que je suis en train de faire une crise d'adolescence prolongé ? Peut etre. Je ne suis pas souvent d'accord avec mes parents et ça ne date pas d'hier. Par contre je lutte tout les jours pour leur faire lire ou ecouter des choses que j'apprecie. Allez, peut etre meme qu'un jour ma maman viendras dans ma chambre et me demanderas si elle peut me prendre mon album de Peccatum pour faire le repassage. On peut toujours rever. Quoi qu'elle aime bien Pelican, et elle m'avait dit avoir juste des problemes avec la voix quand je lui avais fait ecouter Dimmu Borgir. Hey, a bien y reflechir, ma mère aurait un look d'enfer avec des piques ... Mais mieux vaut effacer cette pensée de mon esprit tout de suite, j'ai une nuit de sommeil a avoir moi, et ce n'est pas un Asterix, meme chez les Bretons, qui me ferait oublier une vision de ce type.
Passons donc a la suite. Est ce que tout ce j'ecoute n'est que du bruit ? Bon, déja il faut repartir sur le débat eculé de ce qu'est la musique. Et bien la musique ce n'est que du bruit, mais organisé avec l'intention de faire de l'art. C'est a dire une expression personel ou l'artiste se projette, autant ses affects que son imagination, dans une chanson, un texte, une toile, une video. N'importe quoi, sous n'importe quel format et avec n'importe quel intensité. La seule régle est de vouloir organiser les sons dans un sens precis et ayant un sens. Tant que l'artiste y vois du sens alors ça suffit pour etre de l'art. Et donc par extension ne plus etre du bruit comme pourrait le faire votre petit frère si vous lui voliez son jouet Musclor ou si vous marchiez sur la queue du chat. L'auditeur peut a son tour influer sur l'oeuvre et lui donner un sens different, mais c'est là toute la beauté de l'histoire. Et meme si on peut tous distinguer sans equivoque des sons dans un ensemble, les emotions qui y seront attachés seront differentes en fonction de ce que vous recherchez et de votre bagage culturel.
Un peu comme si vous vous trimballiez dans un pays etranger. Arriver devant le monsieur qui porte le nom de Xasthur vous lui demandez votre chemin. Celui vous regarde fixement puis s'en va en prononcant quelques mots. Si vous connaissez le language et que vous avez déja rencontré d'autre autoctones de la meme peuplade, alors vous n'aurez pas de mal a comprendre que celui ci vous invite a rejoindre la crypte histoire de voir sa collection de vynile de Dorothée. Mais si par contre vous n'avez jamais rencontré d'autres membres de cette peuplade, ou alors que vous n'avez pas etait attentif lors de vos cours de rattrapage sur le "Pourquoi du comment se debrouiller dans un pays etranger", là vous serez comme un con et vous serez bon pour repartir chez vous en racontant a vos amis que "C'etait nul, on comprenait rien".
Cette metaphore me permettant de vous faire comprendre plus facilement le pourquoi du comment que je ne perds pas mon temps à demander aux vendeurs si ils ont déja reçut le nouveau "inserez nom imprononçable dans cette case", je peut donc passer à la suite. Suis je un petit con ? Et bien là sur ce point, je suis forcé d'admettre que cela depends a qui vous vous adressez. Pour moi, je suis en perpetuel mouvement et je fais ce que je peut pour etre un peu moins bete tout les jours. Je lis, je reflechis, je me renseigne, je fais ce que je peut pour etre un peu plus responsable dans ma vie de tout les jours. Mais ça ne fait surement pas de moi quelqu'un de meilleur, et encore moins un type plus interessant que la moyenne. Après bien sur, il y a des gens plus enthousiaste qui m'ont rencontré et en sont ressortis ravis. Mon election en temps que produit de l'année est donc peut etre a venir mais pour le moment le jury se tate encore. Sur ces bon mots je remercie ceux qui postent des commentaires et je les encourage a continuer car ça me fait toujours beaucoup de plaisir de voir un petit chiffre s'afficher a la place de ce 0 qui me meprise.
Soyons serieux une seconde et revenons sur chaque point. Est ce que je suis en train de faire une crise d'adolescence prolongé ? Peut etre. Je ne suis pas souvent d'accord avec mes parents et ça ne date pas d'hier. Par contre je lutte tout les jours pour leur faire lire ou ecouter des choses que j'apprecie. Allez, peut etre meme qu'un jour ma maman viendras dans ma chambre et me demanderas si elle peut me prendre mon album de Peccatum pour faire le repassage. On peut toujours rever. Quoi qu'elle aime bien Pelican, et elle m'avait dit avoir juste des problemes avec la voix quand je lui avais fait ecouter Dimmu Borgir. Hey, a bien y reflechir, ma mère aurait un look d'enfer avec des piques ... Mais mieux vaut effacer cette pensée de mon esprit tout de suite, j'ai une nuit de sommeil a avoir moi, et ce n'est pas un Asterix, meme chez les Bretons, qui me ferait oublier une vision de ce type.
Passons donc a la suite. Est ce que tout ce j'ecoute n'est que du bruit ? Bon, déja il faut repartir sur le débat eculé de ce qu'est la musique. Et bien la musique ce n'est que du bruit, mais organisé avec l'intention de faire de l'art. C'est a dire une expression personel ou l'artiste se projette, autant ses affects que son imagination, dans une chanson, un texte, une toile, une video. N'importe quoi, sous n'importe quel format et avec n'importe quel intensité. La seule régle est de vouloir organiser les sons dans un sens precis et ayant un sens. Tant que l'artiste y vois du sens alors ça suffit pour etre de l'art. Et donc par extension ne plus etre du bruit comme pourrait le faire votre petit frère si vous lui voliez son jouet Musclor ou si vous marchiez sur la queue du chat. L'auditeur peut a son tour influer sur l'oeuvre et lui donner un sens different, mais c'est là toute la beauté de l'histoire. Et meme si on peut tous distinguer sans equivoque des sons dans un ensemble, les emotions qui y seront attachés seront differentes en fonction de ce que vous recherchez et de votre bagage culturel.
Un peu comme si vous vous trimballiez dans un pays etranger. Arriver devant le monsieur qui porte le nom de Xasthur vous lui demandez votre chemin. Celui vous regarde fixement puis s'en va en prononcant quelques mots. Si vous connaissez le language et que vous avez déja rencontré d'autre autoctones de la meme peuplade, alors vous n'aurez pas de mal a comprendre que celui ci vous invite a rejoindre la crypte histoire de voir sa collection de vynile de Dorothée. Mais si par contre vous n'avez jamais rencontré d'autres membres de cette peuplade, ou alors que vous n'avez pas etait attentif lors de vos cours de rattrapage sur le "Pourquoi du comment se debrouiller dans un pays etranger", là vous serez comme un con et vous serez bon pour repartir chez vous en racontant a vos amis que "C'etait nul, on comprenait rien".
Cette metaphore me permettant de vous faire comprendre plus facilement le pourquoi du comment que je ne perds pas mon temps à demander aux vendeurs si ils ont déja reçut le nouveau "inserez nom imprononçable dans cette case", je peut donc passer à la suite. Suis je un petit con ? Et bien là sur ce point, je suis forcé d'admettre que cela depends a qui vous vous adressez. Pour moi, je suis en perpetuel mouvement et je fais ce que je peut pour etre un peu moins bete tout les jours. Je lis, je reflechis, je me renseigne, je fais ce que je peut pour etre un peu plus responsable dans ma vie de tout les jours. Mais ça ne fait surement pas de moi quelqu'un de meilleur, et encore moins un type plus interessant que la moyenne. Après bien sur, il y a des gens plus enthousiaste qui m'ont rencontré et en sont ressortis ravis. Mon election en temps que produit de l'année est donc peut etre a venir mais pour le moment le jury se tate encore. Sur ces bon mots je remercie ceux qui postent des commentaires et je les encourage a continuer car ça me fait toujours beaucoup de plaisir de voir un petit chiffre s'afficher a la place de ce 0 qui me meprise.
Thursday, October 06, 2005
Chérie, ou est ce que j'ai mis le lance flamme ?
J'ai déja aborder dans ces pages le probleme que posait les débats dans le cadre d'un forum de discussion, celui qui concernait la viabilité d'une discussion qui etait voué a etre un dialogue de sourd. Or, quand on echange plus rien avec son interlocuteur, on finis aussi par ne plus preter attention a ce qu'il dit, et c'est pour cela que je vais surement maintenant parler des sujets qui m'interesse dans les pages de ce blog plutot que sur un forum ou mon opinion seras perdus dans le flot et n'auras pas droit au developemenet dont elle aurait besoin, aussi interessante ou peu pertinente sois t'elle. Je m'en vais donc vous conter aujourd'hui la surprise et l'enervement que j'ai ressentis en voyant une affiche de la nouvelle campagne de pub du Figaro. Un journal que je ne me permettrais pas de traiter de torchon pour autant mais qui viens de me procurer une petite bouffée de rage en l'encontre de tout ce qui m'oppose au monde des "biens pensant".
Cette nouvelle campagne consiste en une affiche representant sur fond blanc une demoiselle bariollée et attifée de tout les attributs gothique de base avec en dessous la mention "Gothique : Pas besoin d'aimer leur musique pour analyser leur mouvement". Oh, bravo, le Figaro se veut donc un magazine de fond qui ne survole pas l'actualité mais l'approfondit pour permettre a ces lecteur de mieux l'apprehender. Bravo, belle idée, bonne initiative. Surtout quand on vois a quel alternative on a à faire sur les chaines hertzienne. Non, le probleme ne viens pas du sens dissimulé derrière le slogan, mais du slogan en lui même ainsi que de la photo. Que vois t'on ? Une goth. Ou plutot, l'image qu'ont les gens, en général, de ce qu'est une gothique. Les bracelets, les piques, la peinture noire et blanche et l'attitude. C'est surtout celle si qui est destiné a faire sourire le pequin de base. La jeune fille fait semblant de hurler en montrant bien ses dents.
Honnetement, la première chose qui me viens a l'esprit en voyant cette photo est l'illustration d'une rebellion adolescente comprenant tout les clichés du moment, quand on ne veut pas ressembler a un figurant dans le dernier clip de Dr Dre bien sur. Or, le sujet de l'affiche est le mouvement gothique ? Les deux sont ils pour autant lié ? Mouais, on va dire que oui car on retrouve des momes dans le mouvement goth. Mais en meme temps, pour les quelques fois que j'ai abordé le sujet avec une amie frequentant ce millieu, il m'as semblé que ces memes momes etaient regardés comme des emmerdeurs qui n'avaient rien a foutre là. Dans ce cas de figure, le lien avec le réel mouvement gothique, si jamais il en existe vraiment un, et pas plutot un groupe de gens avec des attributs commun qui apprecie tout simplement la compagnie de leur semblable, s'amenuise radicalement.
Passons maintenant au sous titre. "Pas besoin d'apprecier leur musique". Leur musique. Pas la musique, mais leur musique. Celle de ces gens differents et etrange. La formulation marque bien la separation entre la musique qu'ecoute les "lecteurs du Figaro" (ceux que l'on chercher a apater en tout cas) et la musique qu'ecoute les Gothiques. Or, avec une photo comme celle que je viens de decrire, il me semble assez explicite que cette formulation chercher a se moquer de ce type de musique. Quel type de musique ? Ca c 'est une autre question qui reste sans réponse. Car quel est le debut du mouvement gothique et ou finit il ? Entre Depeche Mode, l'Indus, le Black Metal ou les groupes de Heavy Melodique il existe tout de meme une large difference. Alors si en plus on rajoute tout les groupes de musiques dites "traditionnels" ainsi que les groupes avant gardistes, on se retrouve avec un panel tellement large qu'il est impossible de definir quel est la musique de predilection du "mouvement gothique". La phrase se retrouve donc totalement incoherente car ne designant absolument rien de concret.
Passons ensuite a la deuxième partie de la phrase. "Pas besoin de comprendre leur musique pour les analyser". Pour cette partie là de mon analyse je passerais a un point de vue plus personel que dans les paragraphes precedents. Je possède chez moi deux livres analysant des mouvent musicaux, un sur le mouvement Black Metal et un autre sur le Death Metal et le Grindcore. Chacun ont etait ecrit par des journalistes ayant des affinités avec le mouvement. Toutefois, cela ne les empeche pas d'avoir un point de vue general et honnete. L'un des deux, "Lords of chaos", est meme maintenant un ouvrage de reference en la matière. De même, quand il s'agit d'analyser l'evolution d'un peintre, on s'adresse rarement a un specialiste qui deteste le travail de l'auteur en question. L'avis de l'expert serait alors biaisé et ne serait pas en mesure de se plonger vraiment dans toutes les dimensions que l'artiste auras voulut exprimer par delà son oeuvre. Il serait donc logique de penser qu'il en est de meme dans le monde de la musique. Comment comprendre un mouvement musicale sans aimer un tant sois peu la musique. Bien sur, il serait ridicule de vouloir tout aimer dans un domaine donné, mais si on veut avoir une vision a peu pres correct de ce que l'on parle, mieux vaut comprendre ce que l'on ecoute, et donc en apprecier les qualités et les défauts. Or, pour en revenir a la photo presenté dans cette publicité, l'opinion du Figaro sur le sujet semble déja tout tracé. Les Gothiques ne sont que des ados attardés qui ecoutent du bruit, leur musique ne merite donc pas que l'on s'y attarde et leur mouvement peut etre analysable et exposable. Voila en resumé ce que je retire de cette campagne publicitaire et je pense maintenant que vous comprenez la source de mon irritation. Je n'ai rien a voir avec le gothisme personellement, ou du moins je ne me reconnais pas dans ses attributs, mais j'exècre surtout quand on s'attaque a tout ce qui touche les cultures alternatives "sombres" afin de les mettre dans le meme panier pour mieux les railler.
Cette nouvelle campagne consiste en une affiche representant sur fond blanc une demoiselle bariollée et attifée de tout les attributs gothique de base avec en dessous la mention "Gothique : Pas besoin d'aimer leur musique pour analyser leur mouvement". Oh, bravo, le Figaro se veut donc un magazine de fond qui ne survole pas l'actualité mais l'approfondit pour permettre a ces lecteur de mieux l'apprehender. Bravo, belle idée, bonne initiative. Surtout quand on vois a quel alternative on a à faire sur les chaines hertzienne. Non, le probleme ne viens pas du sens dissimulé derrière le slogan, mais du slogan en lui même ainsi que de la photo. Que vois t'on ? Une goth. Ou plutot, l'image qu'ont les gens, en général, de ce qu'est une gothique. Les bracelets, les piques, la peinture noire et blanche et l'attitude. C'est surtout celle si qui est destiné a faire sourire le pequin de base. La jeune fille fait semblant de hurler en montrant bien ses dents.
Honnetement, la première chose qui me viens a l'esprit en voyant cette photo est l'illustration d'une rebellion adolescente comprenant tout les clichés du moment, quand on ne veut pas ressembler a un figurant dans le dernier clip de Dr Dre bien sur. Or, le sujet de l'affiche est le mouvement gothique ? Les deux sont ils pour autant lié ? Mouais, on va dire que oui car on retrouve des momes dans le mouvement goth. Mais en meme temps, pour les quelques fois que j'ai abordé le sujet avec une amie frequentant ce millieu, il m'as semblé que ces memes momes etaient regardés comme des emmerdeurs qui n'avaient rien a foutre là. Dans ce cas de figure, le lien avec le réel mouvement gothique, si jamais il en existe vraiment un, et pas plutot un groupe de gens avec des attributs commun qui apprecie tout simplement la compagnie de leur semblable, s'amenuise radicalement.
Passons maintenant au sous titre. "Pas besoin d'apprecier leur musique". Leur musique. Pas la musique, mais leur musique. Celle de ces gens differents et etrange. La formulation marque bien la separation entre la musique qu'ecoute les "lecteurs du Figaro" (ceux que l'on chercher a apater en tout cas) et la musique qu'ecoute les Gothiques. Or, avec une photo comme celle que je viens de decrire, il me semble assez explicite que cette formulation chercher a se moquer de ce type de musique. Quel type de musique ? Ca c 'est une autre question qui reste sans réponse. Car quel est le debut du mouvement gothique et ou finit il ? Entre Depeche Mode, l'Indus, le Black Metal ou les groupes de Heavy Melodique il existe tout de meme une large difference. Alors si en plus on rajoute tout les groupes de musiques dites "traditionnels" ainsi que les groupes avant gardistes, on se retrouve avec un panel tellement large qu'il est impossible de definir quel est la musique de predilection du "mouvement gothique". La phrase se retrouve donc totalement incoherente car ne designant absolument rien de concret.
Passons ensuite a la deuxième partie de la phrase. "Pas besoin de comprendre leur musique pour les analyser". Pour cette partie là de mon analyse je passerais a un point de vue plus personel que dans les paragraphes precedents. Je possède chez moi deux livres analysant des mouvent musicaux, un sur le mouvement Black Metal et un autre sur le Death Metal et le Grindcore. Chacun ont etait ecrit par des journalistes ayant des affinités avec le mouvement. Toutefois, cela ne les empeche pas d'avoir un point de vue general et honnete. L'un des deux, "Lords of chaos", est meme maintenant un ouvrage de reference en la matière. De même, quand il s'agit d'analyser l'evolution d'un peintre, on s'adresse rarement a un specialiste qui deteste le travail de l'auteur en question. L'avis de l'expert serait alors biaisé et ne serait pas en mesure de se plonger vraiment dans toutes les dimensions que l'artiste auras voulut exprimer par delà son oeuvre. Il serait donc logique de penser qu'il en est de meme dans le monde de la musique. Comment comprendre un mouvement musicale sans aimer un tant sois peu la musique. Bien sur, il serait ridicule de vouloir tout aimer dans un domaine donné, mais si on veut avoir une vision a peu pres correct de ce que l'on parle, mieux vaut comprendre ce que l'on ecoute, et donc en apprecier les qualités et les défauts. Or, pour en revenir a la photo presenté dans cette publicité, l'opinion du Figaro sur le sujet semble déja tout tracé. Les Gothiques ne sont que des ados attardés qui ecoutent du bruit, leur musique ne merite donc pas que l'on s'y attarde et leur mouvement peut etre analysable et exposable. Voila en resumé ce que je retire de cette campagne publicitaire et je pense maintenant que vous comprenez la source de mon irritation. Je n'ai rien a voir avec le gothisme personellement, ou du moins je ne me reconnais pas dans ses attributs, mais j'exècre surtout quand on s'attaque a tout ce qui touche les cultures alternatives "sombres" afin de les mettre dans le meme panier pour mieux les railler.
Wednesday, October 05, 2005
A Republique mon brave, et au trot !
Ah les concerts dans la capitale ! Quoi de mieux pour passer une bonne soirée entre amis ? Surtout quand c'est la Norvège qui viens nous rendre visite. Si cette soirée avait été une rencontre de football France / Norvège cela aurait bien sur perdus de son charme. Pas que j'ai quelque chose contre le football et ces rencontres sportives ou se rejoignent alcool et paquets de chips, vidés puis lancés sur les joueurs. Mais personne, et je dis bien personne, ne peut battre Red Harvest ou Arcturus a moins d'etre sois même Red Harvest et Arcturus. Pas quand deux groupes ont une identité aussi forte et des compositions dont l'adjectif "surprenant" ne serait qu'un début pour les decrire. Tout les adjectifs ou les genres du monde ne peuvent enfermer des monstres de ce calibre, donc vivez le, ecoutez le, mais ne demandez pas de vous dire ce que c'est. La soirée s'annonce donc comme etant epique et devrait rentrer dans les annales. Peut etre pas le concert de votre vie mais un spectacle dont vous vous souviendrez.
Arrivé un peu après 20H devant la Locomotive, mon camarade a poil court et moi même nous nous placons dans la foule, deux des seuls representants de la race des "pas trop de poils et bien dégagés sur les cotés". Du chevelus il y en as, ça, on ne peut pas le nier. L'alternative a ce deballage de crinière etant la mode du crane rasé, donc tout l'un ou tout l'autre. Arrivé a la porte l'ouverture du sac est demandé et on me demande de faire un choix crucial. Ecoute petit, c'est sois tu bois toute ta bouteille d'eau maintenant, sois tu la laisses a l'entrée. Je pense que je vais vous la donner plutot monsieur le videur noir et musclé. Pas que je sois très heureux a l'idée de voir la chère (et cher) bouteille d'eau de mon camarade voir rejoindre ses petites amis dans la poubelle de la Locomotive mais je me vois mal aussi m'enfiler une bouteille remplis au 3/4 juste avant de rentrer voir un concert. Et puis vous vous imaginez uriner sur les groupes si ils etaient un tant sois peu mauvais. Non, c'est bon, je passe pour ce soir.
Une fois rentré direction lel stand de merchandising et les achats dut a l'occasion exceptionnel. A moi petit tee shirt Arcturus. Bonjour Mr vendeur de CD et accessoirement President Directeur General de Melancholia Records. Une bien belle invention que les vendeurs de CD difficile a trouver. Cela me permets de fouiner un peu pour denicher l'album precedent de Biomechanical (groupe anglais recemment signé chez Earache Records) et un des meilleurs album de Immortal. Je passe alors un petit deal avec le Mr, qui n'as pas de monnaie, histoire de repasser les 5 euros qu'il me doit un peu plus tard. Chose qu'il feras sans se faire prier après le concert de Red Harvest même si il semblait triste de voir partir le peu de monnaie qu'il avait. Desolé mais j'en avais besoin. Et pas qu'un peu. Mais c'est une autre histoire. Un peu d'attente en ecoutant "Focus" de Cynic, l'album de la soirée, puis descente a la petite Loco pour le premier groupe.
Orakle, car tel est leur nom, est un groupe de Black Metal français dans la meme veine que Emperor mais avec plus de parties melodiques et des riffs moins memorable. Leur concert ne le seras tout de meme pas moins pour autant grace a des musiciens très professionel et efficace derrière leurs instruments. Chaque chanson est executé sans faux plis bien qu'elles souffrent d'une complexité les rendant assez peu memorable dans l'ensemble. Reste quand meme que l'on ne s'ennuie pas, et pour un groupe que l'on decouvre sur le pouce c'est un très bon point. Le deuxième groupe de la soirée, qui joueras sur la grande scène, me meneras au meme constat. Elypsis, presenté comme du Black Symphonique, joue en fin de compte une mixture de Thrash avec des passages plus Heavy agrementé de quelques parties de clavier. Ca se laisse ecouter sans probleme et les paroles du chanteur viendront ouvrir un petit sourire sur mon visage grace à quelques passages tout droit sortis du livre "Ce qu'il faut eviter a tout prix quand on est chanteur dans un groupe de Metal". A titre d'exemple je citerais une des phrases repeté durant le pont d'une chanson "Please Mr Apocalypse ...". A lire bien entendu avec l'accent français encore bien audible.
Mais pour etre franc, rien de ce que c'est deux groupes nous ont servis n'arriveras a la cheville de la suite. Car la suite c'est Red Harvest. Aie, mes dents, rendez les moi bande d'enfoirés ! Arrivez sur un petit rythme binaire servis par le gars derrière le sampler, les quatres autres musiciens enclenchent leur instrument pour un deferlement de riffs tranchants et d'ambiances opressantes, cathartiques et resolument violentes durant trois bon quart d'heure. Trois titres de "Internal punishment program", trois titres de "Sick transit gloria mundi", deux ou trois autres que je ne connais pas et sans oublier un titre extrait de "New world, rage music". Pas de "Swallow the sun", malheuresement pour moi, mais un "Cybernaut" explosif qui me feras perdre pendant quelques instants une de mes boules quiès a force de bouger dans tout les sens en hurlant, puis la conclusion de leur set avec "Beyond the end". Le cri poussé avant la phase finale de cette dernière chanson me parcoureras d'ailleurs le corps tel un une decharge de 120 Volts.
On enchaine et on conclut peu de temps après avec Arcturus pour un changement complet d'ambiance. Peu de personnes etaient venus pour Red Harvest finalement et la majeur partie du public semble accceuillir nos amis norvegiens comme des héros. Débute alors une set list que je n'enumererais pas ici, d'une part car je commettrais peut etre des erreurs, et aussi car je ne m'en souviens pas completement, le concert ayant duré une bonne heure et demi tout de meme. L'enchainement des chansons seras entrecoupés trois fois par des solis de la part de certains musiciens. Un solo de guitare typé Hard Rock, un solo de clavier dans la meme veine que les echappés de clavier present sur les albums, puis avant le titre finale, un petit passage, melant clavier et guitare, assez bien joué. Le son, tout comme pour Red Harvest etait loin d'etre parfait, et si la performance du groupe precedent joué sur l'energie, celle de Arcturus en patie, faute a un trop plein de basse, vu la complexité et la subtilité des morçeaux. Le son s'arrange quand meme au fur et a mesure et on finiras le concert avec des titres vraiment beaucoup plus reconnaissables. La performance de Arcturus n'en est pas moins memorale et formidable grace a une presence scenique et a leur déguisements plutot reussis. Pensez bien que quand vous voyez debouler sur scène un bassiste coiffé d'un heaume en cuir ou un guitariste encapuchonné dans une robe de bure, vous avez tendance a relevez le nez. La presence des deux danseuses durant certaines des chansons etaient aussi une part essentiel de la soirée. Nottament grace au lancé de pommes et aussi car leur choregraphie etait, sans etre complexe, bien orchestré. A surligner tout de même, et en gras, un "the Chaos path" au petits oignons ou les deux demoiselles s'assieront sur les bords de la scène pour toiser du regard les spectateurs.
Bref, tout se termine vers 1h 10 du matin et nous nous depechons de sortir de la salle. Le reste du public ne nous suis pas et il est bien possible que les rappels du public aient entendu une oreille car la foule ne se presseras a la porte de sortie que dix bonnes minutes plus tard. Pendant ce temps là, comme deux touristes en goguettes, nous chercherons un moyen de locomotion pour nous decider finalement pour chercher un noctambus en descendant la rue. Peine perdus et avec quelques sous en poches, notre quete s'arreteras avec un taxi parisien payé 8 Euros 80 qui nous emmeneras un peu trop loin. Dix minutes plus tard nous voila rentrés a bon port puis couché pour une sieste bien merité. Si jamais ces deux groupes venez a repasser sur Paris, je peut vous assurez que je m'empresserez de reserver ma place le plus vite possible car les deux tetes d'affiches sont de ces groupes de Metal dont les performances ne se manquent sous aucun pretextes. Quand aux deux groupes français et bien je ne saurais que trop vous encourager a aller faire un tour sur leur site officiel car ils le meritent bien, et ce n'est pas du chauvinisme.
Arrivé un peu après 20H devant la Locomotive, mon camarade a poil court et moi même nous nous placons dans la foule, deux des seuls representants de la race des "pas trop de poils et bien dégagés sur les cotés". Du chevelus il y en as, ça, on ne peut pas le nier. L'alternative a ce deballage de crinière etant la mode du crane rasé, donc tout l'un ou tout l'autre. Arrivé a la porte l'ouverture du sac est demandé et on me demande de faire un choix crucial. Ecoute petit, c'est sois tu bois toute ta bouteille d'eau maintenant, sois tu la laisses a l'entrée. Je pense que je vais vous la donner plutot monsieur le videur noir et musclé. Pas que je sois très heureux a l'idée de voir la chère (et cher) bouteille d'eau de mon camarade voir rejoindre ses petites amis dans la poubelle de la Locomotive mais je me vois mal aussi m'enfiler une bouteille remplis au 3/4 juste avant de rentrer voir un concert. Et puis vous vous imaginez uriner sur les groupes si ils etaient un tant sois peu mauvais. Non, c'est bon, je passe pour ce soir.
Une fois rentré direction lel stand de merchandising et les achats dut a l'occasion exceptionnel. A moi petit tee shirt Arcturus. Bonjour Mr vendeur de CD et accessoirement President Directeur General de Melancholia Records. Une bien belle invention que les vendeurs de CD difficile a trouver. Cela me permets de fouiner un peu pour denicher l'album precedent de Biomechanical (groupe anglais recemment signé chez Earache Records) et un des meilleurs album de Immortal. Je passe alors un petit deal avec le Mr, qui n'as pas de monnaie, histoire de repasser les 5 euros qu'il me doit un peu plus tard. Chose qu'il feras sans se faire prier après le concert de Red Harvest même si il semblait triste de voir partir le peu de monnaie qu'il avait. Desolé mais j'en avais besoin. Et pas qu'un peu. Mais c'est une autre histoire. Un peu d'attente en ecoutant "Focus" de Cynic, l'album de la soirée, puis descente a la petite Loco pour le premier groupe.
Orakle, car tel est leur nom, est un groupe de Black Metal français dans la meme veine que Emperor mais avec plus de parties melodiques et des riffs moins memorable. Leur concert ne le seras tout de meme pas moins pour autant grace a des musiciens très professionel et efficace derrière leurs instruments. Chaque chanson est executé sans faux plis bien qu'elles souffrent d'une complexité les rendant assez peu memorable dans l'ensemble. Reste quand meme que l'on ne s'ennuie pas, et pour un groupe que l'on decouvre sur le pouce c'est un très bon point. Le deuxième groupe de la soirée, qui joueras sur la grande scène, me meneras au meme constat. Elypsis, presenté comme du Black Symphonique, joue en fin de compte une mixture de Thrash avec des passages plus Heavy agrementé de quelques parties de clavier. Ca se laisse ecouter sans probleme et les paroles du chanteur viendront ouvrir un petit sourire sur mon visage grace à quelques passages tout droit sortis du livre "Ce qu'il faut eviter a tout prix quand on est chanteur dans un groupe de Metal". A titre d'exemple je citerais une des phrases repeté durant le pont d'une chanson "Please Mr Apocalypse ...". A lire bien entendu avec l'accent français encore bien audible.
Mais pour etre franc, rien de ce que c'est deux groupes nous ont servis n'arriveras a la cheville de la suite. Car la suite c'est Red Harvest. Aie, mes dents, rendez les moi bande d'enfoirés ! Arrivez sur un petit rythme binaire servis par le gars derrière le sampler, les quatres autres musiciens enclenchent leur instrument pour un deferlement de riffs tranchants et d'ambiances opressantes, cathartiques et resolument violentes durant trois bon quart d'heure. Trois titres de "Internal punishment program", trois titres de "Sick transit gloria mundi", deux ou trois autres que je ne connais pas et sans oublier un titre extrait de "New world, rage music". Pas de "Swallow the sun", malheuresement pour moi, mais un "Cybernaut" explosif qui me feras perdre pendant quelques instants une de mes boules quiès a force de bouger dans tout les sens en hurlant, puis la conclusion de leur set avec "Beyond the end". Le cri poussé avant la phase finale de cette dernière chanson me parcoureras d'ailleurs le corps tel un une decharge de 120 Volts.
On enchaine et on conclut peu de temps après avec Arcturus pour un changement complet d'ambiance. Peu de personnes etaient venus pour Red Harvest finalement et la majeur partie du public semble accceuillir nos amis norvegiens comme des héros. Débute alors une set list que je n'enumererais pas ici, d'une part car je commettrais peut etre des erreurs, et aussi car je ne m'en souviens pas completement, le concert ayant duré une bonne heure et demi tout de meme. L'enchainement des chansons seras entrecoupés trois fois par des solis de la part de certains musiciens. Un solo de guitare typé Hard Rock, un solo de clavier dans la meme veine que les echappés de clavier present sur les albums, puis avant le titre finale, un petit passage, melant clavier et guitare, assez bien joué. Le son, tout comme pour Red Harvest etait loin d'etre parfait, et si la performance du groupe precedent joué sur l'energie, celle de Arcturus en patie, faute a un trop plein de basse, vu la complexité et la subtilité des morçeaux. Le son s'arrange quand meme au fur et a mesure et on finiras le concert avec des titres vraiment beaucoup plus reconnaissables. La performance de Arcturus n'en est pas moins memorale et formidable grace a une presence scenique et a leur déguisements plutot reussis. Pensez bien que quand vous voyez debouler sur scène un bassiste coiffé d'un heaume en cuir ou un guitariste encapuchonné dans une robe de bure, vous avez tendance a relevez le nez. La presence des deux danseuses durant certaines des chansons etaient aussi une part essentiel de la soirée. Nottament grace au lancé de pommes et aussi car leur choregraphie etait, sans etre complexe, bien orchestré. A surligner tout de même, et en gras, un "the Chaos path" au petits oignons ou les deux demoiselles s'assieront sur les bords de la scène pour toiser du regard les spectateurs.
Bref, tout se termine vers 1h 10 du matin et nous nous depechons de sortir de la salle. Le reste du public ne nous suis pas et il est bien possible que les rappels du public aient entendu une oreille car la foule ne se presseras a la porte de sortie que dix bonnes minutes plus tard. Pendant ce temps là, comme deux touristes en goguettes, nous chercherons un moyen de locomotion pour nous decider finalement pour chercher un noctambus en descendant la rue. Peine perdus et avec quelques sous en poches, notre quete s'arreteras avec un taxi parisien payé 8 Euros 80 qui nous emmeneras un peu trop loin. Dix minutes plus tard nous voila rentrés a bon port puis couché pour une sieste bien merité. Si jamais ces deux groupes venez a repasser sur Paris, je peut vous assurez que je m'empresserez de reserver ma place le plus vite possible car les deux tetes d'affiches sont de ces groupes de Metal dont les performances ne se manquent sous aucun pretextes. Quand aux deux groupes français et bien je ne saurais que trop vous encourager a aller faire un tour sur leur site officiel car ils le meritent bien, et ce n'est pas du chauvinisme.
Sunday, October 02, 2005
Grindcore is the new disco
La vie est fascinante et je ne compte la quitter de si tot. L'immortalité ne me seduis pas pour autant mais je ne cracherais pas non plus dans la soupe si on me la proposé. L'assistance respiratoire et la vie en chambre d'hopital, non merci. Mais une vie assez longue afin de mieux connaitre le monde dans lequel je vie, la je ne cracherais pas dessus. Pourquoi suivre la mentalité des jeunes qui reviens a bruler le fil de sa vie des deux bouts afin de "profiter du moment present mec" si c'est pour ne rien comprendre a ce qui se passe autour de soi. J'ai l'impression de mieux profiter de ce que j'aime le plus, autant la lecture que l'ecriture ou l'ecoute de la musique depuis que je comprends un peu ces medias. C'est comme assister a un spectacle de magie tout en connaissant le tour, on est peut etre un peu moins emerveillé par l'ambiance mais la qualité du trucage fait que l'on reste tout de meme bouche bée.
Je ne dis pas non plus que je vais mieux apprecier un groupe ou un livre pour la qualité de leurs executions plastique mais pour le nombre d'idées qui vont fourmiller devant mes yeux ou dans mes oreilles. Comment arrive t'on a aborder autant de sujet sans faire perdre le fil de l'histoire au lecteur ? Comment arriver a jouer avec les mots avec la meme dexterité qu'un chevalier maniant son fleuret. Meme remarque pour la musique et la composition d'une chanson. Se retrouver seul devant sa guitare et mettre bout a bout des morçeaux, passe encore. Et ce n'est déja pas simple du tout. Mais le faire avec quatres autres types et se mettre d'accord tout en improvisant chacun dans son coin, toujours sans faire perdre le fil de la chanson a l'auditeur, ça c'est une autre grande reussite.
C'est aussi cela qui distingue l'artiste du type qui as jetté trois seau de peintures contre la toile, le fait de se faire comprendre et d'avoir un message ou une histoire a raconter. A force de travailler au contact des livres, je vois des titres defiler devant mes yeux. Et tel le gourmand devant une boulangerie fine, je goutterais bien a tout cela et laisserait bien de coté mes cartons pour me poser pendant toute ces heures et juger par moi même de la qualité de ce que j'envoie a "mes" clients. Faudrait tout de meme pas qu'ils lisent un mauvais livre quand même, hey oh. Laissez moi verifier que l'histoire est potable ou que l'on apprends quelque chose de vraiment correct en lisant ce livre sur l'anorexie. Je devrais peut etre vous faire partager mes dernières trouvailles d'ailleurs, ce ne serait pas une mauvaise idée. Alors dans ce cas là autant commencer par un auteur que j'affectionne beaucoup en ce moment :
Donald Westlake, auteur de roman "noir" dont la touche comique n'as d"egale que les rebondissements impromptus de ses histoires. C'est dire que vous ne ressortirez pas de chaque chapitre avec un sourire aux lèvres et avec l'envie de vous relire le passage plusieurs fois pour mieux en savourer la justesse. Eloignez tout de suite vos images de tartes a la creme ou de blagues sur les homos, quand on lit du Westlake on lit de la litterature comique avec un grand C. Le comique n'est pas le genre que l'on confie aux acteurs de seconde zone. Il faut quand meme avoir un sacré culot pour pretendre tirer du gosier d'une salle quelques fous rires. Et le faire dans un livre n'est pas mal non plus. C'est pour cela que je vous recommande de lire les livres de Donald Westlake ou ses personnages, generalement des loosers perpetuels, essaye de s'en sortir avec leur culture de base et leur inventivité sans fin pour mettre du beurre dans les epinards. Enfin, c'est en gros le constat de base des aventures de John Dortmunder, son personnage favoris du voleur malchanceux. Après il ne se limite pas a cela et j'ai meme put constater qu'il s'etait attaqué a une histoire d'homme invisible (ou il epingle les compagnies vendeuses de cigarettes) et une autre histoire avec un ange chargé de guider un groupe d'elus destiné a sauver le monde. Rien que ça. Non, franchement, vous devez lire du Donald Westlake. Commencez donc par le petit "Jimmy the Kid" ou faites comme moi et prenez les yeux fermés "Après tout, qu'est ce qu'on risque ?".
Je ne dis pas non plus que je vais mieux apprecier un groupe ou un livre pour la qualité de leurs executions plastique mais pour le nombre d'idées qui vont fourmiller devant mes yeux ou dans mes oreilles. Comment arrive t'on a aborder autant de sujet sans faire perdre le fil de l'histoire au lecteur ? Comment arriver a jouer avec les mots avec la meme dexterité qu'un chevalier maniant son fleuret. Meme remarque pour la musique et la composition d'une chanson. Se retrouver seul devant sa guitare et mettre bout a bout des morçeaux, passe encore. Et ce n'est déja pas simple du tout. Mais le faire avec quatres autres types et se mettre d'accord tout en improvisant chacun dans son coin, toujours sans faire perdre le fil de la chanson a l'auditeur, ça c'est une autre grande reussite.
C'est aussi cela qui distingue l'artiste du type qui as jetté trois seau de peintures contre la toile, le fait de se faire comprendre et d'avoir un message ou une histoire a raconter. A force de travailler au contact des livres, je vois des titres defiler devant mes yeux. Et tel le gourmand devant une boulangerie fine, je goutterais bien a tout cela et laisserait bien de coté mes cartons pour me poser pendant toute ces heures et juger par moi même de la qualité de ce que j'envoie a "mes" clients. Faudrait tout de meme pas qu'ils lisent un mauvais livre quand même, hey oh. Laissez moi verifier que l'histoire est potable ou que l'on apprends quelque chose de vraiment correct en lisant ce livre sur l'anorexie. Je devrais peut etre vous faire partager mes dernières trouvailles d'ailleurs, ce ne serait pas une mauvaise idée. Alors dans ce cas là autant commencer par un auteur que j'affectionne beaucoup en ce moment :
Donald Westlake, auteur de roman "noir" dont la touche comique n'as d"egale que les rebondissements impromptus de ses histoires. C'est dire que vous ne ressortirez pas de chaque chapitre avec un sourire aux lèvres et avec l'envie de vous relire le passage plusieurs fois pour mieux en savourer la justesse. Eloignez tout de suite vos images de tartes a la creme ou de blagues sur les homos, quand on lit du Westlake on lit de la litterature comique avec un grand C. Le comique n'est pas le genre que l'on confie aux acteurs de seconde zone. Il faut quand meme avoir un sacré culot pour pretendre tirer du gosier d'une salle quelques fous rires. Et le faire dans un livre n'est pas mal non plus. C'est pour cela que je vous recommande de lire les livres de Donald Westlake ou ses personnages, generalement des loosers perpetuels, essaye de s'en sortir avec leur culture de base et leur inventivité sans fin pour mettre du beurre dans les epinards. Enfin, c'est en gros le constat de base des aventures de John Dortmunder, son personnage favoris du voleur malchanceux. Après il ne se limite pas a cela et j'ai meme put constater qu'il s'etait attaqué a une histoire d'homme invisible (ou il epingle les compagnies vendeuses de cigarettes) et une autre histoire avec un ange chargé de guider un groupe d'elus destiné a sauver le monde. Rien que ça. Non, franchement, vous devez lire du Donald Westlake. Commencez donc par le petit "Jimmy the Kid" ou faites comme moi et prenez les yeux fermés "Après tout, qu'est ce qu'on risque ?".
Mon chat et Scanners
J'ai un probleme avec mon chat. Elle est belle, elle a le poil soyeux. Elle a un miaulement tendre et affectueux qui vous fait rompre votre jolie visage de pseudo gothique pour devenir un de ces bon dieux de hippie. Mais a coté de ça, c'est un ventre sans fond. Elle mange. Elle mange. Elle mange. Elle ... non, allez j'ai tout de meme plus d'idée que l'auteur du "Parfum" quand même. Donc oui, elle consomme, elle boulotte, et elle en redemande ! Descendez a la cuisine pour vous faire a manger et elle quémanderas un brin de patée et quelques croquettes pour assouvrir sa gourmandise. A l'instant même j'ai été "obligé" de venir répondre a sa requete car elle etait monté sur le bureau a coté de moi et elle me donnait meme des coups de pattes. Du coup elle a glissé sur l'assisette et a fait tombé les deux cannettes de Liptonic que je m'etais ingurgité pendant la soirée. Heuresement pour les fils electriques et autres elements sujets a court circuit, les canettes etaient vide. Mais quand même ! Le malheur etait a ma porte ! J'aurais meme put passer a video gag.
Alors que faire face a ce monstre. Le forcer a suivre une diète que meme Sparte aurait refusé par peur de voir leurs athlètes se revolter (reliser Asterix et les Jeux Olympique, vous verrez c'est très instructif) ? Ce serait me mettre a dos la SPA et ma famille. Car il faut le savoir quand même, si nous en sommes arrivez a ce point là c'est bien parce que la bête avait des appuies dans le berceau. Son ventre ne s'est pas remplis tout seul quand meme. non ! Une main coupable a pris la boite de patée et l'as deversé dans la gamelle en ajoutant des "Hmm c'est le bon miam miam pour le chaton ça, oh oui !". Et cette main, mes amis, cher confrères, c'est la main de ma mère ! Trahis dans sa propre famille. Ceci dit le père n'est pas en reste. Il n'etait pas qu'un simple temoin mais un acteur de ce drame animalier. Lui aussi a agit et n'as pas hesité quand, le soir venus, les miaulement ont retentis, pour venir au secours de l'animal et lui donner quelques lampés de croquettes pour que la bestiole ferme sa grande gueule histoire que l'on dorme un peu dans cette baraque.
Je n'aime pas cracher sur le dos de mes parents, car quand meme, ils sont de ma chair, et puis ils me nourissent eux aussi. Et qui suis je pour critiquer la chatte, qui est presque ma soeur, pour venir gratter sur le pavet quand elle a faim alors que j'exprime un peu dans les meme termes auprès de ma mère. Sauf que moi je ne suis pas au bord de l'explosion. Je fait de l'exercice. Oui, je vous vois de loin avec vos regards accusateur, mais monter des escaliers tout les jours et parcourir des kilomètres de long en large pour aller chercher des livres, ça compte quand meme comme etant du sport. Je ne me revendique pas comme etant un precurseur d'une nouvelle discipline olympique mais il y a de l'avenir. Car tel l'ornithorinque demontra l'humeur de Dieu, le Curling fut le moment d'egarement des juges des J.O. Alors le "Remplissage de carton", pour en arriver a une homologation, y'as qu'un pas.
Mais mon chat, je ne l'emmène pas au boulot, je ne lui fais pas chercher des bouquins sur son petit dos. Dès que l'on ouvre la porte du jardin pour qu'elle aille courir, elle nous reviens de plus belle et s'affale sur le canapé pour regarder les programmes télés avec mon père et ma mère. Mon chat est un bauf ! J'aurais du m'en douter. Ce n'est pas un americain en bonne santé qui aurait dut etre dans Super size me, mais mon chat ! Ca aurait était traumatisant pour le monde entier que de voir cette petite boule de poil rouler par terre pour atteindre le Mac Do tout les jours afin de mener a bien sa mission. lls auraient surement dut arreter la vente des portiosn Super Size avant la sortie du film avant que la PETA et la SPA ne se ramène pour erriger mon chat comme un symbole de la mort de l'Amerique sous le poids des frites et du steak ! Je n'ai donc pas de choix que de faire faire un regime a mon chat et de ne pas succomber a ses attaques, autant physique qu'emotionelle. Mais que se passeras t'il quand mon chat me feras du sondage ? Je devrais peut etre rentabiliser cette histoire et en faire une emission de télé realité. Et la c'est vous qui paierait le prix fort et mon chat qui aurait droit a sa lipocuscion. Ah la société moderne, des solutions a des problemes que vous n'aviez pas avant.
Alors que faire face a ce monstre. Le forcer a suivre une diète que meme Sparte aurait refusé par peur de voir leurs athlètes se revolter (reliser Asterix et les Jeux Olympique, vous verrez c'est très instructif) ? Ce serait me mettre a dos la SPA et ma famille. Car il faut le savoir quand même, si nous en sommes arrivez a ce point là c'est bien parce que la bête avait des appuies dans le berceau. Son ventre ne s'est pas remplis tout seul quand meme. non ! Une main coupable a pris la boite de patée et l'as deversé dans la gamelle en ajoutant des "Hmm c'est le bon miam miam pour le chaton ça, oh oui !". Et cette main, mes amis, cher confrères, c'est la main de ma mère ! Trahis dans sa propre famille. Ceci dit le père n'est pas en reste. Il n'etait pas qu'un simple temoin mais un acteur de ce drame animalier. Lui aussi a agit et n'as pas hesité quand, le soir venus, les miaulement ont retentis, pour venir au secours de l'animal et lui donner quelques lampés de croquettes pour que la bestiole ferme sa grande gueule histoire que l'on dorme un peu dans cette baraque.
Je n'aime pas cracher sur le dos de mes parents, car quand meme, ils sont de ma chair, et puis ils me nourissent eux aussi. Et qui suis je pour critiquer la chatte, qui est presque ma soeur, pour venir gratter sur le pavet quand elle a faim alors que j'exprime un peu dans les meme termes auprès de ma mère. Sauf que moi je ne suis pas au bord de l'explosion. Je fait de l'exercice. Oui, je vous vois de loin avec vos regards accusateur, mais monter des escaliers tout les jours et parcourir des kilomètres de long en large pour aller chercher des livres, ça compte quand meme comme etant du sport. Je ne me revendique pas comme etant un precurseur d'une nouvelle discipline olympique mais il y a de l'avenir. Car tel l'ornithorinque demontra l'humeur de Dieu, le Curling fut le moment d'egarement des juges des J.O. Alors le "Remplissage de carton", pour en arriver a une homologation, y'as qu'un pas.
Mais mon chat, je ne l'emmène pas au boulot, je ne lui fais pas chercher des bouquins sur son petit dos. Dès que l'on ouvre la porte du jardin pour qu'elle aille courir, elle nous reviens de plus belle et s'affale sur le canapé pour regarder les programmes télés avec mon père et ma mère. Mon chat est un bauf ! J'aurais du m'en douter. Ce n'est pas un americain en bonne santé qui aurait dut etre dans Super size me, mais mon chat ! Ca aurait était traumatisant pour le monde entier que de voir cette petite boule de poil rouler par terre pour atteindre le Mac Do tout les jours afin de mener a bien sa mission. lls auraient surement dut arreter la vente des portiosn Super Size avant la sortie du film avant que la PETA et la SPA ne se ramène pour erriger mon chat comme un symbole de la mort de l'Amerique sous le poids des frites et du steak ! Je n'ai donc pas de choix que de faire faire un regime a mon chat et de ne pas succomber a ses attaques, autant physique qu'emotionelle. Mais que se passeras t'il quand mon chat me feras du sondage ? Je devrais peut etre rentabiliser cette histoire et en faire une emission de télé realité. Et la c'est vous qui paierait le prix fort et mon chat qui aurait droit a sa lipocuscion. Ah la société moderne, des solutions a des problemes que vous n'aviez pas avant.
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